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Exposition de la nouvelle série Résonance du duo d’artistes Amélie CHASSARY & Lucie BELARBI à la galerie RAUCHFELD du 6 au 28 février 2014. Remarquées par la critique en 2012, durant le festival Circulation(s) - festival de la Jeune Photographie Européenne – elles se sont fait connaître par leur série Huis-Clos . Résonance fait écho à une métamorphose de la perception du monde réel, elle met en jeu les rapports entre les individus et la nature. Dans ce processus de création les deux artistes recherchent au mieux l’équilibre entre les idées imaginées et leurs représentations. Elles font de leurs personnages les témoins de ces installations éphémères révélées par la photographie. Galerie Rauchfeld DU 6 AU 28 FEVRIER 22 rue de Seine PARIS 6ème T: 01 43 54 66 75 du mardi au samedi 11 - 13 h / 14 - 19 h vernissage jeudi 6 février à 18h http://www.galerierauchfeld.com
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Bonjour, voici le problème que je rencontre depuis la réparation de mon appareil photo (Panasonic GH5). Dans le mode M en photo, avec l'aperçu constant réglé sur OUI. Je fais mes réglages (ISO, vitesse, ouverture) pour ne pas avoir de surexposition (disparition des dernières Zebras) dans mon écran / oeillère, l'image est telle que je la souhaite. Je prends la photo et quand je la visualise dans mon appareil / ordinateur l'image est beaucoup plus illuminée que voulue, par conséquent surexposé. Le problème disparaît lorsque je passe de l'obturateur auto à l'obturateur électronique, malheureusement étant photographe d'action, je n'utilise pas l'obturateur électronique qui crée des déformations sur les mouvements rapides. En pièce jointe, je vous mets en exemple 2 photos avec les mêmes réglages, celle à gauche en obturateur ESHTR / celle à droite en obturateur AUTO. La photo de gauche est le résultat que je recherche et que je vois dans mon œillère / écran avec les 2 obturateurs. J'espère que vous pourrez m'aiguiller vers ce qui est mal réglé dans l'appareil car un renvoi en réparation serait compliqué durant la période d'hiver qui représente 90% de mon travail annuel. Je vous remercie pour votre temps et votre aide, cordialement.
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Maia Flore, Au lieu de ce monde
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Pour ouvrir notre nouvelle saison d’exposition, nous sommes heureuses de présenter les dernières oeuvres de Maia Flore, où le collage et le dessin viennent rencontrer la photographie. Lauréate du prix HSBC en 2015, elle a fait connaître à travers de nombreuses expositions, son travail marqué par la recherche de ponts entre le réel et l’imaginaire. Elle détourne, modifie ou augmente le monde, comme pour dire qu’elle ne se soumettra pas à ses lois. Depuis l’automne 2017, Maia Flore poursuit ses recherches à l’école du Fresnoy-Studio des arts contemporains. Ce contexte exceptionnel d’enseignement l’amène à penser la manière qu’a le corps, son premier outil, de réagir avec l’environnement dans lequel il se trouve. Partant du réel et de ses contraintes, elle ancre son corps dans le paysage qu’elle photographie, et par une chorégraphie pensée, elle équilibre l’espace. Pour cette nouvelle exposition, présentée dans le cadre du Festival Circulation(s), Maia Flore présente des situations qui racontent sa poursuite superbe et sans n du moment absolu, celui où tous les éléments d’un espace s’équilibrent pour faire ressentir un frisson de quelques secondes, qui s’évapore ensuite. Il faut alors recommencer. Ces photographies sont des quêtes, des processus nourris par l’itinérance de l’artiste, et qui réussissent à faire sortir la photographie du cadre, en ajoutant à la prise de vue un travail de collage et d’assemblage de matériaux. Avec ces recherches récentes, Maia Flore explore encore plus loin la relation entre le corps et l’espace, et nous transmet avec ses images les sensations qu’elle a elle-même ressenti : une chute, le souffle du vent, le froid d’un morceau de glace, et en n, le soulagement d’avoir échappé pour quelques instant aux règles de l’espace et du temps. Cette exposition est organisée dans le cadre du Festival Circulation(s) du 14 mars au 5 mai 2018 vernissage le mercredi 14 mars, de 18h à 21h, en présence de l’artiste ouvert du mardi au samedi, de 14h à 18h entrée libre © Maia Flore, courtesy Galerie Esther Woerdehoff http://ewgalerie.com/assets/files/pdf/DP/2018/MaiaFlore-DP-2018_Fr.pdf -
Gérard Musy commence à photographier dès la fin des années 70. Entre New York, Londres et Paris, il plonge dans l’effervescence des lieux nocturnes. Dans les backstages des défilés, les fêtes et les boites de nuit qui illuminent les années 80 ou le mystère du milieu S/M, Gérard Musy transfigure le désir, la beauté et le fantasme en photographies éclatantes et vibrantes. Avec enthousiasme, le photographe cherche à la fois à faire corps avec le sujet et à s’effacer lui-même dans une volonté d’empathie totale. Mêlant les séries au fil des années, de la mode au fétichisme, des voyages aux arbres, le photographe construit une oeuvre multiple, dans une fluidité et une énergie vitale qui inspire chacune de ses images. Avec cette exposition, le photographe d’origine suisse, installé à Paris, nous propose un voyage à travers quarante ans de tirages, dans un jeu de reflets et d’échos. On passe d’une photographie à l’autre par des liens visuels et ces répétitions d’éléments formels donnent le sens de la continuité, une séquence ininterrompue. C’est un monde d’apparences, de femmes en tenues d’apparat, une exhibition, dans un jeu de rythmes figuratifs, dans un équilibre précaire entre ordre et désordre. Pour cette exposition, Gérard Musy a exploré ses archives, à la recherche de tirages vintage, la plupart inédits, et de grands formats spectaculaires qui leurs répondent sur les murs de la galerie. Choc des couleurs, lignes graphiques, ombres et lumières, les photographies dialoguent de séries en séries. Beyond, Lustre, Lamées, Leaves, Lontano/Lejano, Back to Backstage, une composition d’images se dévoile, instantanés aléatoires de la réalité, jaillissements de lumière sensuelle, une euphorie photographique ! Jusqu’au 3 mars 2018, ouvert du mardi au samedi, de 14h à 18h, entrée libre © Gérard Musy, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
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Bonjour Tout le monde, Il ya quelques mois avec Miracle de Mille nous sortions notre premier clip musical (A light in the Addict, Tribute to Action Bronson) avec une technique bien particulière d animation photographique. Vous aviez été nombreux à nous encourager et nous faire part de vos commentaires alors nous avons décidé de remettre le couvert. Aujourd'hui voici donc notre 2eme projet, intitulé JE SUIS DETER, réalisé avec la même technique mais dans un univers bien different, dans un univers surexposé, coloré et dynamique. Comme toujours nous sommes à l'écoute de vos commentaires, suggestions, critiques... Au plaisir, Jerome https://www.festivalnikon.fr/video/2017/557
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Exposition du 24.10 – 25.11.2017 Vernissage : mardi 24 octobre 2017, de 18h à 21h Cet automne, la BnF propose Paysage français, une aventure photographique, 1984-2017, une grande exposition où deux photographes de la galerie exposent leurs oeuvres : Xavier Dauny et Guillaume Martial. À son invitation, nous avons souhaité prolonger ce thème du paysage à la galerie par une exposition collective de 9 de nos artistes. En contre-pied d’une vision documentaire du paysage, leurs oeuvres offrent une géographie imaginaire, partie de la réalité mais métamorphosée par la prise de vue, le tirage ou l’intervention picturale : un réel réinventé par la photographie. Avec une grande diversité d’approche et de regard, les neuf photographes délaissent l’idée d’une photographie reflet du réel. Ils inventent le paysage et nous entrainent vers la fiction et le rêve mais parviennent aussi à transmettre l’émotion d’un instant, la beauté d’une forêt, d’une montagne ou d’une rivière ... Photographes présentés : Gregor Beltzig / Thierry Cohen / Xavier Dauny Sabine Guédamour / Iris Hutegger / Jens Knigge Olivier Mériel / Jacques Pugin / Nikolas Tantsoukes Pour en savoir plus : http://www.ewgalerie.com/assets/files/pdf/DP/DP2017_Paysages_fr.pdf © Jacques Pugin, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
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Exposition du 01.09 - 14.10.2017 Après un repos estival bien mérité et pour bien commencé la rentrée, la galerie vous propose une exposition retrospective sur le travail de Michael von Graffenried. Né en 1957 à Berne, le photographe Michael von Graffenried vit et travaille entre Paris, New York et la Suisse. Formé en autodidacte, il prend ses premières photos dans les années 1970, voyage dans le monde entier et commence à travailler comme photo-journaliste. En 1991, il voyage en Algérie, suit les premières élections libres et fera ensuite une trentaine de voyages, de la guerre civile jusqu’en 2000. Ce travail photographique, dans un format panoramique qui devient sa signature, est suivi en 2000 d’un film documentaire long métrage Guerre sans images – Algérie, je sais que tu sais, co-réalisé avec Mohammed Soudani, et présenté au Festival du Film de Locarno en 2002. Publiées et exposées dans le monde entier, ses images ont intégré les plus grandes collections de photographie. Il a publié une trentaine de livres, dont Soudan, une guerre oubliée (1995), Nus au Paradis (1997), Algérie, Photographies d’une guerre sans images (1998), Cocainelove (2005), Eye on Africa (2009), Bierfest (2014, Steidl) et Changing Rio (2016). Michael von Graffenried a reçu l’insigne français de Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres et, en 2010, il est le troisième photographe suisse, après Robert Frank et René Burri, à recevoir le Prix Erich Salomon de la Société allemande de Photographie. En 2010, la Maison européenne de la photographie à Paris lui consacre une grande exposition rétrospective. Cherchant toujours à porter un regard incisif et singulier sur le monde, il a bifurqué vers une approche plus conceptuelle de la photographie et s’investit aujourd’hui dans plusieurs projets artistiques et médiatiques. Pour en savoir plus : http://www.ewgalerie.com/artists/representing/michael-von-graffenried.html © Michael von Graffenried, courtesy Galerie Esther Woerdehoff
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L’agence allemande de photographes OSTKREUZ, fondée après la chute du Mur, fête ses 25 ans et présente une rétrospective de ses œuvres à Paris. L'exposition présente les travaux des trois générations de photographes de l'agence du 13 au 29 novembre 2015, au Passage du Désir. Fondée en 1990 lors d’un voyage à Paris, Ostkreuz, est de nos jours l’agence allemande la plus renommée. . L'exposition organisée présente un choix des meilleurs clichés réalisés depuis 25 ans. Avec les photographies de Marc Beckmann, Sibylle Bergemann, Jörg Brüggemann, Espen Eichhöfer, Sibylle Fendt, Annette Hauschild, Harald Hauswald, Tobias Kruse,Ute Mahler & Werner Mahler, Dawin Meckel, Thomas Meyer, Julian Röder, Frank Schinski, Jordis Antonia Schlösser, Linn Schröder, Anne Schönharting, Stephanie Steinkopf, Heinrich Völkel et Maurice Weiss. http://www.ostkreuz.de/en/ PASSAGE DU DÉSIR | DU 13 AU 29 NOVEMBRE 2015 | 85-87 RUE DU FAUBOURG SAINT-MARTIN, 75010 PARIS De 13h à 20h tous les jours sauf mardi | Entrée libre Organisateur Goethe Insitut Katharina SCRIBA Goethe-Institut Paris 17, avenue d’Iéna, 75106 Paris katharina.scriba@paris.goethe.org
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In Situ - États-Unis
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Exposition de photographies d’Éric Pillot, lauréat 2014 du prix de photographie Marc Ladreit de Lacharrière - académie des beaux-arts In situ - États-Unis est consacré à l’animal dans les parcs zoologiques de l’est des Etats-Unis. Cette nouvelle série prolonge le travail mené par le photographe dans les zoos européens depuis plusieurs années. Éric Pillot invite à regarder l’animal sauvage comme un être singulier, avec cette particularité d’être photographié dans des décors artificiels et scénarisés par l’homme. L'exposition présente une trentaine de tirages 100 cm x 100 cm réalisés sur papier mat, ce grand format permettant d’instaurer un rapport « physique » avec l’animal photographié. La Revue des Deux Mondes a édité un hors-série consacré à In situ – États-Unis d’Éric Pillot. Le Prix de Photographie a été créé en 2007 à l’initiative de Marc Ladreit de Lacharrière, membre de l’Académie. Ce prix a pour vocation d’aider des photographes confirmés à réaliser un projet significatif et à le faire connaître au public. Le samedi 21 novembre, à 17h, aura lieu une rencontre entre Eric Pillot et Emmanuelle de l’Ecotais. Entrée libre http://www.academie-des-beaux-arts.fr/prix Informations pratiques : Palais de l’Institut de France, 27 quai de Conti, Paris VIe Du 22 octobre au 22 novembre 2015 Exposition ouverte du mardi au dimanche de 11h à 18h Vendredi 23 octobre : ouverture au public de 15h à 19h Vendredi 6 novembre : ouverture jusqu’à 20h (vernissage du festival Photo Saint-Germain) Samedi 21 novembre : ouverture jusqu’à 19h Fermeture les mercredis 11 et 18 novembre-
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Laurence Demaison & Marc Sommer
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Exposition : 03.11 - 19.12.2015 Vernissage : le mardi 3 novembre 2015, de 18 à 21h La Galerie Esther Woerdehoff a le plaisir d’exposer deux photographes : Marc Sommer et Laurence Demaison. En noir et blanc pour l’une, en couleurs pour l’autre, une connaissance de longue date et une découverte inédite, deux oeuvres qui se retrouvent dans leur créativité et dans le regard caustique que ces deux photographes portent sur soi ou sur le monde à travers l’objectif de leur appareil photo. Pour plus d’informations : http://www.ewgalerie.com/assets/files/pdf/DP/Sommer_Demaison-DP-2015-Fr.pdf Crédit visuel © Marc Sommer, courtesy Galerie Esther Woerdehoff Galerie Esther Woerdehoff 36 rue Falguière 75015 Paris www.ewgalerie.com galerie@ewgalerie.com du mardi au samedi, de 14 à 18h -
La ville de Vichy se met à l’heure de la photographie pour la troisième année consécutive avec “Portrait(s)”. La manifestation, qui se tient du 12 juin au 6 septembre, est la seule en France à être centrée exclusivement sur l’art du portrait. Elle présente une pluralité de visions, célèbre toutes les formes de portraits, les plus classiques comme les plus inattendues. Vernissage vendredi 12 juin 2015 à 18h dans les galeries du Centre Culturel Valery-Larbaud et 19h sur l'esplanade de l'Allier. Manifestation gratuite. http://www.ville-vichy.fr/
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Dans le cadre du Festival Nomade 2015, l’Espace Photographique de l’Hôtel de Sauroy présente du 8 au 14 juin 2015 l’exposition et le livre Ce qu’il reste du photographe Olivier Kurcz. Un festival court, une exposition courte pour présenter un travail qui parle d’instants, de riens, d’éphémère. Un rien, c’est déjà quelque chose ; ce sont ces riens qu’Olivier Kurcz s’applique à photographier de façon plus ou moins abstraite, ces traces laissées d’une manière ou d’une autre par un geste humain qu’il croise à un instant de leur processus de décomposition et qu’il va ordonner dans son cadre. Des lignes qui fuient, des masses qui bouchent l’horizon, des reflets qui se chevauchent, de la matière dans la lumière. Quelle que soit la direction du regard de l’auteur, il se heurte enfin à l’objet et laisse peu d’espace au spectateur pour s’échapper. Parfois des gens se croisent, au loin, chacun dans sa propre absence. Éphémères, la série Les petits dieux le sont aussi. L’auteur assemble les figures de son panthéon personnel à l’aide de galets et autres bois flottés ou végétaux usés par le vent et la mer. Il les photographie et les laisse disparaître... A partir des années 90, Olivier Kurcz entame avec ses compères de la Triplette Infernale une aventure éditoriale inspirée par GLM et Fata Morgana. Une vingtaine de titres fabriqués avec soin en très petite quantité se succèdent en librairie. Poésie, contes, essais, arts graphiques, les Éditions de la Triplette infernale se risquent sur de nombreux chemins. Parallèlement, une revue souterraine : LAPS, affranchie de tout conformisme, fait le bonheur d’une centaine de happy few, ralliés des plus divers horizons. Vernissage le mardi 9 juin à 18h– Espace Photographique de l’Hôtel de Sauroy avec la présentation du livre Ce qu’il reste aux Editions de La Triplette infernale en présence du photographe Soirée-signature du livre Ce qu’il reste aux Editions de la Triplette infernale le vendredi 12 juin à 19h Espace Photographique de l’Hôtel de Sauroy 58, rue Charlot, 75003 Paris Métro : Filles du calvaire / Temple Bus : 20 / 65 / 96 Du lundi au dimanche de 11 h à 19 h Nocturne le jeudi jusqu’à 21 h Entrée libre Retrouvez toutes les informations et le dossier de presse sur : www.izo-rp.com www.kurcz.fr www.mairie03.paris.fr/mairie03
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Festival Circulation(s)
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Cinquième édition de Circulation(s), festival de la jeune photographie européenne organisé par l’association Fetart : 43 jeunes talents au CENTQUATRE-PARIS du 24 janvier au 8 mars 2015. Ce festival a pour vocation de présenter un panorama de la nouvelle génération de photographes européens et de mettre en synergie des initiatives culturelles européennes autour de l'image. Parraînée par Nathalie Herschdorfer directrice du Musée des beaux-arts de la ville du Locle, en Suisse, l’édition 2015 présente une grande nouveauté : une exposition à hauteur d’enfants, qui sera accompagnée d’un programme pédagogique et d’un ensemble d’activités pour le jeune public. Une exposition de trois jeunes talents est également prévue à la gare du Nord. Vernissage public : samedi 24 janvier de 15h à 19h suivi du Bal Pop' à partir de 20h au CENTQUATRE-PARIS. Pour voir tous les photographes et plus d'informations, consulter le site : http://www.festival-circulations.com