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Avis et conseils


Messages recommandés

Salut à tous !

Je me présente je suis un jeune vidéaste de 24 ans et je viens de finir l'écriture du scénario de mon premier court métrage, intitulé "Barrières".  Je suis, à la base, monteur truquiste mais j'ai pris goût à l'écriture assez récemment. Voici le synopsis de mon court métrage : "Thomas et Etienne, deux amis d'enfance, ne se sont pas vus depuis 4 ans. Thomas n'a pas confiance en lui et n'arrive pas avancer dans sa vie. Etienne, malgré son handicap moteur, croque la vie à pleines dents et est sur le point de réaliser son rêve... Il va vouloir prouver à Thomas que les barrières qui l'empêchent d'avancer sont simplement mentales."

Les thèmes principaux du court métrage sont la résilience et le dépassement de soi.

Etant moi-même handicapé moteur, je m'inspire un peu de mon vécu. Je compte ensuite m'atteler à la réalisation et au montage puis à l'étalonnage !

Je vous joins le scénario et je souhaiterais des avis constructifs de votre part et quelques conseils si possible :)

 

Très bonne journée à vous !

 

Scénario %22Barrières%22 V1.pdf

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bonjour elroir34 ,

je viens de lire ton scenario :

1) histoire très intéressante puisqu'elle est liée directement a ton vécu ...(pas toujours facile hélas, mais plein d'optimisme)

2) enfin une jeune personne qui écrit sans faire de fautes d'orthographe ..un vrai bonheur...:rolleyes:.

3) je pense que notre ami Cine7 va se faire une joie de te conseiller ,lui le spécialiste dans ce domaine .

merci de nous faire partager ta passion et bravo  :bien:

Modifié par loupiod
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Bonsoir elroir34,

 

Oui, voici déjà quelques années (2 ans 1/2 presque) et donc, ravi de te retrouver avec un nouveau projet. Vu le nombre de projets qui n'aboutissent pas, autant en effet insister ... pour essayer d'en finir avec toutes ces barrières.

 

Bonsoir et merci loupiod :bien: !

 

elroir34, je ne sais pas si hier soir, tu as vu le petit docu sur France 2 après La Grande Vadrouille où Danièle Thompson raconte l'anecdote d'Albi. Avec son papa Gérard Oury et Marcel Jullian, ils avaient écrit une fin jugée trop longue qui se déroule jusqu'à Albi. Ils n'en étaient pas satisfaisaits et ils l'ont remplacé par la séquence des planeurs, plus courte et plus visuelle.

 

Danièle Thompson qui travaillait alors sur son 1er scénario précise qu'elle se souvient de cette expérience de fin trop longue et que depuis, elle a adopté la formule "Attention à Albi !" quand elle écrit une fin.

 

C'est "Albi" qu'il t'arrive sur "Barrières" !

 

Pour une raison très simple, tu donnes trop de place à ton dialogue (en fait, à ta dissertation sur les barrières mentales) et plus assez aux images et aux sons.

 

Perso, lorsque Etienne dit "Action", je m'attendais à revenir au tout début du film comme si c'était celui que tourne en réalité Etienne avec Thomas (effet de boucle).

 

Je préférais ton sujet sur facebook et malheureusement, je t'avoue franchement que je ne te soutiens pas sur celui-ci (en tous cas, pas en l'état que tu le proposes).

 

Revois le et le seul conseil que je te donne : reprends ton départ entre Etienne et Thomas et imagines 10 à 20 autres mises en situation qui vont jusqu'à montrer ces barrières mentales au lieu d'inciter tes 2 personnages à autant en parler.

 

Tant qu'on n'a pas compris ce qu'est un coup de burin, difficile de vraiment avancer. Barrière mentale probablement ...

 

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Salut Cine7 et Merci pour ta réponse ! :).

 

Je comprends ce que tu veux dire et j'avais un peur de ça effectivement. Le problème étant que je m'inspire de mon vécu (Etienne c'est moi en fait^^), je n'ai pas vraiment pensé à d'autres mises en situation autre que celle que j'ai vécu. Le problème est également le fait que malgré tout, le handicap du personnage limite les situations envisageables et j'ai peur que cela devienne répétitif... Cependant quelques idées me viennent à l'esprit ! Par exemple en ajouter une sur la séduction, où Etienne arrive à séduire malgré le handicap. J'avais pensé également en ajouter une où Thomas ferait remarquer à Etienne qu'il ne peut pas conduire alors qu'il conduit tous les jours... Son fauteuil roulant ! Autre idée, lorsque Thomas parle du rêve d'Etienne et du sien, pourquoi pas les illustrer avec une mise en situation qui correspondrait à l'image négative qu'il s'en fait à cause de ces "barrières". Pour la fin, j'aime bien l'idée de l'effet de boucle :).

Je précise par ailleurs que je suis très très limité niveau budget, ce qui me complique la tâche...
Merci encore pour tes conseils :)

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Bonjour,

 

L'autre problème, c'est que tu confrontes un vrai handicap physique à la timidité qui n'est pas un handicap (mental) trop difficilement surmontable. Notamment pour un aspirant comédien (ou n'importe quel autre timide maladif)  qui peut s'inscrire dans une troupe de théâtre amateur pour déjà s'en débarrasser.

 

L'autre souci est justement que tu partes de ton vécu. Il faut beaucoup plus de recul pour traiter un sujet.

 

Ce qui ressort de tes explications, c'est que tu ne comprends pas (et tu as raison) qu'on puisse se créer ses propres handicaps alors que toi, ton quotidien est d'en surmonter un vrai.

 

Il est là le conflit que tu veux évoquer. Pas très utile d'appuyer avec le tien. Racontes et dénonces.

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Bonjour à toi,

 

Je comprends ce que tu veux dire, mais le problème est que, pour l'instant, je ne vois pas tellement d'autres façons d'aborder le sujet que ce que j'ai pu voir ou vivre.  Cependant tu as raison, c'est bien le conflit que tu cites que je souhaite évoquer. J'avais aussi envie que pour une fois les rôles soient échangés, que la personne qui est limitée physiquement fasse plus de choses que la personne valide car je retrouve très peu cela dans les films qui abordent le sujet du handicap alors que cela existe. 

 

Je ne sais pas si tu as vu le film Patients, de Grand Corps Malade, qui s'inspire de son vécu. Il raconte le combat d'une personne tétraplégique pour retrouver de la mobilité et franchement ce film m'a énormément touché car j'ai retrouvé beaucoup de choses que j'ai pu vivre. Il y a notamment une scène ou les personnages discutent du sujet des barrières psychologiques que tout le monde peut avoir, valide ou handicapé et j'ai trouvé ça intelligemment traité. J'ai également adoré le ton du film, l'espoir qu'il transmet et j'aimerais retrouver ça dans mon scénario.

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Bonjour elroir34 (Etienne !) et pardon, je ne vois ta réponse que ce matin.

 

Non, je n'ai pas vu "Patients" mais tu dis toi-même que le sujet que tu veux traiter n'y est contenu que dans une scène (de dialogues). C'est peut-être (et même sans doute) celle qui t'a inspiré parce que tu t'y es pleinement reconnu et qui t'a motivé pour en partager ta vision ...

 

Tu reprends ainsi le principe pour le ré-aborder sous ton angle personnel selon le point de vue d'un personnage qui te ressemble plus puisque attiré comme toi et comme par hasard par le cinéma.

 

Donc, tu racontes l'histoire d'un auteur et réalisateur de court-métrage (pour toi, format se rapprochant le plus d'une scène) dont le handicap n'affecte (heureusement) pas la détermination d'accéder au long-métrage. Mais pour l'instant, tu le délègues à Thomas le comédien en lui dédiant toute la dernière partie sous forme aussi d'une scène (complémentaire pour faire encore plus correspondre au format court).

 

C'est ton 1er jet de continuité dialoguée mais il aurait fallu aborder avant les techniques du scénario :sweatingbullets: !

 

Sans ce préalable, écrire une continuité dialoguée devient une grave perte de temps et une source de découragement, de déception et de doute de soi et de ses chances réelles.

 

En fait, tu t'es garanti d'un total de 3 scènes en référence (instinctive ou consciente) à la structure dite des 3 actes !

 

Dans cette logique (toutefois pertinente), ta 1ère scène devrait donc être l'exposition, ta 2ème scène, la confrontation et ta 3ème, la résolution. Tant mieux, c'est déjà pas trop mal réussi pour la 1ère et la 3ème mais plus pour la 2ème ... sauf encore pour Thomas mais façon "Albi" puisque malgré l'ellipse temporelle, ta 2ème ne crée seulement qu'une transition avec la 3ème sans véritable confrontation ... dramatique).

 

C'est pas faux, tu peux en effet t'inspirer de ton propre handicap pour susciter un point de vue mais à côté, celui de la timidité de Thomas fait doucement rigoler. D'autant qu'on comprend très vite qu'il n'est pas timide mais rêvant depuis toujours de devenir comédien, il est certainement réservé car par nature, il intériorise tout. Ce n'est pas un handicap mais une force pour un aspirant comédien.

 

Le théâtre est connu pour être une excellente thérapie et même un traitement de cheval pour ce type de caractère introverti qui ne demande qu'à s'extérioriser.

 

Dans un tel cas, la timidité n'est plus le diagnostic et il faut le redéfinir en tant que strict opposé à un lourd handicap physique.

 

Je ne sais pas si tu as consulté mes topics mais si on commence un "milking" (à s'armer d'un burin), on est facilement dans le "lèves-toi et marches !" sur lequel devrait donc se fonder la confrontation.

 

Toi, tu pars en réalité sur l'histoire de Thomas vue par Etienne (Oui, ton propre prénom pour mieux t'impliquer) ...

 

Pour ceux qui n'ont pas lu le scénario, il faut préciser que tu ne sais même pas encore si Thomas est bien un personnage masculin puisque tu hésites avec le prénom Emma. Ce qui, si je ne m'abuse, signifierait que tu aurais préféré raconter une histoire d'amour entre un jeune réalisateur handicapé qui a décidé de se lancer avec le soutien de préférence sentimental ou plus modestement affectif d'une toute aussi jeune comédienne qui s'ignore encore mais qu'il suffit de confronter à un 1er rôle pour se révéler (et s'extérioriser).

 

Parce que l'angle deviendrait tout à coup trop compliqué pour un court-métrage ou tout simplement pour toi, tu choisis un personnage masculin en laissant entre parenthèses, sait-on jamais : (ou EMMA).

 

Pourtant, c'est à décider très vite et largement avant de s'attaquer à une continuité dialoguée !

 

Il faut d'abord construire ses personnages et pas seulement en leur donnant des prénoms et en particulier le sien pour espérer suggérer un point de vue.

 

Dans la même rubrique, j'ai laissé à disposition du forum (dont tu es membre), des topics pour s'imprégner de ces choses :eusa_think: ... J'y parle (entre autres) des 2 questions à d'abord répondre : "Qui ?" et "Quoi ?" et grâce à bien des développements qu'ont permis la réceptivité d'un autre membre, j'en suis parvenu à comment on peut susciter l'espoir à son public.

 

Le fameux burin qu'il faut comprendre et donc apprendre en surmontant toutes les barrières mentales et notamment celle de penser à tort qu'un handicap aussi lourd soit-il rendrait plus pénible que pour un valide voire impossible, un travail intérieur et personnel nécessaire et à la portée de chacun.

 

Il y a d'autres handicaps réduisant la mobilité et par exemple, l'âge et la maladie. Mais si on consacre sa vie à enrichir son âme et son humanité, on cultive une belle créativité (en se concentrant sur les émotions et non sur le sentiment même amoureux ...).

 

Il serait ainsi probable qu'à plus ou moins long terme (le temps défile), Etienne et Thomas "(ou EMMA)" puissent rappeler jusqu'à la concentration de mon maître italien perso (Luchino Visconti) aux côtés de son acteur d'alors (Giancarlo Giannini) :

 

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Encore une fois Cine7, merci pour tes conseils ! 

J'ai lu quelques un des topics que tu as laissé sur le forum et je dois dire que tout cela est très intéressant ! Cela fait beaucoup d'informations et de références à digérer mais c'est passionnant !

Tu as raison, n'ayant pas vraiment eu de cours sur la méthodologie du scénario lors de mon BTS, je me suis lancé dans la continuité dialoguée. Je me rends compte de l'erreur désormais. Je vais donc repartir de mon concept et ma problématique de base et définir bien plus clairement mes personnages.

J'ai du mal, il est vrai, à faire passer certaines idées par les images et non par les dialogues. "Il ne faut pas dire mais montrer" comme j'ai lu sur un de tes topics. Aurais-tu des conseils à me donner sur ce point?

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Bonjour elroir34,

 

Je l'ai lu assez jeune de Robert Mc Kee (et je l'ai définitivement intégré depuis) : une histoire est une métaphore.

 

C'est même l'origine du "logiciel" intérieur (terme pour rester conforme au langage numérique du forum qui m'a permis d'encore plus l'approfondir ... euh ... le développer).

 

A ce stade de ton projet, tu ne vois encore que toi (Tiens ! Déjà une image !) qui partage ta vérité sur les barrières mentales avec un autre personnage. Thomas par rapport à ta passion du cinéma ou Emma, en lui ajoutant le plan sentimental (Oui, "partager" car tu t'adresses aussi à toi).

 

La scène de "Patients" te fait trancher en faveur du 1er mais tu laisses prudemment entre parenthèses la dulcinée.

 

En effet, pour traiter à ton tour des barrières mentales, tu crois plus simple de ne choisir que le contexte que tu vis et connais déjà depuis le plus longtemps : ta passion pour le cinéma.

 

L'inconvénient évoqué dans mes topics est qu'en fait, tout finit par tourner autour de ton seul vécu, de ton nombril. Ce n'est plus un partage malgré toute la générosité que tu manifestes dans ton projet.

 

Donc on laisse les mots, la littérature (sa continuité dialoguée), on pose le stylo (ou on lâche le clavier) et on s'arme du burin :angry:

 

Au 1er coup fatidique et si on compare à un logiciel, une fenêtre surgit pour signaler que le thème pourrait concerner le "Lèves-toi et marches !".

 

On s'écarte aussitôt du nombril pour sentir enfin ses tripes et son coeur ... et on entame le fameux recul nécessaire.

 

Emma pourrait même se libérer des parenthèses tandis que l'échange avec Thomas sur la passion du cinéma se montrerait soudain plus vivace.

 

Dans les 2 cas, on quitte le domaine des sentiments pour une autre voie ! On n'a pas forcément les mots pour l'exprimer (à moins qu'on soit vraiment un littéraire) car si on a la fibre du cinéaste, ce sont des images qui ne demandent qu'à venir.

 

Oui, une histoire s'imagine et se raconte d'abord en images dont on va devoir agrémenter le récit par des sons (dialogues et musique).

 

La démarche n'est donc pas de mettre en images un dialogue mais à l'inverse, de l'écrire dessus :

 

 

(ou le "replacer" sur les images dans le cas par exemple d'une adaptation de pièce de théâtre ...).

 

On ne cherche plus que les émotions qui traduisent (ou expriment) la vérité qu'on décide de défendre (bizarre, Burt Lancaster qui va chercher en lui son monologue sur sa vérité).

 

Seul, l'angle de la métaphore y conduit et pour finir une histoire, on parle même toujours et encore d'image finale :

 

 

 

 

 

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Bonjour Etienne,

 

Ne renonces pas et essaies plusieurs situations en restant sur ce que tu as déjà sans rien remettre en cause (... pour l'instant :eusa_think: !).

 

En partant par exemple du "Et si ?" magique :

 

Et si je prenais carrément Thomas et Emma :nuls3: ? ... L'un(e) pourrait reprocher à l'autre ses barrières mentales pour tenter le cinéma (ou autre chose) en même temps qu'il ou elle hésite à s'engager plus avant dans leur relation. Ils se retrouveraient eux deux face à Etienne (autre prénom de préférence) pour comprendre la leçon et retrouver l'espoir.

 

(Cà, c'est l'idée n°1 mais il faut en trouver entre 10 et 20 autres ... Mais normalement, quand c'est parti, c'est parti. On embraye sur une 2ème puis les autres suivent parfois même sans attendre d'avoir développé la dernière, tellement c'est encore plus chouette).

 

Cette fois-ci, au lieu de t'évertuer à une continuité dialoguée, prends des notes et ne vises qu'un synopsis.

 

Ce n'est qu'après que la continuité dialoguée deviendra passionnante à écrire :) !

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Oh non ne t'inquiète pas je ne renoncerai pas ! Je suis motivé pour enfin me lancer pleinement dans ce genre de projet ;).

Tu sais quoi, l'idée que tu cites me rappelle un peu un passage de La la land sorti en début d'année. 

J'ai des images de la rencontre entre Emma et Thomas, du début de leur relation qui défileraient pendant qu'Emma reproche à Thomas ses barrières mentales, son manque d'audace et se questionne sur leur relation. Thomas irait alors rendre visite à son ami Etienne (ou un autre prénom) pour se ressourcer, tout en discutant des fameuses "barrières mentales", Etienne prouvant à Thomas que même le handicap n'empêche pas de faire de belles choses. Thomas ressortirait alors de là avec une motivation de fer pour atteindre son rêve et se réconcilier avec Emma. Il finirait par jouer dans le film d'Etienne comme dans le scénario original. Cela me permettrait de traiter de l'espoir, de l'Amour, de l'amitié et du rêve. A moi d'explorer tout ça et de trouver les bonnes idées ! :)

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Bonsoir Etienne,

 

Oui, c'est à toi d'explorer tout çà et trouver les bonnes idées. Tu peux en effet partir sur des références que tu as vues mais il faut surtout te les approprier. Ce que le réalisateur de La la land (que je n'ai pas vu) a conçu pour ce passage, n'est que l'idée n°1 pour toi. Oui, un concept mérite la même liste (de 10 à 20 idées) que les mises en situation.

 

L'expérience et l'entraînement permettent de réduire cette liste de 20 à 10 mais jamais à une seule (bref, ne jamais se satisfaire de sa 1ère idée).

 

On en profite pour se souvenir aussi qu'une idée ne vient jamais en bloc mais toujours par petits morceaux !

 

C'est pourquoi, je permets une précision que moi-même je n'ai admis que très récemment (comme quoi, on ne cesse d'apprendre ... et à éviter d'être borné).

 

C'est un scénariste professionnel (sur le tard car ayant surtout exercé un autre métier) qui a déclaré dans une interview que l'inspiration est un leurre et qu'on doit plutôt parler de concentration.

 

J'ai même été jusqu'à vérifier sa filmo pour me convaincre de la fiabilité de cette affirmation, d'autant qu'il ajoute être ainsi capable de travailler sur 2 ou 3 scénarios par jour (2h sur chacun) ... Rends-toi compte ! ... Dire çà à nous, qui avons tant de mal déjà avec un seul en n'étant jamais satisfaits de ce qu'on a pondu sur la journée.

 

Perso, j'ai décidé de plus attendre l'inspiration (et n'irai toujours pas la chercher ailleurs dans ce que font les autres). Non, j'ai décidé de me concentrer et je peux t'assurer que les barrières mentales dégringolent une à une à chaque fois que la liste se complète.

 

Un atout néanmoins, se doter de bons réflexes (les fonctionnalités de son logiciel intérieur) pour savoir dès qu'un morceau d'idée surgit sur la dizaine ou la vingtaine, s'il est bon à jeter ou pas ... s'il est appétissant ou pas.

 

 

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Oui bien sûr je dois m'approprier tout ça ;). Je vois ce que tu veux dire pour la concentration et je suis assez d'accord !

D'ailleurs, quand tu dis "je peux t'assurer que les barrières mentales dégringolent une à une à chaque fois que la liste se complète", cela me donne une idée. 

Pourquoi ne pas faire justement une métaphore entre la recherche, l'écriture d'un scénario avec justement l'effacement de ces barrières mentales. Car comme tu le dis, une fois la première barrière franchie la liste des idées s'allonge et tout coule de source.

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Tout à fait d'accord et je vois que tu commences à percevoir l'angle de la métaphore (mais qui ne doit surtout pas te ramener à toi et ton rapport à l'écriture d'un scénario mais à ailleurs que ton" nombril", à un autre petit bouton vraiment à l'intérieur de toi qui allume une lumière qui va rayonner au delà !).

 

Je tente un magnifique exemple de l'angle de métaphore (et si tu as lu dans mes topics, avec 2 preuves : l'accès à une dimension émotionnelle universelle et la rencontre avec la matrice de ton logiciel à toi comme de nous tous).

 

(David Lynch l'a donc découvert avant Stanley Kybrick et Steven Spielberg :eusa_think: ?).

 

Ce n'est pas le même handicap que toi (la mobilité réduite) mais la difformité. Pourtant c'est la même lumière qui s'allume et rayonne jusqu'aux dessins fixés aux murs de la chambre.

 

En un mot comme en 100, c'est la même lumière qui réside en toi et celle que tu vas reconnaître dans l'extrait et garder car c'est d'elle que part l'angle de tes métaphores à toi et à nous tous.

 

Ce que tu imagines est en fait ce que tu saurais toi-même projeter aux murs ou créer sous forme d'une maquette ...

 

Voilà l'angle de la métaphore ! Il te sert à projeter tes images et tes sons que tu décides d'écrire en scénario.

 

Bon, c'est une scène finale sur laquelle tout le paquet a été mis. Pour le reste, faut simplement se concentrer à raconter l'histoire par exemple d'un petit garçon endormi qui pourrait apparaître dans un tableau au mur et maintenant peut-être devenu grand et portant sa ... ta vérité.

 

 

(C'est une introduction. A ta disposition pour l'initiation).

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J'ai dû laisser elroir34 et même tous les visiteurs du topic, circonspects !


Oui, pardon, c'est parce que j'aime bien commencer par la dose forte pour montrer l'enjeu et mieux le décomposer.


Je vais ressortir le pavé de Robert Mc Kee (Story) pour retrouver son explication sans doute plus évidente sur la métaphore mais j'ai peut-être trouvé une façon plus directe et là, centrée davantage sur l'histoire (car comme je l'ai dit, tout le paquet a été mis sur la scène finale de Elephant man et que c'est difficile de distinguer l'apport du réalisateur de celui du scénariste).


En l'état, ton scénario raconte toi, Etienne (puisque tu te nommes) qui rencontre un ou une autre (Thomas ou Emma pour disserter sur nos barrières mentales idiotes et que chacun se crée tout seul.


Conçu sous l'angle de la métaphore, ton scénario raconterait plutôt ta rencontre avec toi-même, comme tu te voyais dans un miroir sous les traits de Thomas ou Emma.


C'est un jeu de reflets qui s'annonce et çà devient déjà plus prenant  !


Avantage conséquent, ton défi est alors d'imaginer leur image (comme si tu devais la discerner dans ton miroir) et d'entendre ton dialogue intérieur avec l'un ou avec l'autre ou entre l'un et l'autre.


On se fiche que ton miroir te représente en fille ou garçon (voire parfois en enfant ou en adulte) car outre te permettre 2 possibilités d'histoire qui découlerait de cette rencontre, tu te rapproches de ce en quoi tu te reconnais le mieux : Ton "qui" !

 

On exclut le sentiment ! L'important n'est pas de choisir la fille parce que ce serait plus fort de raconter une histoire d'amour. Non, la priorité, c'est ce que tu ressens, toi, et de plus intense au plus profond de toi dans l'image de Thomas ou d'Emma, sur les barrières mentales que l'une ou l'autre image (de toi) est capable d'évoquer, par exemple, si ton 1er de coup de burin sort le "Lèves-toi et marches" ou autre chose : Ton "quoi" !


Tu accèdes enfin au domaine de l'émotion, à la respiration qui fait qu'une histoire devient vivante et partage un vécu avec le public (aussi intensément que tu l'avais toi-même pressenti).


L'angle de la métaphore doit donc conduire à un jeu de miroir entre des images qui s'opposent et même s'affrontent d'abord en toi. Ta concentration va te permettre d'éclairer et de diriger les reflets forcément lumineux pour être perçus.


Le sous-texte des dialogues émanera de ta vérité et la musique, des émotions qu'elle suscite.


Ainsi, il ne s'agit pas d'imaginer l'hypothèse d'une situation dans la vie réelle mais un conflit se déroulant déjà dans ton for intérieur, comme notamment ici entre les barrières mentales.


Quel visage terrifiant ou apaisant prendraient Thomas ou Emma ?


Un scénariste n'a pas à raconter l'histoire d'un jeune homme qui séduit une jeune fille parce qu'elle est jolie mais imagine sa propre rencontre avec une jeune fille enflammant ses désirs les plus intenses et secrets.


"A quoi ressemblerait-elle et quelle serait son image dont le reflet en moi se projetterait avec toute cette force et cet espoir que je gardais en moi ?", s'interroge n'importe quel scénariste (dont elroir34) pour parvenir à le communiquer au public par tant d'images et de sons qui se mélangent et s'entrecroisent, jusque là restés enfouis dans son tréfond.


"Je vais en construire les fondations, la structure" n'hésite-t'il pas d'ajouter sans plus se retenir de se concentrer.

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Après avoir pris des nouvelles d'Etienne (elroir34) par MP et comme tout va bien puisqu'il s'attaque à son synopsis, je m'empresse d'un complément en vue de simplifier.

 

Il n'est pas demandé d'atteindre le degré d'Elephant man à chaque projet (mais de se souvenir de l'exemple et de la finalité).

 

Pour l'instant, je n'ai pas encore retrouvé dans le pavé de Robert Mc Kee son explication (plus limpide) de la métaphore mais signe ou pur hasard, je suis tombé direct sur le passage sur les risques d'une histoire personnelle qui expose à une structure bancale à trop se borner à puiser dans moult détails de la vie réelle pour tenter de reproduire une réalité.

 

Le risque est de confondre (je cite) : "vraisemblance et vérité".

 

Je continuerai à rechercher mais en attendant, internet propose une définition de "Métaphore" (du grec ancien, Méta (trans) et phore (porter) donc :eusa_think: : ... transporter :w00t:) :

 

"Figure de style qui consiste, par analogie, à donner à un mot (... :angry:!) un sens qu'on attribue généralement à un autre. Exemple : "Ma jeunesse ne fût qu'un ténébreux orage" (Charles Baudelaire) - Synonyme : Image (:w00t: !!!)".

 

On en reste à cette synonymie et aussi à la citation de Baudelaire qui devrait spontanément provoquer en nous tous ou certains, des éclairs d'images, de lumières et de sons (c'est déjà une prédisposition de cinéaste et un 1er réflexe de base de la créativité).

 

Oui, attention, à un autre passage plus loin, Robert Mc Kee lance son pavé dans la marre en précisant qu'un scénariste est d'abord quelqu'un qui aime raconter des histoires et imaginer des personnages et des décors dès qu'il se réveille le matin.

 

J'entends déjà hurler : "Hein Ciné7, quand je disais que ce truc n'était pas pour moi !"

 

"Si, à condition en effet de se tester et de s'entraîner dès le matin au réveil ! ... Sinon, c'est vrai, t'as raison" répondrais-je ...

 

Continuons à essayer de simplifier la notion de métaphore dans nos esprits obtus.

 

Claude Chabrol (dans "comment faire un film") dit qu'il y a 2 sortes de cinéaste : le poète et le technicien.

 

Donc, c'est tout à fait autorisé de rester modeste sur son histoire et ainsi que je disais, sans prétendre atteindre à chaque fois le degré ultime, du moment qu'on a défini (et déterminé) un point de vue.

 

J'ai déjà cité un exemple de métaphore dans une ancienne discussion du forum qui s'est perdue mais que je reprends ici.

 

Prenez la série télé Columbo (dont Robert Mc Kee a d'ailleurs contribué sans en parler dans son pavé que c'est malin, j'ai dû passer au sèche-cheveux après l'avoir récupéré dans la marre pour continuer la recherche ...).

 

On ne peut pas reprocher à la série Columbo d'avoir mis tout le paquet dans la métaphore comme pour Elephant man.

 

Non mais il faut toutefois admettre que la série ne raconte pas seulement un policier de la criminelle qui paye pas de mine avec sa coiffure au pétard, son imper mal lavé et repassé, son mégot de cigare et sa veille guimbarde toute pourrie, mais qui surprend par son intelligence pour résoudre des affaires de meurtres les plus pointues.

 

Au 1er abord, de but en blanc, c'est le genre (le polar) qui semble prédominer mais c'est aussi et surtout une métaphore sociale (Tiens  ? ... On doit même lui donner un qualificatif à cette métaphore qui me demande déjà tant de travail :sweatingbullets: ?).

 

Le but est de partager un point de vue avec son public et donc être capable de se mettre à sa place pour le lui communiquer en décidant sous quel angle (donc ici social), on va l'impliquer (on va obtenir son empathie).

 

EDIT : On va lui proposer des analogies qui l'interpelleront et les lui structurer pour qu'il y retrouve ses propres repères !

 

On imagine le spectateur cible affalé dans son canapé un soir après son dur labeur et on lui offre avec une vraie sincérité et une vraie générosité l'occasion d'une revanche contre ce qu'il subit au quotidien.

 

La série Columbo choisit la métaphore sociale mais le 1er coup de burin sort la lutte des classes.

 

On va donc confronter Columbo au milieu des privilégiés tellement sordides qu'ils sont capables de tuer et de déguiser leur crime en accident ou en suicide.

 

Là, tout le paquet de la métaphore (sociale) est mis pour que le spectateur cible, isolé mais lui aussi doté de mémoire humaine universelle, puisse se reconnaître et carrément s'identifier à ce policier tout aussi bosseur que lui et dont le potentiel est autant et sans cesse sous-estimé et discrédité que pour son apparence modeste propre à son même petit salaire minable mais jugée sale, négligée et misérable par les classes s'auto-proclamant supérieures mais capables de le culpabiliser de son sort comme elles accuseraient la victime de leur meurtre de suicide accidentel ou délibéré et comme elles traitent même un chômeur de fainéant (en nuisant elles-mêmes au plein emploi et à la hausse des salaires).

 

Le spectateur cible et incidemment le public doué dans son tréfonds de justice sociale, se réjouit de cette revanche d'un moment et puisque c'est une série télé en redemandera et en attendra le prochain épisode.

 

On remarque en passant que c'est le personnage de Columbo qui est créé et construit pour se confronter à ces horribles privilégiés et donc, pour véhiculer cette métaphore sociale.

 

Pas son seul prénom, sinon pour lui attribuer une origine étrangère dont le pari a été de s'assimiler, histoire de forcer encore la métaphore des barrières (mentales) sociales.

 

Dans un scénario, ne s'appelle pas Thomas ou Emma qui veut et pour rien !

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Salut Cine7 !


Je te joins une première version du nouveau synopsis, qui est d'avantage tourné sur l'histoire de Thomas !

 

J'y ai inclus plusieurs métaphores, comme celle du scénario. Ecrire un scénario, comme vivre sa vie comme on l'entend, c'est aussi faire des choix.

Par ailleurs, le passage ou Thomas se perd puis finis par trouver le magnifique lieu de tournage symbolise le chemin intérieur qu'il est entrain d'accomplir et qui vaut finalement le coup :).

 

Bonne lecture ! 

 

 

synopsis.pdf

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:34b50bdc2: ! ...

 

... elroir34, je suis au regret de te signaler qu'en effet tu as une nouvelle version dont tu as retiré les dialogues mais çà n'en fait pas un synopsis pour autant. C'est même un séquencier mais que tu n'as pas découpé selon tes séquences (rien que dans la séquence 1, tu as plusieurs séquences que tu aurais dû séparer et numéroter).

 

Imagines la stupeur et le désarroi du producteur qui attend un synopsis et qui voit un séquencier où arrivé à la séquence 2, pas mal de séquences ont déjà défilé.

 

C'est le souci n°1 du débutant même BTS audiovisuel en poche : comprendre les documents qui constituent un scénario.

 

Le synopsis, la continuité dialoguée et la note d'intention ou seulement le synopsis puis en phase de développement, le séquencier sur lequel peut intervenir un dialoguiste en vue de la continuité dialoguée.

 

Tout çà s'apprend aussi !

 

Le synopsis est le résumé de l'histoire en une page (surtout en court-métrage) qu'on peut diviser en autant de paragraphes qu'il y a de parties ou d'actes. Il permet au producteur de connaître l'histoire proposée (... et idem pour l'auteur, de connaître l'histoire qu'il est en train de proposer :eusa_think:).

 

Bon, çà, c'est pour la forme mais sur le fond et d'un point de vue très perso, tu as écris une belle métaphore sur les barrières mentales mais que jusqu'à la séquence 4 (selon ta numérotation actuelle).

 

Vite remplacer par un vrai final, tout le Albi qui suit ... Oui, je sais, même s'il faut sacrifier Fabien ou Etienne.

 

D'ailleurs, que ce soit sous son vrai prénom ou pas, un auteur n'a pas à jouer en personne dans le film pour mieux l'expliquer au public.

 

Je te taquines un peu et même très beaucoup mais c'est parce que sans faire exprès, tu a écris une superbe histoire pour le cinéma. 

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    • Bonjour JLB21,     Imovie 10.4.3 sur Sequoia : entrelacé.    Il est vrai qu'on parle souvent de "lecteur QuickTime" et non d'enregistreur. Utiliser QT est bien pratique car si tu as 200 plans sur une K7 et que tu souhaites tout récupérer, sur iMovie ou FCPX, tu te retrouves parfois avec 200 fichiers. Je dis "parfois" car cela n'a pas l'air d'être systématique. Pas le temps de creuser pour l'instant.   Shotcut, entendu parler mais jamais essayé. Peut-être plus tard... 
    • Bonjour,   Lorsque je suis passé au caméscope numérique, j'ai pris le soin de transférer toutes mes K7miniDV avec FCP X avant de revendre mon HV10 Je possède donc dans une bibliothèque FCP X tous mes rushes capturés avec le HV10.   Je voudrais ajouter un élément à ton étude : à l'époque, il était fortement déconseillé de transférer avec iMovie 10. Cette version était décriée, contrairement aux versions précédentes, pour enregistrer les rushes en mode progressif, supprimant au passage une demi-image sur deux.   Je serais intéressé de savoir si c'est toujours le cas. Je possède bien tous les câbles et adaptateurs préconisé dans l'article, mais je ne possède plus le HV10.   En revanche, les transferts effectués avec FCP X sont bien en entrelacé comme le montre la capture d'écran partielle de MediaInfo, ici pour du HDV :     En container mov avec comme nom la date et l'heure de début d'enregistrement du clip. Exemple : 2007-08-19 09_03_32 (id).mov   Quant à QuickTime Player, je ne savais pas que parmi les sources ont pouvait avoir accès au caméscope et surtout obtenir le contenu d'un K7 dans son entier. C'est bon à savoir car la question de transfert sans coupure est souvent posée sur les forum Mac. Reste à vérifier si le transfert entrelacé est bien assuré.   Enfin, j'ajouterai que Shotcut, multi-plateforme est une solution complémentaire pour le transfert de K7.  
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