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Vous avez commencé sur quoi comme matériel photo et vidéo


Télémac
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Nous avons tous un passé photo vidéo : nostalgie nostalgie.

En photo, j'ai commencé avec un appareil à soufflet noir et blanc Kinax de mon père où l’on changeait les caches devant le film pour la taille de la photo.

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Pour le réglage de l'ouverture, on utilisait un posemètre, on réglait l'ouverture à la main et, pour la vitesse , on comptait le temps ou on laissait ouvert le diaphragme avant de lâcher le bouton de fermeture. Trop long le film était surexposé, trop court il était trop sombre.

Je suis passé sur les premier appareils photos compact de poche avant de passer sur un Canon AV1 avec multitude d'objectifs à traîner.

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Puis est venu le temps des APN : Agfa 1200 puis le 1600 avant de passer sur un Coolpix Nikon. Puis le premier Reflex Canon 300 et actuellement sur un Canon 400 et objectif tamron 28-300.

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Le film, je l'ai commencé comme avec une caméra Yashica Super 8 muette.(pour ma confirmation à la place des cadeaux, à 14 ans j'avais demandé des sous pour acheter cet engin )

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On y plaçait des cassettes de 3 Minutes pour le super 8 ( le 8 normal il fallait retourner les cassettes de <> 1minute 30) qu'il fallait envoyer au développement.

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Un Projecteur Sonore pour sonoriser la bobine de 20 minutes, il fallait renvoyer au laboratoire la bobine montée pour qu'il colle une piste magnétique sur le coté opposé aux trous d'entraînement du film.

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montée avec une colleuse fraiseuse pour assembler les films de 3 minutes. (elle ressemblait à celle-ci mais en gris et de la même marque)

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La visionneuse

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La vidéo, je l'ai commencé avec une Sony 50, puis une 450,( du 8m/m) une V5000.(Hi-8)

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Montage à la volée sur le magnétoscope. Puis sur deux magnétoscopes dédié montage en SVHS et en HI 8

Pana S-VHS

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Sony HI-8 1000

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Le titrage se faisait avec des petites interfaces ou l’on pouvait entrer la taille, la couleur de la police et c'était tout.

Une marque Allemande a proposé un petit appareil qui pilotait le caméscope, mémorisait les points In et Out que l'on plaçait en visionnant sur le TV en même temps.

L'informatique est arrivé, le titrage se faisait sur Amiga 2000 avec un Broolok : interface enter le signal informatique incrusté avec le signal vidéo avant de l'injecter dans le magnétoscope.

Le montage se faisait avec Videodirector Cut :

Une led infrarouge était placée devant le caméscope et le magnétoscope.

On pilotait le caméscope avec l'Amiga ou l’on fixait les points d'entrée et de sortie sous forme ; heure, minutes secondes, images.

Le montage se faisait sans avoir les images sur l'Amiga mais sur un moniteur externe relié au caméscope. A la fin, l'Amiga s'occupait du montage en pilotant le caméscope et le magnétoscope.

Cette technique était plus longue que de travailler à la volée, mais au moins le montage se faisait déjà quasi à l'image prêt.

A cette époque le montage, le multi caméra se faisait en devant changer de cassette à chaque plan à capturer.

Le doublage son se faisait sur les magnétoscopes de montages.

Il fallait piquer à la sortie le son original sur les rotatives, injecter dans une mixette, mélanger les musiques, dialogues, sons originaux et réinjecter sur les longitudinales. ( ou le contraire c'est vieux).

Puis est arrivé le numérique avec le format mini-Dv ou D8

Caméscopes :

Sony D8 et

Sony TRV 900 mini DV,

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Sharp MiniDV

Canon mini DV MVX2i

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Pana 400

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Pana AVCHD 300

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Montage sur Mac depuis iMovie 1 puis Final Cut Express.

Avec iMovie 1 je faisais déjà des montages muli-cam. Quelle évolution, on pouvait capturer toutes les images sans devoir au montage changer les cassettes, titrer, plus de perte de qualité lors du montage, ajout plus simple du son. etc...

Pour le son, il fallait à l'époque du Super 8 enregistrer sur un magnétoscope à bande, puis sur un magnétophone à cassette.

L'éclairage Super 8 se faisait avec une torche 1000 W qui officiait également comme chauffage. :D

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Bonjour Télémac,

pour agrémenter ton historique nostalgique, voici en images quelques points de repères personnels, à savoir:

1954: appareil photo Kodak de mon père:

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Bien sûr je n'ai pas eu l'occasion de l'utiliser ni actuellement car il faudrait je prenne le temps d'acheter une pellicule ad-hoc. Pendant mon jeune age, j'ai reçu de mon oncle un fameux et traditionnel Polaroïd (tout noir) avec développement en couleur!... que j'ai gardé assez longtemps mais ensuite trop encombrant!

1970: première caméra Super 8 BAUER D2A de mon père... ( FNAC Sébastopol env 1200 Frs):

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Il filmait puis j'ai repris le relai avec en souvenir que les cartouches de 3mn étaient trop courtes, qu'il fallait prendre soin de bien repérer la scène à filmer avant de faire tourner la pellicule, etc... d'envoyer toutes les cartouches dans chaques enveloppes orange fournies, de fermer en rabattant délicatement les pattes de la trombonne (attache ''parisienne'') et d'attendre leurs retours développés.

A chaque retour d'enveloppe c'était un plaisir de trouver cette bobine noire dans une demie-protection orange, de la positionner dans la visionneuse en tirant l'amorce blanche et de les visionner au projecteur après les avoir coupés, assemblés en les collant bout à bout.

Visionneuse manuelle MURAY:

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Je n'ai pas retrouvé ma découpeuse -fraiseuse-colleuse électrique (sur piles).

En fait c'était une Hähnel exactement comme celle ci.

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1976: Caméra SANYO Super 8 sonore: (La CAMIF NIORT env 1800 Frs)

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malheureusement elle n'a fait que très peu d'usage car le premier film tourné (mon père jouant du violon) a donné un piètre résultat, à savoir: un son très médiocre (la bande passante n'était pas fameuse!) et la bande a été mal réglée sur le projecteur sonore (Bell & Howell, il me semble, car je ne le retrouve plus dans notre déménagement) et cela donnait un son saccadé (il fallait laisser une boucle à la bande pour amortir les saccades du défilement).

Ensuite je suis parti du domicile pour poursuivre les études... pour reprendre la vidéo dans les années 80 à la naissance de ma première fille... cela fera l'objet d'un nouveau post complémentaire 80'.

Mais pour compléter les années 70' je vais essayer de retrouver les projecteurs et peut être l'encolleuse.

Un idée? :non:

Pourquoi ne pas faire ''un produit/année'' et chacun pourrait rajouter son produit dans le Post chronologique?

Monsieur l'administrateur? est ce possible?... :blush:

Cordialement.

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Moi je suis plutot un jeunot ^^

J'ai commencé par une camera video hi8 que mon pere a acheter pour ma naissance (achat 1992, panasonic je crois).

Puis en 2004 c'est la revolution avec notre premier appareil photo numerique, j'utilisit le mode video et m'essayais au montage sur Movie Maker puis video deluxe 2004 de Magix.

En 2007, mon pere voyant ma passion pour la video grandir pris l'iniative de mo'offrir un camescope a DVD samsung: UNE HORREUR ! Alors 1 ans plus tard, de passage en Andorre je me fait plaisir avec un camescope a disque dur sony dcr-sr190e. A l'epoque j'etait un jeune abonné a CV&M, et leur comparatif m'avait beaucoup aidé.

Enfin en mai dernier je me suis de nouveau fait plaisir avec le HDR-CX550 !

Et ce n'est que le debut d'une grande histoire.

Max

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Bonsoir Télémac,

sympa les photos qui agrémentent ton post.

La fraiseuse-colleuse est la même que j'avais sauf que la coque en plastique était bleue (non, en fait elle était grise) et de marque Hähnel, exactement comme celle ci (photo trouvée sur le net)

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Sinon toute la platine est identique et le levier permettait de couper alternativement les deux bouts pour être biseautés de façon assymétrique mais complémentaire par la fraiseuse et coller via le levier qui faisait pression sur la jonction des deux bouts.

Les deux boutons rouges servait à la mise en oeuvre de la fraise avec un sens de rotation inversée selon la touche actionnée.

Cdlt.

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Salut Do

A l'époque il y avait <> globalement les grandes familles suivantes en grand public.

- celle ou il fallait couper le film sur une découpeuse séparée

- puis utiliser soit la version colleuse avec ruban adhésif (déconseillée pour les films sonores avec la bande magnétique) ou les modèles fraiseuses avec collage

- puis il y avait le tout en un : les versions coupeuses, grattage ou fraisage et collage qui était notre version.

et lors des projections il fallait toujours avoir cet instrument et la colle sous la main car lorsque sur l'écran on avait un "feux d'artifice" de couleur en train de "couler" les unes dans les autres on savait qu'un point de colle avait lâché et la pellicule était en train de fondre sur la lampe du projo :D

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eh oui,

toute l'astuce pour éviter la rupture de ce raccord lors de la projection était:

- trouver le bon niveau de fraisage ( pas assez et le raccord était trop épais et risquait de se coincer dans la fenêtre de cheminement du projecteur, trop et le raccord était trop mince et fragile)

- pas assez de colle et le raccord ne tenait pas, trop de colle et le raccord en était imbibée et ramolli et lâchait aussi sous la tension.

Je sens encore cette odeur de colle!... :D

Cdlt.

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Sans oublier qu'il fallait nettoyer le supplément de colle avant séchage et pressage.

Le montage qui se faisait avec des numéros marqués sur une feuille est fixés avec une pince à linge sur la séquence du film coupée et suspendue sur les fils sèche-linge. :D

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Bonjour,

je disais précédemment: ... cela fera l'objet d'un nouveau post complémentaire 80'... :rolleyes:

j'avais oublié de vous préciser que cela sera fait au retour de mes vacances d'été... donc fin août! :P

Cdlt.

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    • impressionnant. Bravo.   à 2,24'' et suivantes, comment faites-vous pour faire passer votre drone à travers les arbres compte tenu que la détection d'obstacle devrait l'en empêcher  ?
    • Désolé mais je n'ai pas accroché.... Diction vraiment trop scolaire et comme dit Michel pas de chute...
    • merci  Comemich pour ce commentaire  l idée première était de synchronisée le perso avec ses sosies ce qui est une vraie gymnastique pour le montage  l histoire devenant secondaire un six minute ne permet pas trop de s étaler dans les dialogue      bonne journée
    • Le sujet est intéressant. La présentation caricaturale des personnages est réussie. Mais le dénouement du récit manque d'imagination. Il faudrait une chute surprenante qui rendrait la comédie plus drôle. Dans "Un diner de cons" de Francis Veber, qui traite du même sujet, chacun est le con de quelqu'un d'autre. Et à la fin, le plus con n'est pas celui qu'on croit. Je pense que les questions du docteur auraient du être plus cons. La consultation aurait pu se terminer par une prescription farfelue et un dépassement d'honoraires.
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