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à Paris, les 10e Rencontres internationales Paris/Berlin


Thierry P.
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Communiqué de presse

::: Les 10èmes Rencontres internationales Paris/Berlin :::

::: à Paris, du 15 au 27 novembre 2005 :::

Du 15 au 27 novembre 2005, les 10èmes Rencontres internationales Paris/Berlin créeront à nouveau pendant 12 jours un espace de découverte et de réflexion entre nouveau cinéma et art contemporain, dans plusieurs lieux, notamment :

- au Jeu de Paume, salle audiovisuelle,

- à l'ENSBA (Ecole nationale supérieure des beaux-arts),

- au cinéma l'Entrepôt,

- au Point Ephémère.

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En présence d'artistes et de réalisateurs du monde entier, cette nouvelle édition proposera une programmation internationale inédite. Avec de nombreux films en première et des cartes blanches, une exposition vidéo et des concerts multimédias. Un espace de consultation permettra à chacun de voir ou revoir à la demande l'ensemble de la programmation dont 95% est présenté en première.

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Sans équivalent à Paris, cette programmation est le résultat d'un travail de recherche d'œuvres approfondi à un niveau international : 250 œuvres de France, d'Allemagne et de 70 pays, réunissant des artistes et réalisateurs reconnus sur la scène internationale aux côtés de jeunes artistes et de réalisateurs présentés pour la première fois à Paris.

Les Rencontres internationales Paris/Berlin ont pour vocation de faire découvrir ces œuvres à un large public, de décloisonner les différents milieux de création et faire communiquer leurs publics, de susciter des échanges entre artistes, réalisateurs et acteurs de la vie artistique et culturelle. Les Rencontres internationales Paris/Berlin souhaitent ainsi contribuer à une réflexion sur la culture contemporaine de l'image, au travers d'une programmation exigeante ouverte à tous.

Parallèlement à la présentation des œuvres, les 10èmes Rencontres Internationales Paris/Berlin proposent cette année un véritable forum interculturel où de nombreux artistes témoigneront de la situation de leur pratique artistique dans leur pays, ponctué de débats en présence de personnalités du monde artistique, de responsables d'institutions et de structures émergentes témoignant d'une vivacité de la création et de sa diffusion.

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La programmation de cette année, particulièrement riche et dense, a été réalisée parmi 5000 propositions reçues, ainsi que par des invitations faites à certains artistes et réalisateurs.

Des séances en salle (courts, moyens et longs métrages – art vidéo, cinéma expérimental, fiction, documentaire), avec notamment :

> Un film inédit de Jon Jost (Home Coming, sélectionné l'an dernier au Festival de Venise).

> le dernier documentaire d'Harun Farocki en première à Paris, un inédit de Pedro Costa, en sa présence.

> un film inédit de Christoph Girardet et Volker Schreiner, en leur présence.

> le dernier film de Johan Grimonprez, en hommage à Alfred Hitchcock, le dernier film de Mike Hoolboom avec "Public lighting", inédit en France.

> en première européenne, la dernière vidéo de Steina Vasulka, artiste majeure pionnière de l'art vidéo.

> en première à Paris, le dernier film de Emmanuelle Antille.

> une carte blanche à Danièle Huillet et Jean-Marie Straub.

> des focus sur plusieurs pays : les Pays-Bas, le Portugal, l'Espagne, le Canada, le Royaume-Uni, et une sélection de films et vidéos rares provenant de Chine, du Kazakhstan, de Corée, d'Iran…

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Une exposition vidéo et multimédia (performances, concerts, installations sonores, vidéos, cdrom...), avec notamment :

> une exposition vidéo réunissant des oeuvres d'artistes internationaux, avec notamment en première mondiale la dernière pièce vidéo d'Antonio Muntadas, une pièce inédite de Tony Cokes, la dernière vidéo de Richard Billingham, de Peter Rose…

> des vidéos d'artistes allemands et français. Des programmes vidéos sur moniteur et en vidéoprojection.

> plusieurs concerts multimédias, avec notamment les néerlandais Telcosystem, Remco Schuurbiers, fondateur du Club Transmediale à Berlin, également les autrichiens reMI, les portugais de Cronicaelectronica, les finlandais Pink Twins, invités à la Biennale de Venise cette année pour un concert au théâtre de la Fenice…

> une vidéothèque rassemblant l'ensemble de la programmation, un espace consacré au documentaire avec une sélection spécifique de documentaires de création.

> une sélection d'œuvres numériques : net art, CDroms, DVDroms.

En association avec ARTE, une sélection proposée dans le cadre de la vidéothèque et plusieurs projections en salle en entrée libre.

Pour toute information presse veuillez contacter :

Helena Hills (Responsable presse)

Rémi Beria, Philippe Parmentier (Relations Presse)

Par email : info@art-action.org

Par téléphone : 01 40 18 00 20

Information du public :

Sur Internet : www.art-action.org

Par email : info@art-action.org

Par téléphone : 01 40 26 66 34

crédits images :

Arnaud VALADIE : Sciame/Swarm/Essaim - passage du sens à la scène

Andres JASCHEK : La Terre du Milieu

Christophe HARRIS : Reckless Eyeballing

Steven BALL : The War on Television

Kika NICOLELA : TRÓPICO DE CAPRICÓRNIO

Notre fiche festival :

http://www.magazinevideo.com/festivals-fiche.php?Clef=9

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    • JLB21: "Pourquoi 'se voulait' ? Il n'y a pas plus exhaustif en termes de montage vidéo que DVR, c'est incontestable. D'où sa complexité…" -> Bon d'accord. C'est une manière de dire que je suis très frustré de ne pas pouvoir enregistré ma voix off directement sur DaVinci en cliquant sur le micro. Alors que la fonction existe sur bel et bien sur DaVinci. Et pour l'instant je ne sais pas ce qui désamorce cette fonction. DaVinci n'est peut-être pas du tout en cause. C'est peut être un bidule-machin qui déconne au plus profond de mon Mac, ou bien une case à décocher dans le sous-menu d'un sous-menu. Charlie: Oui c'est une solution de "bricolage". Enregistrer une voix off puis la découper en 100 morceaux pour la recoller en un autre puzzle ...C'est toujours une solution. Mais pour moi, l'idéal c'est de faite un prise de vidéo propre, et une prise de son propre. Le but n'est pas de les découper et bricoler dans tous les sens par la suite. Bien sur on peut toujours bricoler/découper,  parce qu'à ce moment là un chien a aboyé au loin ou un avion est passé dans le ciel. Mais l'idéal c'est de bricoler le moins possible. En générale je fais 3 fois la même prise de vidéo/son de la même scène. Histoire de choisir la meilleure, et de pouvoir bricoler si nécéssaire en piquant sur l'une ou l'autre. Mais "bricoler" ce n'est vraiment pas ma direction première, c'est la dernière solution de sauvetage. Non seulement c'est beaucoup plus de travail au montage, mais en plus il y a toujours un petit quelque chose de faux en arrière plan. Par exemple de ce joli papillon posé par hasard sur la fontaine en pierre, mais qui a subitement disparue sur la scène suivante sans qu'on le voie s'envoler (parce que le caméraman s'est pris les pris dans le câbles et a chuter en faisant fuir le papillon). Parfois un de mes chat passe dans la prise de vue, c'est totalement involontaire, mais je trouve que ça apporte un plus (notamment parcequ'il donne l'échelle des élément en scène), et si le chat est là, il ne peut pas disparaitre par magie lors du changement de scène. Ou alors c'est la lumière qui change: on avait grand soleil, puis un nuage passe et les scène suivantes seront toutes dans l'ombre, au montage la lumière ne corresponde carrément pas, etc... Bref: bricoler, oui, c'est aussi ça que nous permet la technologie. Mais bricoler le moins possible pour avoir le plus d'authenticité possible. La dessus, je part en vacance (comme beaucoup :D). Alors je ne répondrais plus à ce poste que je met en pause pour quelque temps. J'y reviendrais après les vacances. Je vous souhaite de passer de bons moments chaleureux pendant ces fêtes avec vos proches. Merci à vous, Bart  
    • Apparemment, il y en a qui font cela sans problème. Regarde ce post sur lequel je viens de tomber…
    • Même si ça ne fait pas avancer ton souci, je réagis un peu à cette affirmation... Pour ma part les prises de son (ce n'est jamais moi le narrateur) sont faites indépendamment des images et ensuite je découpe et je colle... Je trouve que ça laisse plus de liberté lors de la prise de son qu'on peut refaire en partie, trouver les bonnes intonations, etc. Mais chacun sa méthode, bien évidemment  ;)
    • Pourquoi 'se voulait' ? Il n'y a pas plus exhaustif en termes de montage vidéo que DVR, c'est incontestable. D'où sa complexité… Et la capture audio fonctionne parfaitement chez moi… Même si personnellement, je préfère et de très loin FCP X pour sa productivité incomparable   Pourrais-tu me préciser quel modèle de Mac tu as et quelle est ta version d'OS ? Peut-être devrais-tu désinstaller complètement DVR comme je l'ai fait (voir plus haut) et ré-installer ? Il ne m'a fallu 3 mn pour l'installation complète.   Cette situation va changer très prochainement d'après ce que j'ai lu récemment.  Quick Share sur les smartphones Pixel 10 permet déjà les échanges via Airdrop d'Apple. Et il semble que cette fonction va être développée par Google sur les autres appareils Android dans les mois prochains.   Sinon, plutôt que d'envoyer tes photos/vidéos par messagerie, tu devrais pouvoir passer par Google Drive ou par transfert de fichiers.   Sauf qu'il faut d'abord lancer l'enregistrement QuickTime puis, sans te soucier de rien, lancer ta vidéo dans DVR pour enregistrer. Ce qui revient à peu près au même que l'enregistrement direct dans DVR. À la différence près qu'il te faudra caler ensuite l'enregistrement sur ta TL.
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