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Festival Paris Cinéma 2010 : Le Japon à l'honneur


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La Ville de Paris offre au public, depuis sept ans maintenant, un festival international à son image : celle d’une grande capitale internationale, moderne, dynamique et créatrice d’idées nouvelles.

Avec des moyennes de fréquentation en progression constante (plus de 75 000 spectateurs en 2009), Paris Cinéma est un festival pour tous les publics, à la fois populaire et exigeant, où le meilleur est accessible à tous.

En 2010, du 3 au 13 juillet, aux côtés des temps forts que sont notamment la compétition internationale, les avant-premières et les hommages, le festival mettra à nouveau au coeur de sa programmation la cinématographie d’un pays, cette année celle du JAPON.

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Pays à l’honneur, le Japon

plus de 100 films en présence d’invités

Après les panoramas brésilien, coréen, libanais, philippin et turc qui ont permis au public de découvrir des cinémas méconnus mais en plein renouveau, et les oeuvres de grands cinéastes comme Nuri Bilge Ceylan, Im Sang-soo ou encore Brillante Mendoza, le Festival Paris Cinéma mettra à l’honneur le cinéma japonais qui jouit d’une véritable reconnaissance critique mais dont seuls quelques films sur les plus de 400 produits chaque année franchissent les frontières.

Un panorama contemporain permettra ainsi aux spectateurs d’apprécier, au MK2 Bibliothèque, la diversité du cinéma nippon de ces trois dernières années au travers d’une quarantaine de films inédits (courts et longs métrages, fictions et documentaires) et des rencontres avec leurs réalisateurs et comédiens. Ce panorama proposera également un détour par les années 80 avec la projection de quelques films rares et considérés comme des oeuvres phares pour les jeunes générations de cinéastes japonais (Typhoon Club de Shinji Sômai, Mélodie Tsigane de Seijun Suzuki…).

Année du centenaire de la naissance d’Akira Kurosawa, un hommage sera rendu à l’empereur du cinéma japonais à la Cinémathèque française*. L’occasion de redécouvrir sur grand écran l’incroyable richesse d’une oeuvre majeure dans l’histoire du cinéma.

Également à l’honneur, Sadao Yamanaka, cinéaste injustement méconnu en France, décédé en 1938 à l’âge de 28 ans et dépeint comme «le Jean Vigo japonais» par Kiyoshi Kurosawa. Seuls trois films, sur la vingtaine qu’il a réalisés, ont survécu aux années, et le Festival Paris Cinéma est heureux de les projeter ensemble et en VOSTF à la Maison de la Culture du Japon à Paris.

Enfant terrible du cinéma japonais et cinéaste de la subversion, Koji Wakamatsu est quant à lui surtout connu pour ses films des années 60 considérés comme cultes (c’est un des chefs de file du cinéma pink), mais également comme le producteur de L’Empire des sens de Nagisa Oshima, et plus récemment comme le réalisateur du film coup de poing United Red Army. Il sera présent au Forum des images pour présenter une sélection de ses films.**

Sera également présenté en exclusivité son film Le Soldat Dieu pour lequel Shinobu Terajima a reçu l’Ours d’argent de la meilleure actrice au dernier Festival de Berlin.

Shinobu Terajima, grande actrice de théâtre, à qui le festival offrira un coup de projecteur en sa présence, au MK2 Bibliothèque.

Le Japon vu par… au MK2 Quai de Seine - Quai de Loire regroupera des films de tous genres et de toutes nationalités pour découvrir d’autres regards sur un pays qui n’a jamais cessé de fasciner et de surprendre.

Le CENTQUATRE accueillera les 10, 11 et 12 juillet trois projections événementielles, sur entrée libre, sous la Halle Aubervilliers autour d’Histoires de fantômes japonais.

* « Akira Kurosawa, L’Empereur », intégrale à la Cinémathèque française, du 16 juin au 1er août

____________________________________________________________________________________

Festival Paris Cinéma - 5€ la séance, 30€ le pass - www.pariscinema.org

infos : info@pariscinema.org / 01 55 25 55 25

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    • JLB21: "Pourquoi 'se voulait' ? Il n'y a pas plus exhaustif en termes de montage vidéo que DVR, c'est incontestable. D'où sa complexité…" -> Bon d'accord. C'est une manière de dire que je suis très frustré de ne pas pouvoir enregistré ma voix off directement sur DaVinci en cliquant sur le micro. Alors que la fonction existe sur bel et bien sur DaVinci. Et pour l'instant je ne sais pas ce qui désamorce cette fonction. DaVinci n'est peut-être pas du tout en cause. C'est peut être un bidule-machin qui déconne au plus profond de mon Mac, ou bien une case à décocher dans le sous-menu d'un sous-menu. Charlie: Oui c'est une solution de "bricolage". Enregistrer une voix off puis la découper en 100 morceaux pour la recoller en un autre puzzle ...C'est toujours une solution. Mais pour moi, l'idéal c'est de faite un prise de vidéo propre, et une prise de son propre. Le but n'est pas de les découper et bricoler dans tous les sens par la suite. Bien sur on peut toujours bricoler/découper,  parce qu'à ce moment là un chien a aboyé au loin ou un avion est passé dans le ciel. Mais l'idéal c'est de bricoler le moins possible. En générale je fais 3 fois la même prise de vidéo/son de la même scène. Histoire de choisir la meilleure, et de pouvoir bricoler si nécéssaire en piquant sur l'une ou l'autre. Mais "bricoler" ce n'est vraiment pas ma direction première, c'est la dernière solution de sauvetage. Non seulement c'est beaucoup plus de travail au montage, mais en plus il y a toujours un petit quelque chose de faux en arrière plan. Par exemple de ce joli papillon posé par hasard sur la fontaine en pierre, mais qui a subitement disparue sur la scène suivante sans qu'on le voie s'envoler (parce que le caméraman s'est pris les pris dans le câbles et a chuter en faisant fuir le papillon). Parfois un de mes chat passe dans la prise de vue, c'est totalement involontaire, mais je trouve que ça apporte un plus (notamment parcequ'il donne l'échelle des élément en scène), et si le chat est là, il ne peut pas disparaitre par magie lors du changement de scène. Ou alors c'est la lumière qui change: on avait grand soleil, puis un nuage passe et les scène suivantes seront toutes dans l'ombre, au montage la lumière ne corresponde carrément pas, etc... Bref: bricoler, oui, c'est aussi ça que nous permet la technologie. Mais bricoler le moins possible pour avoir le plus d'authenticité possible. La dessus, je part en vacance (comme beaucoup :D). Alors je ne répondrais plus à ce poste que je met en pause pour quelque temps. J'y reviendrais après les vacances. Je vous souhaite de passer de bons moments chaleureux pendant ces fêtes avec vos proches. Merci à vous, Bart  
    • Apparemment, il y en a qui font cela sans problème. Regarde ce post sur lequel je viens de tomber…
    • Même si ça ne fait pas avancer ton souci, je réagis un peu à cette affirmation... Pour ma part les prises de son (ce n'est jamais moi le narrateur) sont faites indépendamment des images et ensuite je découpe et je colle... Je trouve que ça laisse plus de liberté lors de la prise de son qu'on peut refaire en partie, trouver les bonnes intonations, etc. Mais chacun sa méthode, bien évidemment  ;)
    • Pourquoi 'se voulait' ? Il n'y a pas plus exhaustif en termes de montage vidéo que DVR, c'est incontestable. D'où sa complexité… Et la capture audio fonctionne parfaitement chez moi… Même si personnellement, je préfère et de très loin FCP X pour sa productivité incomparable   Pourrais-tu me préciser quel modèle de Mac tu as et quelle est ta version d'OS ? Peut-être devrais-tu désinstaller complètement DVR comme je l'ai fait (voir plus haut) et ré-installer ? Il ne m'a fallu 3 mn pour l'installation complète.   Cette situation va changer très prochainement d'après ce que j'ai lu récemment.  Quick Share sur les smartphones Pixel 10 permet déjà les échanges via Airdrop d'Apple. Et il semble que cette fonction va être développée par Google sur les autres appareils Android dans les mois prochains.   Sinon, plutôt que d'envoyer tes photos/vidéos par messagerie, tu devrais pouvoir passer par Google Drive ou par transfert de fichiers.   Sauf qu'il faut d'abord lancer l'enregistrement QuickTime puis, sans te soucier de rien, lancer ta vidéo dans DVR pour enregistrer. Ce qui revient à peu près au même que l'enregistrement direct dans DVR. À la différence près qu'il te faudra caler ensuite l'enregistrement sur ta TL.
    • JLB21: J'ai un smartphone "Doodge" (je crois que c'est la marque) et "Blade10 Energy" je crois que c'est le modèle. Mais le système d'exploitation c'est Androïd. J'ai choisi ça surtout parce que c'est un modèle de chantier incassable, étanche à la poussière et à l'eau. Ensuite c'est nettement moins cher qu'un iPhone. Seulement Apple a mis toutes les barrières possible pour rendre incompatible les Mac avec les appareils non Apple comme ceux qui fonctionnent avec le système "Androïd". Mon smartphone n'est pas reconnu sur le Mac. Et même après avoir installé une application spéciale pour le transfert des dossiers de l'un à l'autre: ça ne marche pas. Je ne peux pas récupérer mes photos ou vidéos stockées dans mon smartphone Doodge pour les récupérer dans le Mac, et inversement. À moins de les envoyer par courriel... ceci à condition que ce ne soit pas trop lourd... Bref, mon micro de smartphone n'est évidement pas reconnu sur Davinci installé sur Mac. Merci Apple au passage pour ces incompatibilité , mais ça c'est encore une autre histoire. JJK3 & JFL: L'interet d'une prise de son en directe c'est aussi de coller le son parfaitement sur l'image. Par exemple si je présente le village des schtroumpfs: "Vous avec ici le grand schtroumpf, là le schtroumpf à lunettes, et voici la fameuse schtroumpfette. Et regardez la Haut sur la montagne: le château du terrible Gargamel..." Dans ce cas il est indispensable de voir l'image défiler en même temps qu'on enregistre le son, au risque de montrer Gargamel lorsqu'on parle de la schtroumpfette.  Dans le cas d'un doublage aussi, lorsque le son est pourri sur une scène filmé, parfois on peut refaire le son et doubler. Je crains devoir rester avec cette fonction micro mystérieusement bloquée. Bien sur il reste la solution de bricolage: celle que j'ai fais pour terminer ma vidéo: Lancer la vidéo sur DaVinci, puis dans une fenêtre à côté: enregistrer la voix off sur QuickTime ou GarageBand. Puis coller ensuite le fichier son obtenu sur DaVinci. Pas super pratique pour un logiciel qui se voulait hyper complet   .
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