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4e Fête du cinéma d'animation


Thierry P.
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4e Fête du cinéma d'animation

26 octobre - 1er novembre 2005

Partout en France

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Projections, expositions, rencontres, ateliers, démonstrations de techniques, portes ouvertes... dans les cinémas, les bibliothèques, les médiathèques, les écoles, les institutions, les musées et divers lieux culturels.

Célébration de la Journée mondiale du cinéma d'animation

(28 octobre)

Coordination : Association française du cinéma d’animation (Afca)

53 bis rue Rodier 75009 Paris • tél. : 01 40 23 08 13 • fax : 01 40 23 09 17

Contact : Olivier Catherin, 01 48 78 25 67, o.catherin@afca.asso.fr

www.afca.asso.fr

En 2002, l’Asifa (Association internationale du film d’animation) a décrété le 28 octobre « Journée mondiale du ciné -ma d’animation » , en commémoration de la 1ère projection publique du théâtre optique d'Émile Reynaud, en 1892,au Musée Grévin, à Paris. À cette occasion, l’Afca (Association française du cinéma d’animation) lance en France la

Fête du cinéma d’animation qui devient un événement annuel, étendu à plusieurs jours, dont l'Afca assure la coordination et la communication nationale.

“Coup de projecteur” sur l’effervescence de l’animation durant une semaine

À l'instar de la Fête de la musique, la Fête du cinéma d'animation propose une multitude d'événements partout en France, durant une semaine , fin octobre. Elle donne l'occasion aux spectateurs de découvrir des films, rencontrer les professionnels et découvrir les “coulisses” de la réalisation d’un film d'animation , à travers ateliers, démonstrations de techniques et journées portes ouvertes de studios et d’écoles.

D’année en année, la Fête du cinéma d’animation se développe et devient un véritable rendez-vous annuel. En 2004, lors de la 3e édition, c’est plus de 250 événements qui se déroulent dans la France entière, suscitant d'innombrables réactions positives, voire enthousiastes, du public. Que ce soit dans les grandes villes ou dans les tout petits villages, la Fête du; cinéma d’animation a permis de démontrer qu’il existe un vrai public pour le cinéma d’animation, un public varié et non restreint au public enfantin, avide de découvertes, curieux du patrimoine comme d’inédits.

Un moment de découvertes et de rencontres

Le cinéma d'animation de toutes époques, toutes techniques, tous pays... trouve sa place dans le cadre de "la Fête".

L'Afca encourage les programmateurs à s'intéresser aux films "rares" (autres que ceux qui sont en sortie nationale) et principalement, au court métrage . Elle incite aussi à ce que les projections soient accompagnées le plus souvent possible de rencontres avec un professionnel ou un spécialiste. Mais durant la semaine festive, de nombreuses autres formes de "promotion" peuvent avoir lieu : des rencontres avec des auteurs de livres consacrés à l'animation, des démonstrations de techniques d'animation traditionnelle ou de logiciels spécialisés, des activités pédagogiques autour de jeux optiques, etc...

Les Grandes lignes de l'édition 2005

Invité d’honneur

Dorénavant, l'Afca associera à chaque édition de la Fête du cinéma d'animation un auteur dont l'œuvre remarquable sera mise en lumière à de nombreuses occasions, en sa présence. Le cinéaste d’animation néerlandais

Paul Driessen sera l’invité d’honneur de l’édition 2005, dont il a signé l’affiche. Il sera présent du 26 au 28 octobre dans huit lieux différents pour rencontrer le public.

Rencontres avec de grands cinéastes

• Jean-François Laguionie qui sera présent à Laval avec son long métrage L’Ile de Black Mór (2004) et une exposition sur le film, ainsi qu'à Brest et à Ivry-sur-Seine où aura lieu une rétrospective de son œuvre.

• Jacques Colombat sera à Mimizan (40) et au cinéma le Denfert à Paris pour présenter son long métrage Robinson et compagnie.

• le grand maître de marionnettes japonais Kihachiro Kawamoto sera au Forum des images à Paris le 29 pour

présenter en avant-première son long métrage.

• les Parisiens pourront aussi découvrir l'œuvre d'une figure importante de l’animation polonaise, le réalisateur Daniel

Szczechura, qui sera présent le soir du 28 au cinéma le Panthéon avec un programme de ses courts métrages.

Découverte de l’animation du monde entier

• Trois médiathèques de Bourges proposeront une exposition et des projections de films issus du célèbre studio

japonais Ghibli, fondé par Hayao Miyazaki et Isao Takahata.

• La BPI du Centre Georges Pompidou proposera en trois soirées (du 26 au 28) une formidable rétrospective de l’animation néerlandaise .

• La Médiathèque de la Cité des sciences et de l’industrie proposera de découvrir l’animation chinoise .

• Au cinéma Le Sportica à Gravelines ou au Denfert à Paris, c’est l’animation brésilienne que l’on pourra découvrir,

avec plus particulièrement à Gravelines un hommage à son représentant le plus célèbre Marco Maghalaes.

• À la médiathèque Carré d’art à Nîmes, l’animation africaine sera à l’honneur.

Portes ouvertes

Les portes ouvertes dans des écoles ou des studios d’animation donnent l’occasion de découvrir les coulisses de l’animation. Les secrets de la fabrication de films seront dévoilés à l’École des métiers du cinéma d’animation (Emca) à Angoulême, ou encore dans des studios comme celui, parisien, où débute le tournage le long métrage Persepolis, adapté de la célèbre bande dessinée de Marjane Satrapi.

« Le Concours de la Fête »

L’Afca organise la 2e édition d'un concours de films pour l'internet, en partenariat avec le magazine AnimeLand. Les participants sont invités à réaliser avant le 30 septembre un film d’une durée inférieure à 2 minutes sur le thème « Rêves d’ombres ». Un maximum de dix films seront sélectionnés et mis en ligne sur le site www.animeland.com et durant la semaine précédant la Fête, les internautes voteront pour leurs trois films préférés. Ceux ci seront diffusés le 28 octobre, au Centre Georges Pompidou, en avant-programme de la séance «Ombres et Lumière ».

« Ombres et Lumière »

Pour célébrer la journée mondiale, l’Afca s’associe au Centre Georges Pompidou qui présente actuellement l’exposition « Ombres et Lumière » (jusqu’au 2 janvier), en proposant une projection de perles de l’animation sur cette thématique.

Durant la séance, deux petites démonstrations dévoileront le mystère au sujet de techniques d'animation jouant avec la lumière : les ombres chinoises (par Michel Ocelot, réalisateur de Kirikou et de Princes et Princesses) et l'écran d'épingles (par Dominique Willoughby qui présentera l'invention ingénieuse du réalisateur Alexandre Alexeïeff).

Lieux participants

Parmi les lieux culturels participant à la Fête, de “grandes maisons” (Cinémathèque française, de Nice, Grenoble, La Cité des Sciences et de l’Industrie, la Bibliothèque publique d’information et le Centre Georges Pompidou, le Forum des images à Paris, le Crac de Valence, la Maison de l’image de Strasbourg, le Théâtre Sébastopol à Lille…), festivals

(Lille, Clermont-Ferrand, Annecy…), cinémas (et cinéma itinérant), bibliothèques et médiathèques (Le Carré d’art à Nîmes, la Médiathèque d’art à Arles…) ainsi que des portes ouvertes dans des studios et écoles d’animation. “Temps fort” de dynamisme et de synergie entr e

les acteurs de la vie culturelle à travers un réseau d'échelle nationale qui s'agrandit chaque année.

La « Jour née mondiale » du 28 octobre dans le monde

Depuis 2004, l’Afca a en charge la coordination internationale de la « Journée mondiale » au nom de l’Association internationale du film d’animation (Asifa). Le 28 octobre 2004, 34 pays sur tous les continents l'ont célébré. Cette année, près d’une quarantaine de pays devraient participer : les grands pays de l’animation (États-Unis, Canada,

Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Corée du Sud, Australie, Chine) mais aussi de petits pays comme l’Uruguay, la Bolivie, le Maroc, le Sénégal, le Ghana, la Jordanie, l’Ouzbékistan ou le Népal !

À l'occasion de cette journée, l'Afca propose une sélection de films de fin d’études français (diffusés dans 10 pays en 2004 et dans une vingtaine de pays cette année).

L’Association française du cinéma d’animation

Créée en 1971, elle regroupe professionnels et amateurs du film d'animation. Elle participe à la promotion du film d'animation en

France et à l'étranger, en organisant l'Animathèque (séances mensuelles à Paris), le Festival national du film d'animation d'Auch (biennal, printemps des années impaires), une circulation trimestrielle de programmes de courts métrages, en assurant la coordination en France de la Fête du cinéma d'animation (tous les ans depuis 2002, autour du 28 octobre), en publiant La Lettre d'information de l'Afca tous les deux mois et des ouvrages spécialisés ponctuellement, en proposant le site internet www.afca.asso.fr (actualités, contacts, documentation etc.) et un centre d'information (documentation et vidéothèque), et en organisant ponctuellement des rencontres professionnelles et des expositions, tout en proposant diverses prestations.

Programme complet de la 4 e Fête du cinéma d’animation

du 26 octobre au 1 er novembre 2005 disponible sur le site www.afca.asso.fr à partir de fin septembre.

Un art au service de l'imaginaire

• Le cinéma d'animation naît de la rencontre des arts plastiques et du cinéma.

• Chaque image (et il y en a 24 ou 25 par seconde) est fabriquée à part.

• Les auteurs des films conçoivent absolument tout : l'histoire, le graphisme et le “jeu d'acteur” des personnages,

les décors, la bande son (ambiance sonore, musique, voix)…

• Il en découle une infinie variété de modes d'expression, d'esthétiques, de propos (films d'auteur, éducatifs,

d'entreprise...) et de techniques employées (dessin, marionnettes, papiers découpés, peinture, images de synthèse,

pixilation, sable, animation d'objets…). Le film d'animation est aussi multiforme que l'imagination des créateurs.

• Du court au long métrage, unitaire ou en série, il devient omniprésent sur les écrans des salles, de la télévision et des

nouveaux médias.

Un phénomène de société remarquable

Depuis 10 ans, le film d'animation a connu une croissance exceptionnelle.

Quelques chiffres :

• Succès des longs métrages français : 1 480 000 entrées pour Kirikou et la Sorcière de Michel Ocelot, 1,1 million

pour La Prophétie des grenouilles de Jacques-Rémy Girerd, 850 000 pour Les Triplettes de Belleville de Sylvain

Chomet. 800 000 vidéos et DVD, ainsi que 580 000 albums de Kirikou ont également été vendus. “Dévoilé” au

Festival de Cannes, le film Kirikou et les bêtes sauvage, qui sortira fin 2005, est très attendu...

• Aujourd'hui, plus d'une vingtaine de longs métrages sont en préparation en France.

• En 2003, l'animation a représenté 36,7 % des exportations des programmes audiovisuels français (fiction : 20 % ;

documentaire : 23 %).

• En 1996, il n'y avait en France qu'une seule école spécialisée en animation, l'école des Gobelins à Paris. À partir

de 1997, les formations spécialisées en animation se sont multipliées à Paris, Lyon, Valenciennes, Angoulême, Valence,

Orly, Poitiers, Arles... Les formations aux logiciels 3D et au multimédia se sont propagées dans toute la France. Un

millier de personnes sont formées chaque année. Le niveau des écoles françaises est reconnu internationalement.

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    • Merci Thierry P. pour l'info iMovie. De deux choses l'une : - les rumeurs de l'époque n'étaient pas justifiées, - l'appli a été améliorée ultérieurement pour gérer l'entrelacé… Edit : Une troisième possibilité existe, c'est le mauvais traitement de l'entrelacé en export iMovie…
    • Bonjour JLB21,     Imovie 10.4.3 sur Sequoia : entrelacé.    Il est vrai qu'on parle souvent de "lecteur QuickTime" et non d'enregistreur. Utiliser QT est bien pratique car si tu as 200 plans sur une K7 et que tu souhaites tout récupérer, sur iMovie ou FCPX, tu te retrouves parfois avec 200 fichiers. Je dis "parfois" car cela n'a pas l'air d'être systématique. Pas le temps de creuser pour l'instant.   Shotcut, entendu parler mais jamais essayé. Peut-être plus tard... 
    • Bonjour,   Lorsque je suis passé au caméscope numérique, j'ai pris le soin de transférer toutes mes K7miniDV avec FCP X avant de revendre mon HV10 Je possède donc dans une bibliothèque FCP X tous mes rushes capturés avec le HV10.   Je voudrais ajouter un élément à ton étude : à l'époque, il était fortement déconseillé de transférer avec iMovie 10. Cette version était décriée, contrairement aux versions précédentes, pour enregistrer les rushes en mode progressif, supprimant au passage une demi-image sur deux.   Je serais intéressé de savoir si c'est toujours le cas. Je possède bien tous les câbles et adaptateurs préconisé dans l'article, mais je ne possède plus le HV10.   En revanche, les transferts effectués avec FCP X sont bien en entrelacé comme le montre la capture d'écran partielle de MediaInfo, ici pour du HDV :     En container mov avec comme nom la date et l'heure de début d'enregistrement du clip. Exemple : 2007-08-19 09_03_32 (id).mov   Quant à QuickTime Player, je ne savais pas que parmi les sources ont pouvait avoir accès au caméscope et surtout obtenir le contenu d'un K7 dans son entier. C'est bon à savoir car la question de transfert sans coupure est souvent posée sur les forum Mac. Reste à vérifier si le transfert entrelacé est bien assuré.   Enfin, j'ajouterai que Shotcut, multi-plateforme est une solution complémentaire pour le transfert de K7.  
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