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CINEMA 4D et MoGraph démultiplient le Cyber-shot Sony T50


Thierry P.
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(note de l'admin)

la campagne pour le Cyber-shot Sony T50 est visible ici :

http://www.mediaworks.fr/images/upload/new...8_02298_1_l.mov

(communiqué)

Kay Tennemann, artiste infographiste spécialisé en animation 3D nous explique comment MoGraph lui a sauvé la mise en permettant la synchronisation des mouvements de milliers d’objets dans son séduisant spot publicitaire concernant le Cyber-shot Sony.

Comment créer l’animation d’un très petit appareil photo tout en captivant l’attention du spectateur sans omettre de montrer le produit ? Les appareils photo Cyber-Shot Sony sont très impressionnants mais à l’instar de nombre de leurs concurrents, ils intègrent peu d’éléments en mouvement permettant d’attirer le regard des spectateurs. La question étant alors de savoir comment les filmer et montrer néanmoins du mouvement et de la créativité ? Avec un seul appareil photo, les options sont très limitées. Cependant imaginons que vous puissiez filmez une multitude d’appareils photo interagissant les uns avec les autres… Voilà qui serait déjà beaucoup plus intéressant quoiqu’assez complexe à première vue. Serait-ce si complexe que cela à y bien réfléchir ?

Tous les éléments et contraintes associées étaient contenus dans le cahier des charges de l’animation prévue pour la campagne publicitaire du Cyber-shot . L’agence Elastique fût retenue pour le produire. La réalisation de ce concept impliquant un recours massif à l’image de synthèse, Elastique a tout naturellement pris contact avec son producteur d’images numériques favori , la société Schoenheitsfarm. Schoenheitsfarm ayant déjà créé de nombreuses animations haut de gamme en image de synthèse, parmi lesquelles un superbe projet promouvant l’Audi TT , se révéla le choix idéal notamment d’après le style requis.

Le cahier des charges exigeait la modélisation du Cyber-shot en 3D puisque l’animation finale contiendrait des centaines d’appareil photo Cyber-shot, tous devant être animés d’une manière impossible à filmer classiquement en direct. Lorsqu’on souhaite contrôler simultanément de très nombreuses copies d’un même objet , nul doute que le meilleur outil du marché ne soit le module Mograph conçu par MAXON et tout spécialement destiné à cloner des contenus 3D avec CINEMA 4D.

En vue de la campagne Sont, Schoenheitsfarm a sélectionné le freelance Kay Tennemann comme artiste infographiste leader. La société Schoenheitsfarm et Kay avaient déjà collaborer de manière fructueuse sur de nombreux projets dont la campagne Audi TT précédemment mentionnée. Le cahier des charges en main, Kay s’est donc mis au travail. Un des aspects les plus impressionnnants du projet de l’animation du Cyber-shot, si on prend en compte la très haute qualité des résultats, est très certainement la rapidité avec laquelle il a été exécuté.

«La réalisation de l’animation initiale m’a demandé seulement trois jours » explique notamment Kay. « L’animation a ensuite été affiné en fonction des remarques du client. En une semaine, le plus gros de l’animation été achevé et approuvé. L’un dans l’autre, il m’a fallu un mois pour réaliser la totalité du projet en résolution HD ».

« Quatre personnes ont travaillé sur ce projet. J’ai moi-même pris en charge la création et le travail en 3D dans CINEMA 4D sans oublier la supervision du compositing dans Flame dont Sonja Spader a eu la charge, assistée de Christian Fritz pour certaines séquences. Alexander Breker a qaunt à lui ajouté des effets de « salissures » à la fin en utilisant Adobe After Effects ».

Le module MoGraph était d’une importance votale dans ce projet étant donné que le cahier des charges nécessitait le contrôle et la synchronisation du déplacement d’objets extrêmement nombreux :

« L’ensemble du projet s’appuyait sur MoGraph. Ce dernier m’a permis de créer cette animation très complexe à une vitesse que je n’avais jamais vue auparavant. C’est l’outil le plus rapide du marché pour ce type de travail. Il ne me faut que quelques secondes pour expérimenter une idée et voir si elle fonctionne. Je peux vraiment jouer avec car il me donne une liberté dont je ne pourrais bénéficier notamment quand j’utilise des scripts. Je ne connais aucun autre outil qui me permette d’en faire autant que MoGraph sans avoir recours au scripting ».

« Le problème des scripts, c’est qu’ils prennent beaucoup de temps à la création et qu’ils ne sont pas et de loin aussi souples que MoGraph. Ils sont généralement créés pour des situations précises et il n’est pas si simple que cela de les réutiliser d’une manière différente sans avoir à de nouveau s’assoir pour les recoder. Ils ne sont pas aussi amusants que MoGraph à utiliser. Les scripts exigent de vous que vous sachiez exactement où et pourquoi vous investissez en temps. MoGraph, lui, vous n’avez tout simplement qu’à l’expérimenter ».

Mograph s’intègre de façon transparente dans CINEMA 4D, c’est pourquoi ses fonctionnalités peuvent se combiner avec n’importe quelle autre partie de CINEMA 4D. Kay a utilisé CINEMA 4D pour assurer le rendu final de l’animation ce qui lui a permis de découvrir et bénéficier de nombreuses et utiles fonctions de CINEMA 4D :

« Le système de calques propre à CINEMA 4D m’a permis de gagner beaucoup de temps au niveau de la production en me facilitant l’organisation d’un nombre très important d’objets dans la scène. Une autre fonction de CINEMA 4D s’est avérée particulièrement précieuse, à savoir le support des applications de compositing et du rendu multi-passes, ce qui était le cas avec Flame. Ceci nous a permis de très rapidement optimiser l’aspect que nous recherchions ».

En ayant recours au rendu multi-passes, Kay a pu calculer le rendu d’une animation sous la forme de calques multiples plutôt qu’en un seul calque. Le rendu multi-passes vous permet de gérer aisément des propriétés comme les réflexions, les ombres, les reflets et les masques d’objets, chacun se trouvant sur des calques séparés.

Cette technologie facilite le travail de l’utilisateur lorsqu’il s’agit d’effectuer de très importantes modifications sur l’ensemble des images composant une animation en évitant l’ajustement des calques dans d’autres applications externes. Par exemple, il suffirait de quelques secondes pour modifier la couleur d’un objet sur toute la durée d’une animation en ajustant simplement les propriétés couleur du calque correspondant sans altérer les propriétés des autres calques. L’autre point séduisant réside dans le fait que le rendu multi-passes est quasiment aussi rapide que le rendu mono-passe.

Approfondissant encore un peu plus les aspects techniques du projet, Kay explique comment les clones furent aisément contrôlés pendant l’animation :

« Le réglage que j’ai utilisé pour la séquence dy Cyber-shot Sony fût on ne peu plus simple à gérer. J’ai simplement crée des objets très basiques qui ont servi d’armature. J’ai ensuite utilisé MoGraph pour attacher les caméras aux surfaces correspondantes de l’armature. Ce gabarit très simple m’a ensuite servi à ajuster les clones en utiliser un Random Effector pour créer un aspect aléatoire puis j’ai utilisé un Inheritance Effector qui m’a permis de diffuser les effets à travers les clones. Tout ceci s’est avéré relativement simple à réaliser ».

Une fois le projet terminé, ce fût un concert de louanges et remerciements de la part de l’agence et de Sony : « Sony et tous ceux qui étaient concernés par cette production furent vraiment enchantés du résultat », confirme Kay.

Comme bon nombre d’utilisateurs et de spaasionnés de la 3D, Kay est toujours heureux d’iders ses pairs en communiquant sur les outils qu’il utilise.

Kay conclut sur MoGraph :

« Si vous faites de l’animation infographique, MoGraph simplifie votre travail, le rend plus amusant et beaucoup plus productif. Le meilleur coté de MoGraph est sans conteste sa souplesse. Vous pouvez modifier tout ce que vous souhaitez, quand vous le souhaitez et visualiser les résultats en temps-réel. Nul besoin de vous assoir vous prendre la tête à programmer et reprogrammer vos scripts.

A propos de Kay Tennemann

Kay Tennemann est un utilisateur autodidacte de CINEMA 4D. Il a commencé à travaillé comme opérateur freelance 3D en 2000. Il travaille actuellement comme designer infographiste spécialisé en animation 3D et directeur artistique en image de synthèse. Il a réalisé de nombreux projets pour des clients célèbres comme : MTV, McDonalds, Sony, Audi, BMW, Opel et bien d’autres encore.

Veuillez visiter son site pour de plus amples détails : http://www.mostyle.tv

Client : Sony

Produit : Cyber-shot T50

Agence : Nexum

Producteur : Elastique

Directeur : Andreas Schimmelpfenning

Artiste infographiste 3D leader : Kay Tennemann

Post-production : Schoenheitsfarm (Sonja Spader, Christian Fritz, Alexander Breker, Kay Tennemann)

MediaWorks

Distributeur de logiciels 3D, multimédia, vidéo, web...

http://www.mediaworks.fr

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    • Autre constatation intéressante :   l'importation de certaines cassettes mini-DV s'effectue mal sur FCPX comme sur iMovie. Le symptôme est que l'importation s'arrête dès que le logiciel rencontre une discontinuité apparente (qui n'est pas visible) du rush.   Après avoir passé beaucoup de temps à réessayer avec ces logiciels et cherché à régler un paramètre, j'ai finalement trouvé la solution  : acquérir les rushes via un enregistrement de l'application QuickTime. Aucun arrêt de l'importation dans ce cas.   Ne me demandez pas pourquoi ça marche dans un cas, et pas dans l'autre ! En tout cas, je donne le truc.
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