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A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes : histoire d'un nom


Thierry P.
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Nous vous annonçons une nouvelle qui paraîtra peut-être insignifiante, comique ou incompréhensible pour certains. Depuis hier, 1er jour de l’été - le signe d’une nouvelle ère ? - nous avons récupéré « notre » .fr après 11 ans de patience.

Explication : le nom magazinevideo.com a été imaginé et déposé (par votre serviteur) en 2003, car je souhaitais créer un magazine sur le Web en relation avec la vidéo.
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En 2005, je romps avec une personne qui avait collaboré au lancement du site sur un plan technique. La rupture était motivée par un plagiat, la personne ayant décidé de créer son propre site au positionnement éditorial fort ressemblant à magazinevideo. Impensable de travailler avec son prestataire, devenu concurrent direct. De plus, la démarche avait été malhabile, le site concurrent étant déjà créé au moment même où je l’apprenais. La collaboration a donc été rompue immédiatement.
A titre de représailles, bien que fautif, l’intéressé a aggravé son cas en réservant le nom de domaine magazinevideo.fr (que j’avais omis de réserver, grave erreur) mais sans l’utiliser, préférant faire pointer ce nom de domaine… vers son propre site ! Ainsi, si magazinevideo.com devenait connu, l’intéressé profiterait peut-être de cette aura, en entretenant la confusion entre magazinevideo.fr et magazinevideo.com. La procédure était moralement et commercialement condamnable (détournement de trafic…), mais je n’avais pas envie de me lancer dans un procès. Psychologiquement, c’est d’ailleurs ce que l’intéressé cherchait.
Le site concurrent a duré quelques années mais a fini par s’éteindre à petits feux car il ne suffisait pas de s’approprier un .fr pour faire fonctionner un site, il fallait aussi l’alimenter. Le site concurrent a fini par devenir inactif mais le nom de domaine, par négligence ou nuisance, était toujours actif et renouvelé d’année en année, à un tarif probablement très bas.
Finalement, il y a quelques semaines, le nom de domaine n’a pas été renouvelé à sa date échéance. Après un temps de procédure technique, nous l’avons enfin récupéré hier matin. Il pointe désormais vers magazinevideo.com, et est revenu dans la "matrice".
Moralité : A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes.
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    • Bonjour, je vole avec des drones FPV, j'utilise des lunettes, c'est comme si j'étais dans le drone. C'est très précis et les drones FPV n'ont pas de détection d'obstacles, vous contrôlez le drone à 100%. Merci pour votre commentaire!
    • (extrait communiqué)     Sony publie des mises à jour de firmware sur l’Alpha 1, l’Alpha 7S III, l’Alpha 7 IV et l’Alpha 9 III, intégrant notamment l'authentification C2PA afin de certifier l’authenticité des images   Ces mises à jour des Alpha 1, Alpha 7S III, Alpha 7 IV et Alpha 9 III, améliorent également les fonctions de prise de vue et le flux de travail.   Sony publie des mises à jour de firmware pour les Alpha 1 (Ver. 2.00), Alpha 7S III (Ver. 3.00) et Alpha 7 IV (Ver. 3.00), toutes disponibles dès aujourd’hui. La mise à jour de l’Alpha 9 III (Ver.2.00) suivra en avril 2024.   Ces mises à jour intègrent certaines des technologies les plus importantes de Sony, notamment la solution d’authentification des images Camera Authenticity Solution, la signature numérique propriétaire dans l’appareil et le support du format C2PA (Coalition for Content Provenance and Authenticity)[1]. Ensemble, ces outils permettront aux agences de presse de s’assurer de l’authenticité des images, contribuant aux efforts de ce secteur d’activité pour protéger les créateurs et la société des images manipulées. Les mises à jour de firmware des Alpha 1 et Alpha 7 S III apportent également plus de trente éléments supplémentaires pour enrichir l’expérience de prise de vue des utilisateurs d’Alpha.   (...)   Solution d’authentification des images dans l’appareil   Sony annonçait l’année dernière son engagement à développer la technologie de ses appareils afin d’aider la lutte contre les images manipulées et les faux générés par IA. L’importance de ce sujet ne fait que croître, et sa complexité nécessite l’attention et la coopération de l’ensemble de notre industrie.   Un élément essentiel de la solution est d’étendre la compatibilité C2PA des appareils Sony. La C2PA est un projet de la Joint Development Foundation, dont Sony est membre du comité directeur. La C2PA vise à développer un standard technique ouvert de bout en bout pour offrir aux éditeurs, aux créateurs et aux consommateurs des moyens libres et flexibles de connaître l’authenticité et la provenance de différents types de médias. La C2PA est une agence de standardisation qui développe des spécifications techniques sur la provenance et l’authenticité des contenus en certifiant la source et l’historique d’un média. Avec cette mise à jour firmware, les informations d’authenticité intégrées aux images des Alpha 1, Alpha 9 III, Alpha 7S III et Alpha 7 IV peuvent être préservée de la prise de vue à la publication. Les photographes professionnels peuvent ainsi préserver leur signature numérique à partir de l’appareil, tout en retraçant l’historique d’édition au fil des révisions.   Un autre élément essentiel de la solution est la technologie de signature numérique dans les appareils Sony[2], qui certifie les images en temps réel. Cette nouvelle fonction certifie l’authenticité d’une image lors de la capture et crée un « certificat de naissance numérique », préservé au fil des révisions. La signature contient des métadonnées, y compris les informations de profondeur en 3D saisies par notre technologie propriétaire au niveau du capteur d’image. Cette information de profondeur peut montrer si l’image capturée était réellement celle d’un objet en 3D et non une photo d’une photo ou d’une vidéo, apportant un niveau supplémentaire de protection et une assurance accrue de l’authenticité du contenu. La solution de Sony est ainsi unique pour les photojournalistes et les agences de presse.   La solution de Sony soutient également l’authentification du contenu en intégrant un Site de Validation d’Image, qui vérifie l’image même après son édition par un logiciel compatible C2PA. Ce service confirme l’authenticité de l’image et que la prise de vue a été réalisée par un appareil spécifique et que l’objet photographié est en 3D. Ce service sera initialement proposé à une sélection d’agences de presse, et sera étendu aux autres agences ultérieurement.
    • impressionnant. Bravo.   à 2,24'' et suivantes, comment faites-vous pour faire passer votre drone à travers les arbres compte tenu que la détection d'obstacle devrait l'en empêcher  ?
    • Désolé mais je n'ai pas accroché.... Diction vraiment trop scolaire et comme dit Michel pas de chute...
    • merci  Comemich pour ce commentaire  l idée première était de synchronisée le perso avec ses sosies ce qui est une vraie gymnastique pour le montage  l histoire devenant secondaire un six minute ne permet pas trop de s étaler dans les dialogue      bonne journée
    • Le sujet est intéressant. La présentation caricaturale des personnages est réussie. Mais le dénouement du récit manque d'imagination. Il faudrait une chute surprenante qui rendrait la comédie plus drôle. Dans "Un diner de cons" de Francis Veber, qui traite du même sujet, chacun est le con de quelqu'un d'autre. Et à la fin, le plus con n'est pas celui qu'on croit. Je pense que les questions du docteur auraient du être plus cons. La consultation aurait pu se terminer par une prescription farfelue et un dépassement d'honoraires.
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