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[RÉSOLU] Questions de néophyte sur les Formats DV-AVI-MPEG 2


sidarta
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Bonjour a tous

Petites questions?

je capture mes vidéos en DV sur studio 10 +, puis je grave mes films sur un DVD .

Quel est le Format du DVD une fois gravé (MPEG?)?

Si je veux me reservir du DVD pour refaire un montage je l'importe dans studio 10+ , (il me semble qu'il est importé en MPEG 2 ?) je monte mon nouveau film et je l'enregistre sur mon disque dur en format AVI puis je le grave sur DVD avec un autre logiciel; Est-ce une bonne manipulation ?

il y a t'il une différence de qualité entre les différents formats DV-AVI-MPEG 2 ?

D'avance merci pour les éventuelles réponses

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Salut,

Je pense qu'il doit y avoir un coin sur ce forum qui explique ces bases. En 2 mots, il y a plusieurs formats de fichiers:

- WMV, MPG, AVI, RM, QT, MPE, ASX, ASF, MOV, ....

En gros Studio 10 reconnait les formats suivants: MPEG-2, AVI et WMV.

Une cassette DV est enregistrée nativement en AVI non compressé. Un AVI peut être compressé par exemple en DivX. Mais un transfert de DV vers ton PC se fait en AVI NON compressé, ce qui explique que ta capture prenne autant de place sur le disque.

Un DVD est toujours gravé en MPEG-2. Si tu récupères le contenu de ton DVD avec Studio, tu auras des fichiers de type MPEG-2.

On pourrait y passer des heures, mais je suis sûr que le modérateur local va te trouver un site expliquant tout ceci.

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Salut

bonjour la dégradation :mrgreen:

Un film en qualité mini dv est le meilleur format grand public pour filmer, monter archiver et ceci sans altération de la vidéo

Tous les autres formats sont des formats de diffusion ( lecture) avec altération plus ou moins importante.

sur notre site tous les formats

http://www.magazinevideo.com/article-en-ligne.php?Clef=82

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Comment ça marche : les formats vidéo

Qu'il s'agisse de transférer un film sur PC, ou une fois le montage effectué, de graver un DVD ou de le diffuser sur le Net, on se heurte souvent au choix du format.

Édouard Maire , Photo & Vidéo Numérique, le 24/11/2004 à 07h00

Le caméscope numérique a évolué de façon phénoménale en dix ans à peine. L'amateur peut désormais choisir entre trois formats d'enregistrement et trois supports : le DV sur cassette, le MPeg-2 sur DVD et le MPeg-4 sur carte mémoire. Chaque format possède ses avantages et ses inconvénients.

Certains privilégient la qualité d'image quand d'autres offrent la compatibilité du support. Nous verrons que certains formats sont aussi recommandables pour l'enregistrement que pour la diffusion.

Les formats d'entrée

Filmer en DV : pour la qualité d'image

Le DV est le format d'enregistrement le plus répandu car il équipe tous les caméscopes numériques à cassette depuis quelques années. Lancé en 1995, le DV tient sa grande force de sa qualité d'image, inégalée sur le marché grand public, et de sa compatibilité avec les ordinateurs via la prise FireWire. Abréviation de Digital Video , le DV enregistre une information vidéo de premier choix qui garantit une qualité d'entrée idéale pour une transformation ultérieure en format MPeg ou DivX.

La qualité de diffusion sur un téléviseur à tube 4/3 est excellente. Mais la qualité d'image d'un caméscope ne se résume pas à son processeur d'encodage DV. Selon la qualité de l'optique et du capteur CCD, le rendu final des couleurs et de la précision d'un caméscope ne sera pas le même. Ainsi, un Panasonic NV-GS400 (2 000 euros) délivre une image plus piquée et des couleurs plus fidèles qu'un Samsung VP-D101 (450 euros), alors que leur format d'enregistrement et leur définition sont identiques.

A savoir

Evitez certaines fonctions de votre caméscope qui contribuent à dégrader l'image plutôt qu'à l'embellir. C'est le cas du zoom numérique qui grossit les pixels de l'image et du mode Nuit d'obturation lente qui saccade l'image et la passe en noir et blanc sous prétexte de la rendre plus claire.

Le format DV , le plus couramment utilisé par les caméscopes numériques, reste le mieux adapté pour obtenir la meilleure qualité d'image. Il sera temps, ensuite, de changer de format sur ordinateur, selon l'utilisation que l'on escompte faire de son film.

Capturer de l'analogique : pour numériser ses vieux films

Vous pouvez numériser d'anciennes cassettes VHS, 8 mm ou Hi8 pour les traiter sur ordinateur et les stocker ensuite sur CD ou DVD. La première méthode consiste à utiliser un caméscope DV muni d'une entrée analogique sur lequel vous branchez votre ancien caméscope Hi8 via un câble analogique. La notice vous explique comment lancer l'enregistrement du caméscope DV (un bouton d'enregistrement spécifique sur le boîtier est souvent prévu). Le film analogique est alors numérisé sur la cassette DV.

La seconde méthode consiste à brancher directement le magnétoscope VHS ou le caméscope Hi8 sur l'ordinateur en utilisant soit une carte d'acquisition analogique interne, soit un boîtier externe, ce qui est le plus simple. Ces boîtiers se connectent sur la prise USB 2.0, compressent la vidéo directement en MPeg-1 ou en MPeg-2 pour un stockage ultérieur sur CD ou DVD, et coûtent moins de 100 euros.

Seuls bémols : la numérisation d'un film VHS ou Hi8 occasionne une légère dégradation de l'image. La numérisation d'une vidéo Secam (le standard TV en France) s'affiche en noir et blanc avec un logiciel d'acquisition en Pal. Heureusement, les boîtiers d'acquisition actuels commutent tous en Secam. Il faut juste le spécifier dans les paramètres d'acquisition...

A savoir

Préférez le transfert analogique via la prise S-Vidéo (mini-Din 4 broches) plutôt que la Composite (RCA jaune). Vous obtiendrez une meilleure qualité d'image grâce à un traitement séparé des signaux de luminance (noir et blanc) et de chrominance (couleurs).

Pour numériser un film enregistré en analogique, vous pouvez utiliser un boîtier externe, tel le DVC90 de Dazzle qui se branche d'un côté sur le caméscope analogique (ou un magnétoscope) et de l'autre sur un PC. L'enregistrement s'effectue directement au format MPeg-1 ou MPeg-2.

Filmer en MPeg-2 : pour l'aspect pratique

Le format MPeg-2 est aujourd'hui présent sur une génération innovante de caméscopes numériques. Sony l'utilise pour ses modèles MicroMV et l'a plus récemment développé pour ses caméscopes DVD. De leur côté, Panasonic et JVC ont choisi d'intégrer du MPeg-2 dans des caméscopes à carte mémoire.

Pourquoi un tel engouement pour le MPeg-2 ? Primo, sa qualité d'image est identique au DV, mais avec un poids de fichier deux fois moins lourd. Cela ouvre la voie à de nouveaux supports d'enregistrement pour le caméscope, comme le DVD et la carte mémoire. Secundo, chaque clip MPeg étant un fichier indépendant, on manipule ses vidéos très facilement.

Ainsi, le caméscope MPeg-2 permet de visionner un clip instantanément par un système de vignettes qui s'affichent sur l'écran LCD. C'est le cas des caméscopes DVD qui présentent tout le contenu du disque avec une vignette pour chaque séquence. Le format MPeg-2 travaillant par groupe de douze images, il est en effet difficile de faire un montage précis à l'image près. De plus, les logiciels de montage compatibles avec les caméscopes à carte et les caméscopes DVD sont quasiment inexistants. Bref, le caméscope MPeg-2 est pour l'instant destiné aux personnes qui se limitent aux prises de vues.

A savoir

le MPeg-2 du caméscope JVC GR-PD1 (version européenne du GR-HD1) a beau bénéficier d'une précision d'image remarquable, son encodage non-standard le rend incompatible avec tous les logiciels de montage classique. Pour un appareil à 4 000 euros, c'est un défaut inacceptable.

Filmer en MPeg-4 : pour de petits souvenirs

Le troisième format d'enregistrement sur les caméscopes est le MPeg-4. Sa définition, sa cadence d'images et son débit sont totalement paramétrables avec un rapport qualité/poids très avantageux. On trouve le MPeg-4 sur les caméscopes enregistrant exclusivement sur carte mémoire, mais aussi sur les caméscopes DV assortis d'un mode photo sur carte.

Dans le premier cas, l'image atteint au mieux une définition de 640 x 480 pixels, ce qui est inférieur au DV et au MPeg-2. La compression est si forte que les pixels sont visibles et rendent l'image très médiocre sur un téléviseur. Pour exemple, le Sanyo Xacti C1, qui est le meilleur caméscope MPeg-4 du marché, restitue une qualité semblable à une mauvaise VHS. Et comme la carte mémoire est de faible capacité (16 à 128 Mo), la durée d'enregistrement ne dépasse pas quelques minutes.

Bref, le caméscope MPeg-4 est encore un gadget qui ne trouve son utilité que pour de petits souvenirs en vidéo. C'est pourquoi on le trouve intégré dans la plupart des appareils photo numériques.

A savoir

Lle MPeg-4 est un encodeur capable de fort bonnes choses. Si son débit et sa définition sont correctement paramétrés, on obtient une qualité d'image équivalente, voire supérieure au DV. Ce n'est pas un hasard si le MPeg-4 est en lice pour la diffusion des chaînes télévisées haute définition.

Les formats de sortie

Rester en DV : pour faire un master

Le format DV restitue une qualité image si correcte qu'on hésite souvent à le convertir. C'est pourquoi de nombreuses personnes exportent leur film monté soit sur la cassette miniDV de leur caméscope, soit en créant un fichier DV sur leur disque dur pour ne pas perdre une miette de qualité.

Dans le premier cas, le caméscope doit absolument posséder une entrée DV. Celle-ci transforme le caméscope en véritable magnétoscope numérique et lui permet d'enregistrer un film provenant de l'ordinateur. La procédure est simple. Vous branchez le caméscope sur la prise FireWire de votre PC (ou de votre Mac), puis vous sélectionnez l'option Exporter sur cassette dans votre logiciel de montage. Le caméscope se met automatiquement en mode d'enregistrement et le film se transfère tranquillement sur la bande en temps réel.

Le fait de stocker la version finale d'un film sur cassette DV est rentable à bien des égards. Non seulement la qualité d'image native est préservée à long terme, mais une cassette miniDV est peu coûteuse (10 euros l'unité) et ne « plante » pas ! Les risques de perte des données sont donc minimes.

Si votre caméscope ne possède pas d'entrée DV (juste une sortie) et que vous souhaitez conserver la qualité intacte, l'autre solution est d'exporter votre film sur le disque dur en créant un fichier DV. La manoeuvre est aussi simple : une fois le montage achevé, sélectionnez DV Pal non compressé. L'ordinateur va alors calculer tous les effets du film (transitions, retouche colorimétrique, titres) et créer un fichier vidéo en DV à l'endroit que vous avez spécifié.

L'inconvénient est qu'un fichier DV pèse très lourd en mémoire : 2 Go pour 10 minutes. Sachant que vos rushes occupent déjà une place importante, la création d'un film DV risque de saturer le disque dur assez rapidement.

Néanmoins, conserver un master de ses films sur disque dur permet de les avoir toujours à portée de la souris et de les utiliser à tout moment pour une conversion. En effet, l'archivage en DV ne vise pas une diffusion directe car vous n'allez pas montrer votre vidéo à vos amis sur un écran de PC. C'est une solution plutôt temporaire qui précède généralement une étape de plus en plus prisée : la création d'un DVD.

A savoir

Les disques durs externes se branchent sur le port FireWire ou USB 2.0 de votre ordinateur. Ils offrent des capacités de stockage vertigineuses allant jusqu'à 1000 Go (Bigger Disk à 1195 euros de LaCie). De quoi archiver plus de 70 heures de DV !

Convertir en MPeg-2 : pour réaliser un DVD

La norme MPeg-2 a l'avantage de fournir une définition identique au DV pour une taille de fichier deux fois moins importante. Pour cela, le MPeg-2 réduit la quantité et le débit d'informations à transmettre en éliminant les redondances de l'image. Mais le MPeg-2 est surtout intéressant pour la création d'un DVD-Vidéo. Ce support de diffusion peut contenir jusqu'à deux heures de film lisibles sur un lecteur de salon ou un ordinateur. Il est ainsi très facile de montrer votre chef-d'oeuvre chez des amis sans emporter le caméscope avec vous.

La création d'un DVD est souvent proposée dans les options de sortie des logiciels de montage. Certains proposent même la création de menus interactifs avec des chapitres. Lorsque le montage est terminé, vous élaborez l'interface du menu en incrustant des titres, un fond d'écran et des boutons animés. Le logiciel se chargera juste avant la gravure de compresser tout le film en MPeg-2. Votre ordinateur devra évidemment posséder un graveur de DVD.

A savoir

Il ne suffit pas de graver un fichier MPeg-2 sur un DVD pour faire un DVD-Vidéo. Toute une arborescence est requise pour qu'un DVD-Vidéo soit reconnu comme tel. Autre intérêt : le MPeg-2 n'est pas une norme figée. Vous pouvez modifier le débit dans les paramètres de compression pour accroître la qualité d'image. Mais attention : plus l'image est de qualité et plus le fichier final aura une taille importante.

Exporter en MPeg-1 : pour créer un CD

Plus ancien que le MPeg-2, le format MPeg-1 présente une image moins précise à cause d'un taux de compression plus fort. Mais cela lui donne l'avantage de diviser par quatre le poids d'un fichier DV. Il s'avère donc idéal pour la création d'un Vidéo CD qui offre une heure de film avec une qualité d'image proche d'un VHS. Autre avantage, le VCD est lisible sur la plupart des platines DVD de salon et sur les ordinateurs.

Pour réaliser un VCD, il fallait autrefois convertir son film en MPeg-1, puis créer une arborescence complexe de fichiers avec un logiciel de gravure comme Nero. Aujourd'hui, la manoeuvre est plus simple. Les logiciels de montage qui proposent la création d'un DVD intègrent également la création d'un VCD (Ulead Video-Studio 8, Pinnacle Studio 9). C'est une solution intéressante pour ceux qui n'ont pas de graveur de DVD, mais souhaitent visionner leurs films sur leur lecteur DVD de salon et bénéficier d'un menu interactif.

A savoir

le Super Vidéo CD (SVCD) est un autre format de diffusion basé sur un CD, mais qui utilise le MPeg-2 dans une définition moindre que celle du DVD (480 x 576 pixels). Le SVCD offre trente minutes d'enregistrement, est lisible sur certaines platines DVD récentes et peut contenir un menu interactif.

Le MPeg-1 est le format de compression dédié au Vidéo CD. Une solution pour tous ceux qui n'ont pas de graveur de DVD ou qui ne souhaitent pas gâcher un DVD pour une heure de film.

Utiliser des codecs : pour diffuser sur Internet

La diffusion vidéo sur Internet présente quelques contraintes. Elle suppose non seulement un fichier de faible taille, mais aussi une connexion haut-débit pour la mettre en ligne et la télécharger. L'enjeu est d'obtenir un fichier vidéo avec un bon rapport taille/qualité. Pour cela, vous devez dénicher un encodeur capable de compresser le fichier natif au maximum tout en conservant une qualité d'image respectable, ce qui relève du casse-tête !

Nous n'allons pas énumérer tous les codecs de la planète, même si certains comme Cinepack, H264 et Sorenson ont fait leur preuve, mais seulement vous donner quelques tuyaux. Quel qu'il soit, le codec (codeur décodeur) vous demandera toujours de spécifier les mêmes critères : définition, nombre d'images et connexion.

Pour la définition d'image, choisissez de préférence 320 x 240 pixels ; pour la cadence, optez pour 15 images/seconde, et pour la connexion 512 Kbit/s est un bon débit si votre entourage possède une connexion ADSL. Évitez de vous lancer dans l'aventure si votre connexion Internet se limite au 56 Kbit/s car cela implique des dizaines de minutes de téléchargement pour un malheureux fichier de 2 Mo.

Pour les formats, le MPeg-4 est particulièrement adapté grâce à sa souplesse de compression offrant des fichiers de taille réduite de bonne qualité. À savoir : nous recommandons l'encodeur Windows Media 9 qui est téléchargeable gratuitement sur le site de www.microsoft.fr . À la fois simple, complet et très performant, son assistant vous guide étape par étape pour créer un fichier vidéo pour le web, ou même diffuser en direct avec votre caméscope. Vous pourrez ainsi convertir une vidéo de 400 Mo en un fichier de 4 Mo.

Le DivX, pour quoi faire ?

Très à la mode, le DivX n'est pas le Saint-Graal de la vidéo ! Son principal intérêt est son rapport de compression permettant la copie intégrale d'un DVD vidéo sur un simple CD. Son créateur français, Jérôme Rota, ambitionne d'ailleurs d'introduire une puce DivX dans les enregistreurs de salon pour enregistrer des émissions télévisées en temps réel sur un simple CD-Rom.

Mais pour la diffusion de films amateurs, le DivX n'est pas plus attractif que le MPeg-4 ou le MPeg-1 qui offrent un rapport qualité/compression tout à fait similaire. De plus, le DivX nécessite une machine puissante pour assurer une lecture fluide sans blocage ou saccade du film.

Transférer son film DV directement sur DVD

Si l'ordinateur vous semble trop compliqué pour compresser les films issus d'un caméscope, il existe des enregistreurs DVD de salon équipés d'entrée DV : ils permettent de transférer directement toute votre cassette sur un DVD qui sera reconnu sur n'importe quel lecteur. C'est le cas du Pioneer DVR-320 (600 euros) qui possède une entrée DV.

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Une cassette DV est enregistrée nativement en AVI non compressé. Un AVI peut être compressé par exemple en DivX. Mais un transfert de DV vers ton PC se fait en AVI NON compressé, ce qui explique que ta capture prenne autant de place sur le disque.

Sur une casssette DV, les igna est enregistré en ... DV.

C'est lors du transfert sur un PC sous windows que ce signal est encapsulé en AVI.

Su mac c'est en .MOV ou encore en natif.

Par contre le signal DV n'est pas du NON compressé.

le DV a un débit de 3.6 Mo/se, 13 Go/heure, une video en definition standard non compressé fait dans les 20Mo/sec, soit 70 Go/heure.

KCd

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D'autre part le mepg 2 n'est pas d'aussi bonne qualité que le format mini DV contrairement à ce que veulent faire croire les fabricants. (mais noçsu en avosn aprlés a plusieurs endroits sur ce site est forums)

Il me semble que le format mini DV par rapport à son grand frère pros : DV est compressé 5 x et à une vitesse de défilement de la bande différente .

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En fait il existe beaucoup de format "Pro" '( on dit Broadcast ) qui sont eux aussi comprésse : la grosse différence, c'est que la coloruimétrie de ces formats est beaucoip plus riche d'information.

A+

KCd

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Bonjour,

En résumé :

Le non compressé en définition standard, c'est 240 Mbits/s. Ouch !

L'échantillonnage (on supprime des informations de couleur) fait passer à 120 Mbits/s.

La compression DV (5X) nous amène à 25 Mbits/s.

La compression MPEG-2 supprime des informations visuelles de mouvement pour descendre entre 5 et 10 Mbits/s.

La compression MPEG-4 (dont le H.264) permet de diviser encore ce débit par deux.

En bref, du capteur au flux sur DVD, on a quand même divisé le débit par 25...

Complément : http://forum.mac-video.fr/articles/Stockag...ckageVideo.html

Comme le dit KCd, la grand différence des formats pro se situe à l'échantillonnage. Soit on garde tout (4:4:4), soit on en garde plus (4:2:2), mais on ne peut pas "massacrer" comme les formats grand public (4:1:1 ou 4:2:0).

Cette ligne de démarcation entre les formats est ancienne et perdure en HD. Ce critère a l'avantage d'être clair et visible. Il a fait la fortune de Panasonic, qui propose des formats pro (DVCPRO 50 puis DVCPRO HD) à un tarif presque amateur (voir le HVX200).

Antoine

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    • impressionnant. Bravo.   à 2,24'' et suivantes, comment faites-vous pour faire passer votre drone à travers les arbres compte tenu que la détection d'obstacle devrait l'en empêcher  ?
    • Désolé mais je n'ai pas accroché.... Diction vraiment trop scolaire et comme dit Michel pas de chute...
    • merci  Comemich pour ce commentaire  l idée première était de synchronisée le perso avec ses sosies ce qui est une vraie gymnastique pour le montage  l histoire devenant secondaire un six minute ne permet pas trop de s étaler dans les dialogue      bonne journée
    • Le sujet est intéressant. La présentation caricaturale des personnages est réussie. Mais le dénouement du récit manque d'imagination. Il faudrait une chute surprenante qui rendrait la comédie plus drôle. Dans "Un diner de cons" de Francis Veber, qui traite du même sujet, chacun est le con de quelqu'un d'autre. Et à la fin, le plus con n'est pas celui qu'on croit. Je pense que les questions du docteur auraient du être plus cons. La consultation aurait pu se terminer par une prescription farfelue et un dépassement d'honoraires.
    • Le pilote (portuaire ) du bateau  n'ayant plus le contrôle a lancé un SOS pour avertir de la collision probable du bateau sur le pilier du pont. Ce qui a permis au personnel de limiter le trafic sur le pont, et peut aussi expliquer une prise de vue spectaculaire de l'accident. On est dans le siècle du tout image et tout partage grâce aux réseaux sociaux  
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