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Gamme Everio JVC


Thierry P.
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EN 2008, LES CAMÉSCOPES À DISQUE DUR JVC EVERIO PROPOSENT UN DESIGN ULTRA-COMPACT, UNE FACILITÉ D’UTILISATION ACCRUE, DANS UNE GAMME TOUTE EN COULEURS.

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GZ-MG730

Des nouvelles fonctions, une nouvelle barre de défilement tactile, un design ultra-compact et une gamme de couleurs élégantes.

JVC (Victor Company of Japan, Limited) sort sa dernière gamme de caméscopes à disque dur Everio : Grâce à leur nouveau design ultra-compact, ils sont les caméscopes à disque dur les plus petits du marché*. Les modèles de la nouvelle gamme Everio dévoilée aujourd’hui sont disponibles en quatre couleurs et offrent de nouvelles fonctions qui rendent leur utilisation plus simple et plus intuitive.

En 2008, les caméscopes Everio seront disponibles en bleu Saphir, rouge Rubis, argent Diamant et noir Onyx, permettant ainsi aux clients de choisir un modèle en fonction de ses caractéristiques, de son prix et de son style. Autres innovations : la commande "Laser Touch", une barre de défilement tactile qui facilite l’utilisation des modèles avec un disque dur de 30 ou 60 Go et un nouveau design 20 % plus compact que le modèle d’entrée de gamme de l’année précédente. En outre, les modèles haut de gamme permettent de faire des photos numériques en très haute résolution grâce à leurs capteurs CCD 5 ou 7 mégapixels, évitant ainsi d’avoir à transporter à la fois un caméscope et un appareil photo numérique. Ces modèles sont les premiers au Monde à disposer d’un disque dur intégré de 1,3’’ (30 Go), ce qui a permis à JVC d’inclure un capteur CCD de 1/2,5” avec une optique équipée d'un zoom puissant et une grande capacité d'enregistrement tout en conservant un volume très réduit.

L'une des principales innovations intégrée à tous les modèles Everio-G de 2008 est l'interface utilisateur avec commande "Laser Touch" - une barre de défilement tactile lumineuse, située sur la gauche de l’écran LCD. En déplaçant simplement son doigt le long de la barre de défilement, l’utilisateur peut naviguer dans ses fichiers vidéo et les sélectionner pour les visionner ou les modifier. Il peut aussi naviguer dans les menus de réglage de l’appareil. L’interface graphique utilisateur (GUI) haute résolution est également pilotée par la commande Laser Touch, ce qui élimine le risque, inhérent aux écrans tactiles, de tacher ou de rayer l’écran. De plus, afin d’améliorer la visibilité de l'écran LCD pour la prise de vue en extérieur, l'affichage propose une nouvelle commande de rétroéclairage automatique.

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La nouvelle gamme Everio-G présente trois avantages : facilité d’enregistrement, facilité d’édition et facilité d’archivage. L’archivage est particulièrement simple grâce à la station de gravure DVD optionnelle qui, en 2008, affiche un nouveau design incroyablement compact la rendant beaucoup plus facile à transporter lors des déplacements. Appuyer une fois sur le bouton "Direct DVD" permet de transférer les vidéos depuis le caméscope vers la station de gravure DVD (CU-VD3) ou vers un PC. Le DVD ainsi obtenu contiendra l’ensemble des films, les scènes sélectionnées ou uniquement les dernières prises. Le bouton "Direct Backup" (sauvegarde directe) permet de sauvegarder les enregistrements sur un PC via une connexion USB 2.0 haut débit afin de libérer de l’espace sur le disque dur. La sortie DV (IEEE 1394 : i.LINK) de la station d’accueil Everio permet la copie sur les enregistreurs DVD ou à disque dur et permet aussi d’exporter les vidéos vers les logiciels de montage. Certaines opérations basiques d’édition peuvent même être réalisées sans PC. L’ordre de lecture des scènes peut être modifié directement sur l'appareil et l'un des 20 menus DVD prédéfinis peut être inséré dans le film pendant son visionnage ou sa gravure. Ces écrans d’introduction colorés sont liés au choix de la langue et offrent donc un large choix en fonction de celle-ci.

La qualité de l’image est optimisée grâce à l’utilisation d'un objectif KONICA MINOLTA F1.8 sur la plupart des caméscopes Everio-G de 2008. Cet objectif haute performance, développé par le célèbre spécialiste de la photographie, fournit des images nettes et lumineuses, tout en restant suffisamment petit pour avoir permis à JVC de créer un caméscope très compact. L'excellente qualité de l’image est également due au processeur "Gigabrid" de JVC, qui intègre plusieurs technologies de réduction du bruit améliorant le rapport signal/bruit d’environ 30 % (3 dB) en comparaison des modèles précédents dépourvus de cette option.

La gamme Everio-G de 2008 comprend trois modèles à 800.000 pixels, deux modèles à 1 mégapixels, un modèle à 5 mégapixels et un autre à 7 mégapixels. Les trois caméscopes à 800.000 pixels incluent deux modèles avec un disque dur de 30 Go et un modèle avec 60 Go. Le GZ-MG330 - 30 Go - dispose d’un zoom optique x35 et se décline en trois couleurs "pierres précieuses" : bleu Saphir, rouge Rubis et argent Diamant. Le GZ-MG335 (disponible en argent Diamant) offre les mêmes fonctions que le MG330 avec en plus la torche automatique et une station d’accueil Everio pour faciliter les connexions et la charge de la batterie. Le GZ-MG365 (noir Onyx) dispose d’une capacité de stockage deux fois plus élevée grâce à son disque dur interne de 60 Go. Deux modèles supérieurs disposant d’un capteur CCD de 1,07 mégapixels complètent le milieu de la gamme : le GZ-MG435 - 30 Go et le GZ- MG465 - 60 Go, tous deux disponibles en noir Onyx. Tous ces modèles, équipés aussi bien de disque dur 30 Go ou 60 Go, pèsent à peine 360 g, batterie comprise.

En haut de la gamme des Everio-G de 2008 se trouvent le GZ-MG530 et le GZ-MG730 - 30 Go, qui proposent une fonction photo numérique particulièrement performante grâce à un capteur CCD de 1/2,5" de respectivement 5,37 mégapixels (MG530) et 7,38 mégapixels (MG730), avec filtre pour les couleurs primaires. Ils se présentent sous un design plus arrondi qui met en valeur l’objectif KONICA MINOLTA F3.5. Avec leur capacité à prendre des photos numériques haute résolution allant jusqu’à 2592 x 1944 pixels (MG530) ou 3072 x 2304 pixels (MG730), ces modèles sont parfaits pour un double usage. Les passionnés apprécieront les caractéristiques de prise de vue supplémentaires, dont le flash automatique, les programmes AE avec priorité vitesse et priorité ouverture, le mode "Braketing" d'exposition, la compensation de contre-jour et de spot, les réglages de couleur vive / naturelle et l’affichage de l’histogrammes.

Tous les modèles disposent également de la prise en charge PictBridge pour l’impression directe, d’un lecteur de carte mémoire MicroSD et d’une télécommande très pratique. La batterie intelligente de JVC affiche le temps d’enregistrement restant même lorsque le caméscope est éteint. La fonction "Power-Linked Operation" allume le caméscope lorsque l’écran LCD est ouvert et le bascule en mode veille dès que l’écran est replié ; la fonction "Quick Restart" (redémarrage rapide) lance l’enregistrement en à peine une seconde à la réouverture de l’écran LCD.

Concernant l’utilisation avec un PC, les caméscopes Everio-G sont fournis avec la suite logicielle CyberLink comprenant : PowerProducerTM 3 NE pour la création de DVD, PowerDirectorTM 5 NE Express pour le montage et PowerCinemaTM NE pour Everio pour la navigation dans les fichiers du caméscope et pour les fonctions Direct DVD/Direct Backup. Les utilisateurs de Macintosh pourront facilement importer leurs fichiers vidéo à partir du caméscope Everio par la prise DV en utilisant iMovie ’08.

Une gamme étendue d’accessoires optionnels vient également renforcer l’attrait de la gamme Everio-G. Parmi eux, le plus remarquable est la station de gravure DVD Everio CU-VD3 ultra-compacte, qui fonctionne verticalement ou horizontalement. Pour les aventures aquatiques, le caisson de plongée WR-MG100 permet d’utiliser les caméscopes Everio sous l’eau jusqu’à une profondeur de 40 m. Des caméscopes colorés méritent des sacs de transport colorés : le sac CB-VM60 compact permettant de transporter le caméscope Everio et sa batterie est disponible en noir, bleu et rouge. Le sac CB-VM70, plus grand, est proposé en noir et permet également de transporter un système complet. Enfin, une bonne façon de débuter une merveilleuse relation avec Everio est le Kit de démarrage VU-VM90K, qui comprend le sac de transport CB-VM70 et une batterie intelligente BN-VF808.

Prix : 800€

Fiche comparative : http://www.magazinevideo.com/comparatif-video-524.htm

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    • JLB21: "Pourquoi 'se voulait' ? Il n'y a pas plus exhaustif en termes de montage vidéo que DVR, c'est incontestable. D'où sa complexité…" -> Bon d'accord. C'est une manière de dire que je suis très frustré de ne pas pouvoir enregistré ma voix off directement sur DaVinci en cliquant sur le micro. Alors que la fonction existe sur bel et bien sur DaVinci. Et pour l'instant je ne sais pas ce qui désamorce cette fonction. DaVinci n'est peut-être pas du tout en cause. C'est peut être un bidule-machin qui déconne au plus profond de mon Mac, ou bien une case à décocher dans le sous-menu d'un sous-menu. Charlie: Oui c'est une solution de "bricolage". Enregistrer une voix off puis la découper en 100 morceaux pour la recoller en un autre puzzle ...C'est toujours une solution. Mais pour moi, l'idéal c'est de faite un prise de vidéo propre, et une prise de son propre. Le but n'est pas de les découper et bricoler dans tous les sens par la suite. Bien sur on peut toujours bricoler/découper,  parce qu'à ce moment là un chien a aboyé au loin ou un avion est passé dans le ciel. Mais l'idéal c'est de bricoler le moins possible. En générale je fais 3 fois la même prise de vidéo/son de la même scène. Histoire de choisir la meilleure, et de pouvoir bricoler si nécéssaire en piquant sur l'une ou l'autre. Mais "bricoler" ce n'est vraiment pas ma direction première, c'est la dernière solution de sauvetage. Non seulement c'est beaucoup plus de travail au montage, mais en plus il y a toujours un petit quelque chose de faux en arrière plan. Par exemple de ce joli papillon posé par hasard sur la fontaine en pierre, mais qui a subitement disparue sur la scène suivante sans qu'on le voie s'envoler (parce que le caméraman s'est pris les pris dans le câbles et a chuter en faisant fuir le papillon). Parfois un de mes chat passe dans la prise de vue, c'est totalement involontaire, mais je trouve que ça apporte un plus (notamment parcequ'il donne l'échelle des élément en scène), et si le chat est là, il ne peut pas disparaitre par magie lors du changement de scène. Ou alors c'est la lumière qui change: on avait grand soleil, puis un nuage passe et les scène suivantes seront toutes dans l'ombre, au montage la lumière ne corresponde carrément pas, etc... Bref: bricoler, oui, c'est aussi ça que nous permet la technologie. Mais bricoler le moins possible pour avoir le plus d'authenticité possible. La dessus, je part en vacance (comme beaucoup :D). Alors je ne répondrais plus à ce poste que je met en pause pour quelque temps. J'y reviendrais après les vacances. Je vous souhaite de passer de bons moments chaleureux pendant ces fêtes avec vos proches. Merci à vous, Bart  
    • Apparemment, il y en a qui font cela sans problème. Regarde ce post sur lequel je viens de tomber…
    • Même si ça ne fait pas avancer ton souci, je réagis un peu à cette affirmation... Pour ma part les prises de son (ce n'est jamais moi le narrateur) sont faites indépendamment des images et ensuite je découpe et je colle... Je trouve que ça laisse plus de liberté lors de la prise de son qu'on peut refaire en partie, trouver les bonnes intonations, etc. Mais chacun sa méthode, bien évidemment  ;)
    • Pourquoi 'se voulait' ? Il n'y a pas plus exhaustif en termes de montage vidéo que DVR, c'est incontestable. D'où sa complexité… Et la capture audio fonctionne parfaitement chez moi… Même si personnellement, je préfère et de très loin FCP X pour sa productivité incomparable   Pourrais-tu me préciser quel modèle de Mac tu as et quelle est ta version d'OS ? Peut-être devrais-tu désinstaller complètement DVR comme je l'ai fait (voir plus haut) et ré-installer ? Il ne m'a fallu 3 mn pour l'installation complète.   Cette situation va changer très prochainement d'après ce que j'ai lu récemment.  Quick Share sur les smartphones Pixel 10 permet déjà les échanges via Airdrop d'Apple. Et il semble que cette fonction va être développée par Google sur les autres appareils Android dans les mois prochains.   Sinon, plutôt que d'envoyer tes photos/vidéos par messagerie, tu devrais pouvoir passer par Google Drive ou par transfert de fichiers.   Sauf qu'il faut d'abord lancer l'enregistrement QuickTime puis, sans te soucier de rien, lancer ta vidéo dans DVR pour enregistrer. Ce qui revient à peu près au même que l'enregistrement direct dans DVR. À la différence près qu'il te faudra caler ensuite l'enregistrement sur ta TL.
    • JLB21: J'ai un smartphone "Doodge" (je crois que c'est la marque) et "Blade10 Energy" je crois que c'est le modèle. Mais le système d'exploitation c'est Androïd. J'ai choisi ça surtout parce que c'est un modèle de chantier incassable, étanche à la poussière et à l'eau. Ensuite c'est nettement moins cher qu'un iPhone. Seulement Apple a mis toutes les barrières possible pour rendre incompatible les Mac avec les appareils non Apple comme ceux qui fonctionnent avec le système "Androïd". Mon smartphone n'est pas reconnu sur le Mac. Et même après avoir installé une application spéciale pour le transfert des dossiers de l'un à l'autre: ça ne marche pas. Je ne peux pas récupérer mes photos ou vidéos stockées dans mon smartphone Doodge pour les récupérer dans le Mac, et inversement. À moins de les envoyer par courriel... ceci à condition que ce ne soit pas trop lourd... Bref, mon micro de smartphone n'est évidement pas reconnu sur Davinci installé sur Mac. Merci Apple au passage pour ces incompatibilité , mais ça c'est encore une autre histoire. JJK3 & JFL: L'interet d'une prise de son en directe c'est aussi de coller le son parfaitement sur l'image. Par exemple si je présente le village des schtroumpfs: "Vous avec ici le grand schtroumpf, là le schtroumpf à lunettes, et voici la fameuse schtroumpfette. Et regardez la Haut sur la montagne: le château du terrible Gargamel..." Dans ce cas il est indispensable de voir l'image défiler en même temps qu'on enregistre le son, au risque de montrer Gargamel lorsqu'on parle de la schtroumpfette.  Dans le cas d'un doublage aussi, lorsque le son est pourri sur une scène filmé, parfois on peut refaire le son et doubler. Je crains devoir rester avec cette fonction micro mystérieusement bloquée. Bien sur il reste la solution de bricolage: celle que j'ai fais pour terminer ma vidéo: Lancer la vidéo sur DaVinci, puis dans une fenêtre à côté: enregistrer la voix off sur QuickTime ou GarageBand. Puis coller ensuite le fichier son obtenu sur DaVinci. Pas super pratique pour un logiciel qui se voulait hyper complet   .
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