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L'arbre aux sabots aurait fait un fruit


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Bande de sans coeurs que vous êtes, j'espère vous interpeller !

 

Hier soir, j'ai eu l'heureuse surprise de pouvoir revoir sur le câble "L'arbre aux sabots" de Ermanno Olmi (qui nous a d'ailleurs quitté récemment).

 

La dernière fois (1978), je me souviens m'être éjecté du berceau pour courir à 4 pattes le voir à sa sortie, impatient de découvrir encore l'esthétisme italien.

 

J'avais pu ainsi assister à une expo de tableaux de grands-maîtres que j'en oubliais d'en machouiller ma tototte :blink:

 

Puis, après de longues années, viennent donc hier soir avec moi dans mon fauteuil acquis à l'évidence d'avoir bien mûri depuis.

 

Je vois un film qui a autant vieilli, un 16mm autant usé et pas le beau 35mm dont je croyais me souvenir ou un digital clinquant d'un remake éventuel ...

 

... jusqu'à notamment cette scène (attention, extrait jusqu'à 2'14" car après c'est un chant de Noël ajouté) :

 

 

Et je me suis dit en m'affalant contre le dossier et en me laissant les bras glisser des accoudoirs : "mais quel c... j'étais la 1ère fois ! Je n'avais même pas vu toute cette grâce qu'on pouvait mettre dans les images et qui plus est, les plus statiques !" ...

 

Tototte oubliée et resté bouche bée jusqu'à la fin, aux plans sur les paysans cloîtrés derrière leurs fenêtres pour regarder dans l'impuissance partir la famille expulsée de la ferme pour avoir coupé un bout d'arbre pour refaire un des sabots du petit qui va à l'école.

 

Avec maintenant la course effrénée à la qualité d'image à en renier le dv puis la hd, pourquoi ne pas d'abord garder toute la force du goût de ce fruit si bien mûri depuis ?

 

... Ce fruit que perso, je nomme si obstinément le contenu 1565129506_larbreauxsabots.jpg.041a01ddb05308a330307881116c0aba.jpg

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A pleurer... merci Ciné 7 de nous rappeler ce que peut être aussi le cinéma.

Telerama lui a rendu un (trop) court hommage dans son numéro du 16 mai dernier. Il avait eu la Palme d’or à Cannes en 1978, justement pour l’arbre aux sabots.

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Grand salut et grand merci YANIK et NOEL (et bien-sûr loupiod ... Ne te caches pas, je t'ai vu !),

 

Oui moi aussi, j'ai appris le décès d'Ermanno Olmi par une dépêche et je n'ai rien vu de plus développé. Je suppose que la diffusion de l'arbre aux sabots servait même à lui rendre hommage.

 

Par contre sur le câble, j'avais déjà vu un docu sur les ateliers et les cours qu'il animait. On le voyait sur de trop courts extraits de ses leçons et je me suis même mis à la place des jeunes assis devant lui (les lucioles de titof) en me disant : "Tu te rends compte si à leur âge, j'y avais été aussi ? ... Bon ben non" (puissante comme pensée, non ?).

 

Je dois aussi préciser que le petit extrait de l'arbre aux sabots est sorti de son contexte. On l'apprend aussi avec les américains, l'émotion se prépare et il aurait fallu aussi montrer les quelques scènes d'avant que celle-ci vient clôturer.

 

Effet lumineusement lumineux garanti !

 

Merci NOEL pour le lien qui rappelle en effet que la musique est de Jean-Sébastien Bach et le thème principal est l'arioso de la cantate BWV 156 dont la mélodie est très belle :

 

(Fugue en G minor est dûment corrigé par un internaute italien sous la vidéo et je fais partie des pouces qu'ont remercié).

 

Moi-même, je dois des excuses à NOEL !

 

Ermanno Olmi démontre justement ici que le mode portrait existe bel et bien au cinéma !!!

 

(... mais qu'au ratio 4/3, na, prends çà !).

 

Il y a 8 heures, YANIK a dit :

ce que peut être aussi le cinéma

Cher YANIK, "aussi" ou "surtout", là est la question ...

 

Non c'est vrai : que "aussi" car je taquinais pour "bande de sans coeurs" :)

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Il y a 9 heures, YANIK a dit :

ce que peut être aussi le cinéma.

... ou la vidéo car c'était surtout l'objet de ma bafouille.

 

Zut et flûte, qu'on ait de quoi se nourrir !

 

En sd, hd ou uhd, on s'en tape le coquillard !

 

C'était aussi pour les lucioles que titof attend et espère (avec nous) pour enfin leur offrir de quoi attiser leur petite lueur !

 

Tiens don ! Cà me rappelle un scénar de court-métrage :smiley5: :

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Il y a 3 heures, Ciné7 a dit :

 

Moi-même, je dois des excuses à NOEL !

 

Ermanno Olmi démontre justement ici que le mode portrait existe bel et bien au cinéma !!!

 

(... mais qu'au ratio 4/3, na, prends çà !).

 

Salut Ciné7,

Je n'ai rien dit au sujet de ta remarque sur le format portrait au cinéma ... mais je n'en pensais pas moins, car je savais bien que le 4/3 était le format portrait au cinéma.

N'oublie pas que j'ai un APN LX100 qui permet justement "tout" ... choisir vitesse ou diaphragme très rapidement (juste 2 molettes à tourner ... mais aussi !!! ...que ce soit en HD en UHD ou en photo 4K de choisir aussi facilement (par un levier à glissière) le type de FORMAT (dimensions !) ... Ainsi je peux filmer au format portrait 4:3  (... et même en 1:1... mais BOF... le 1:1 ne m'inspire pas du tout).

 

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Bonjour et merci NOEL (j'avoue que là, à brûle pourpoint, je vois pas ce que donne le 1:1).

 

J'avoue aussi et çà date depuis tout petit, que j'ai toujours flashé sur cette intro en cinémascope parce qu'elle me rappelle à chaque fois en fanfare ce que doit être vraiment le cinéma (je ne me suis jamais allongé sur un divan pour l'expliquer) :

 

 

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D'ailleurs pour en revenir aux lucioles, ayant été d'abord attiré par l'esthétisme italien, je me demanderais sur le divan pourquoi je n'aurais pas plutôt préféré devenir directeur de la photo ? (d'autant que sur les tournages, j'ai toujours adoré l'équipe image :eusa_think-2:).

 

Porté par la musique de film, pourquoi n'avoir pas non plus tenté compositeur ? (Mais bon, déjà à l'école, le solfège et moi ...).

 

Non, il me fallait imaginer des images (ce que justement des signes indéchiffrables sur une portée ne me permettent pas).

 

Donc derrière tout çà, y avait ce côté encore balbutiant mais néanmoins tenace de communiquer de l'humanité au public en lui racontant une histoire en chorégraphie et en musique (en images et en sons) et comme j'ai eu un père qui m'a inculqué qu'on n'était jamais mieux servi que par soi-même mais qui a appelé un ami pour m'éjecter du berceau : direction Boulogne-Billancourt !

 

C'est donc en déplaçant mon arrière-train sur le terrain que les rencontres (dont une en particulier) et les occasions m'ont orienté vers le court-métrage et le scénario (une corvée mais "on" m'a dit que c'était un préalable dans le cinéma français).

 

Puis ainsi sur place, tout n'a cessé de me confirmer que je ne m'étais pas trompé de passion et qu'elle m'a toujours forcé à la patience et à la persévérance jusqu'à par exemple accepter sans broncher (on n'avait pas le temps) d'assurer une régie tout en étant aussi assistant-réalisateur parce qu'on était manifestement tombé sur un régisseur qui lui, s'était trompé de métier (pour préférer son ego).

 

Tout çà pour dire aux lucioles notamment nantaises, vous faîtes ce que vous voulez mais moi, je serais vous, je m'éjecterais du berceau pour filer tout droit donner un coup de main à une asso comme le club de titof car on n'y apprend beaucoup sur soi, sur la sincérité de sa passion et sur les autres avec qui on la partage !

 

C'est sur place que vous saurez ce qui vous correspond le plus, le fond ou la forme et par quel moyen en particulier !

 

Un soir, plus tard, assis dans votre fauteuil et quoi que vous aura réservé la vie, vous ne regretterez pas d'avoir quitté le berceau à temps et vous profiterez de ce qui vous éblouit en vous vous donnant raison à en laisser les bras glisser de vos accoudoirs ...

 

(Moi, c'est ma tabacologue qui m'a prévenu que j'avais quand-même gardé ma tototte).

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Il y a 14 heures, Ciné7 a dit :

... J'avoue aussi et çà date depuis tout petit, que j'ai toujours flashé sur cette intro en cinémascope parce qu'elle me rappelle à chaque fois en fanfare ce que doit être vraiment le cinéma (je ne me suis jamais allongé sur un divan pour l'expliquer) ...

 

Oui, en effet le 4:3 (donné en standard avec du film 35 mm)  est vraiment étroit dés que l'on filme des westerns dans l'immensité de l'Ouest américain !!

On le voit bien dans l'image ci-dessous qui montre bien le format large anamorphosé... permettant à une image 4:3 de s'élargir par anamorhose pour devenir le cinémascope à la projection:

 

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Ce que l'on remarque moins c'est que le Cinémascope ... n'est pas directement une invention américaine !!

On le doit à un français :  Henri Chrétien, ingénieur-opticien qui a mis au point un objectif anamorphoseur (équivalent à des lentilles ovales) :

 

En 1952, les représentants de la 20th CENTURY FOX  le rencontrent afin d'exploiter son objectif anamorphoseur.

Ils en achètent les droits et La Tunique, le premier film tourné en Cinémascope.

procédé directement issu de l'invention d'Henri Chrétien, sort en 1953.

Henri Chrétien reçoit un Oscar pour son invention lors de la 26e cérémonie des Oscars en 1954.

 

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D'ailleurs, je précise aux lucioles que le contraire de objectif anamorphique est objectif sphérique (comme vos 2 hémis).

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Merci pour ta réponse ... mais

... j'ai comme l'impression que je n'avais pas terminé de modifier mon dernier message, que tu répondais déjà ?  (mais peut-être que je me trompe)  

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Toujours pour les lucioles (dont NOEL), en me promenant hier soir sur YT, je suis tombé sur cette vidéo qui explique le sens de "chorégraphie en musique" et comme c'est la mode des drones et des gimbals, j'ai pensé à vous pour que vous la reteniez en exemple :

 

 

Les images devraient être en effet toujours chorégraphiées (et visuelles) et même la marche des acteurs se fait avec des pas de danse.

 

Mais la musique peut aussi se composer avec des sons d'ambiance.

 

A l'instar (sans lapsus) d'Ennio Morricone notamment sur la séquence d'ouverture d'Il était une fois dans l'ouest car c'est vraiment lui en tant que compositeur qui a conçu toute l'ambiance sonore (et Sergio Leone, la chorégraphie) :

 

 

A votre âge (ou à peu près, j'avais 13 ans), c'est sur cette scène que je l'ai compris ...

 

Alors bonne recherche de références à vous :bien:

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Ciné7 ... tu sais bien que j'adore ce film ... et cette séquence d'ouverture ... (comme d'ailleurs toutes les autres séquences qui font bondir les profondeurs de notre cerveau) ... ... mais tu aurais pu mettre aussi la séquence finale :

 

 

 

 

 

 

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NOEL, c'était pour la démo d'une ambiance sonore créée par un compositeur de musique mais c'est vrai, question chorégraphie, le final, pas mieux comme exemple.

 

Merci car la démarche de Henry Fonda (qu'on retrouve d'ailleurs dans tous ses films y compris les précédents) prouve qu'on a à faire à des pas de danse. La référence m'est toujours restée.

 

Je dois toutefois préciser qu'à 13 ans, c'était la 1ère fois que j'ai eu l'autorisation (parentale) d'aller le voir à Paris (sur "les champs") en prenant tout seul les transports. Je l'ai vu en VOST car je ne me suis pas donné le temps de choisir une autre salle tellement c'était urgent.

 

A 13 ans, je n'admirais que la forme et même avec les sous-titres, il m'a fallu beaucoup plus d'années pour le fond (même en général, pas que sur ce film).

 

Qu'on se le dise les lucioles ! Commencez déjà par aborder la forme.

 

Les cheveux blancs notamment du club de titof ont déjà toute une école sous la touffe et ce serait dommage que vous vous ne vouliez pas en profiter ...

 

On vous laisse le temps du vécu (de caler vos sabots) pour les contenus ...

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(Perso, jamais fait attention à la tonsure et à la barbe grisonnante de Sergio Leone. Au contraire, c'était une garantie !).

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Et toujours poursuivi par le grand maestro de la musique de film ... et je ne savais pas qu'il était au générique, j'ai vu ce film ce soir :

 

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Bonsoir NOEL et à la promo du film, le réalisateur Christian Carion a bien raconté cette rencontre. Il n'en est pas l'initiateur mais il a bien appris qu'on ne débarque pas en disant au maestro : "Tiens, v'là les bobines, fais nous la sisique". J'exagère mais c'était presque çà ... Je ne sais pas comment (ou combien) çà a quand-même pu se faire. Perso, soirée arte avec Lino Ventura et Patrick Dewaere (et d'autres).

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Il y a 4 heures, Ciné7 a dit :

Bonsoir NOEL et à la promo du film, le réalisateur Christian Carion a bien raconté cette rencontre. Il n'en est pas l'initiateur mais il a bien appris qu'on ne débarque pas en disant au maestro : "Tiens, v'là les bobines, fais nous la sisique". J'exagère mais c'était presque çà ... Je ne sais pas comment (ou combien) çà a quand-même pu se faire....

As-tu vu l'explication de sa rencontre avec Morricine  et la naissance "petit à petit" de la musique de ce film ?

 

 

 

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Merci NOEL ! Je m'incline sur le pourquoi il l'a fait (le Maestro m'étonnera toujours avec son sacré caractère !).

 

Très belle interview et j'ai noté qu'à un moment, Christian Carion se réfère certainement à la citation de Stanley Kubrick que j'ai moi-même choisie sur mon profil (dans "à propos de moi") :

 

"L’écran est un support magique. Il a tellement de force qu’il peut retenir l’attention en transmettant des émotions et des humeurs telles qu’aucune autre forme d’art ne puisse lutter". 

 

Tout à fait indiqué de la rappeler sur ce topic :sleep:

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    • impressionnant. Bravo.   à 2,24'' et suivantes, comment faites-vous pour faire passer votre drone à travers les arbres compte tenu que la détection d'obstacle devrait l'en empêcher  ?
    • Désolé mais je n'ai pas accroché.... Diction vraiment trop scolaire et comme dit Michel pas de chute...
    • merci  Comemich pour ce commentaire  l idée première était de synchronisée le perso avec ses sosies ce qui est une vraie gymnastique pour le montage  l histoire devenant secondaire un six minute ne permet pas trop de s étaler dans les dialogue      bonne journée
    • Le sujet est intéressant. La présentation caricaturale des personnages est réussie. Mais le dénouement du récit manque d'imagination. Il faudrait une chute surprenante qui rendrait la comédie plus drôle. Dans "Un diner de cons" de Francis Veber, qui traite du même sujet, chacun est le con de quelqu'un d'autre. Et à la fin, le plus con n'est pas celui qu'on croit. Je pense que les questions du docteur auraient du être plus cons. La consultation aurait pu se terminer par une prescription farfelue et un dépassement d'honoraires.
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