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Choix d'un camescope


Planorbe
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Bonjour,

Je suis novice en vidéo et je recherche un camescope polyvalent, facile d'utilisation, pouvant être utilisé en milieu aquatique et compatible Mac. Mes préférences vont actuellement aux Sony DCR SR 190 et DCR HC 96 avec le caisson étanche leur correspondant.

Fais-je fausse route ? Les autres marques, pour les mêmes budgets (inférieur à 700 euros) offrent-elles des modèles plus intéressants ( mais tout aussi aquatiques ) ?

Merci.

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bonsir,

le SR190 est compatible Mac depuis iMovie 7. A défaut, prévoir une conversion des fichiers avec MPEG Streamclip apr exemple.

Le HC96, aucun souci, compatible tous logiciels.

caissons : j'ignore si les deux sont compatibles (voir mediasub, http://www.magazinevideo.com/adresses.php?...nt=&Region= . Vérifier l'existence d'une prise Lanc si le caisson en a besoin.

ployvalent et facile d'utilisation : oui pour la facilité, la polyvalence, c'est très subjectif selon l'expérience de chacun en revanche ! (c'est un premier achat?)

tout aussi aquatiques : sanyo Xacti CX6 et son caisson EHS-500X étanche jusqu'à 45 m.

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Habituellement ce sont les amerloques du Middle West ou des hordes d'asiatiques clonés et photographiants qui "font l'Europe" en une semaine.

On retourne la situation: La canotage en Guyane "comme chez soi", avec pauses pipi et photos de groupe. On campera chaque soir autour d'un feu de camp ...

Revenons à la vidéo.

J'ai une batterie Sony qui est sensée tenir 7 heures. En fait, en fonctionnement effectif on doit se contenter de la moitié: marches / arrêts, zooms, ouvertures / fermetures pour changements de cassettes, lectures partielles, écran, attentes, etc.

Première OBLIGATION: éliminer tout caméscope à cassette: trop énergivore. Je constate que tu as fait le bon choix.

Deuxième: ne le mettre en fonctionnement QUE lorsqu'on est certain de devoir filmer. Ce qui est une gageure dans un voyage fait de situations nouvelles et inattendues.

Si tu comptes passer une semaine en Guyane SANS prise électrique, comment comptes-tu t'exonérer de recharges ?

Ou alors se contenter de longer la côte "civilisée" et les deux frontières fluviales.

Deux ou trois batteries pré-chargées avant l'aventure ?

Le solaire ? faut pas trop y compter sous la vététation. Sauf à porter une toile garnie de capteurs qui recharge en chemin des batteries en captant la "luminosité" qu'il peut y avoir sur les cours d'eau. C'est relativement cher et sans rapport avec un caméscope à 700 €.

L'éolien ? Pas là, et trop en combrant. Quoique ... sur la pirogue motorisée ...

Il reste "l'huile de coude": un générateur à manivelle. Mais c'est un peu lourd (sauf sur la pirogue) et long.

Une lampe de poche qu'on agite quelques secondes avant de s'en servir est maintenant courante. Mais agiter de même un caméscope, je ne connais pas ce modèle.

Maintenant si "l'autonomie complète" consiste simplement à aller de village en village en pirogue, en dormant "chez l'habitant", comme il y a toujours un générateur qui traine pour le plus urgent, ça peut se faire.

Bonne semaine !

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Merci de te préoccuper de mes ressources en énergie et de mon accés au courant secteur. En fait je passe trois semaines (donc pas de souci pour charger les batteries) en Guyane dont une sur fleuve, à remonter la Mataroni (affluent de l'Approuague, si tu connais). Je pars une semaine en kayak et je connais relativement bien les conditions qui acompagnent ce genre d'expé puisque j'ai vécu quasiment 5 ans là-bas et que j'ai déjà plusieurs rando de ce type à mon actif (dont une descente de la Mana en 15 jours en autonomie complète et déjà une remontée de la Mataroni en 2003). Actuellement, je réside en métropole. Je profite de congés pour me replonger dans l'atmosphère amazonienne qui me manque beaucoup. Aussi, j'aurais voulu garder trace, autre que photographique, des paysages, des lumières et des sons qui vont m'entourer pendant ces péripéties, véritables sources de bonheur pour moi. Voilà donc, pourquoi je recherche un camescope faisant l'affaire.

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Tu vois, je suis loin du tourisme plan-plan et tout confort que tu attribues aux Ricains Midlle West. Moi, c'est plutôt, boue, humidité, moustiques (avec le palu qui va avec) et 5 à 6 heures de pagayage quotidien (pas de moteur !), bivouac avec hamac suspendu entre deux arbres... Je cherche donc un appareil particulièrement endurant et solide. Le DSR SR 190 correspond-il, à ton avis, à mes attentes ?

Merci.

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Je suis heureux de comprendre tes motivations et les précautions que tu as su prendre pour cette semaine en immersion (sans jeu de mots pour ta caméra).

Je n'utilise pas le modèle dont tu parles.

Bêtement j'ai la manie de toujours faire suivre au fond d'une poche une paire de sachets de supermarché. Dès que les conditions atmosphériques me l'imposent et que je ne puis plus seulement abriter l'engin sous ma capuche, je l'entoure d'un de ces plastiques, ne laissant ressortir que les 2 extrémités. Bien sûr il faut de temps en temps faire respirer la bête, car l'humidité n'est toujours pas très bonne. Mais, sans trappe à cassette, il n'y a plus beaucoup de passage. Avec attention c'est largement faisable. D'autant qu'on n'est pas toujours forcé de dégainer sous la pluie.

Je te souhaite du plaisir ... avec le bruit énorme et perpétuel des "sous bois" équatoriaux. Quoique les cigales, en été, me cassent parfois les oreilles alors que je suis né et vis avec. Finalement le seul danger sera de croiser des orpailleurs ombrageux égarés loin de leurs repaires ... s'il y en a dans ta pérégrination. Tant que le Mataroni ne resemble pas aux Gorges de l'Ardèche en été il y a tout lieu de penser que tu vas revenir épuisé mais heureux. =D>

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Merci de tes conseils. J'hésite toujours dans mon achat eu égard au prix qu'il m'en coûterait, environ mille euros (camescope, caisson dont il paraît bête de se priver, batterie supp., carte mémoire). Les critiques du DSR SR 190 sont plutôt bonnes (cf article du site et autres) mais l'investissement n'est pas à prendre à la légère.

Je me laisse un laps de temps de réflexion supplémentaire, d'autant que je suis novice en vidéo et que j'ai peur que cet engouement soudain soit sans lendemain.

D'un autre côté, je ne vivrai qu'une fois et je n'aurai plus la possibilité d'évoluer tous les jours dans le cadre exceptionnel (et fortement menacé à terme) de la forêt guyanaise.

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Je vais peut-être me faire tancer, mais si tu ne dois pas placer ton caméscope sous l'eau, dispense-toi du caisson. C'est bon à utiliser quand tu n'as que ça à faire. C'est comme un agenda: est-ce qu'on l'enferme hermétiquement en période de pluie intense. Non, on fait seulement attention à son rangement et à son utilisation.

C'est une rivière parfois tumultueuse; mais penses-tu devoir esquimauter ?

Ce serait mon choix.

Par contre les batteries ... c'est PLUS indispensable.

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Le truc, c'est que j'aimerais bien faire des prises de vue embarquées et il y a toujours un risque de projection d'eau ou de chute même si les "criques" guyanaises se différencient largement des eaux vives de métropole: pas mal de courant mais peu de remous. Les kayaks que nous utilisons (en fait, nous partons à deux) sont des "sit on top", kayaks rotomoulés en polyuréthane ouverts disposant de 4 trous permettant une vidange permanente de l'eau entrante. Pour faire bref, ce sont des sortes de barques effilées sur lesquelles. Il n'y a pas de trappe ou de compartiment fermé dessus. Ce que nous transportons (vivres, matériel divers) est renfermé dans des récipients étanches (1 par embarcation) à couvercle vissable sanglés derrière l'assise du kayak. Il est impossible une fois embarqué d'y avoir accés et si j'y mets le cam' à l'intérieur, je ne peux pas m'en servir avant une halte à terre. D'où l'intérêt à mes yeux du caisson que je peux toujours fixer via une cordelette à un point d'attache du kayak.

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Personnellement, je pense que tu as fortement raison de penser à la protection de ton matériel.

Mais je pense que tu dois trouver une boîte étanche pour le ranger quand tu ne filmes pas.

La seule contrainte, c'est de ne le sortir que lorsque c'est possible et sans danger pour

le caméscope. Il est préférable de rater quelques scènes parce que le caméscope

est dans sa boîte, plutôt que tout perdre dans l'eau.

Un caisson étanche c'est contraignant à utiliser et cher à l'achat.

Bon choix.

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Le gros bidon cylindrique plastique, vissable et hermétique, est traditionnel dans toute randonnée en CK (canoë-kayak). Il est sanglé à l'arrière mais il n'est, comme tu le dis, pas question de l'ouvrir avant un acostage.

Par contre la boite plastique genre Tupperware est effectivement ce qui parait être le mieux: pas chère, très facile à fermer ou ouvrir, solide et souple.

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    • impressionnant. Bravo.   à 2,24'' et suivantes, comment faites-vous pour faire passer votre drone à travers les arbres compte tenu que la détection d'obstacle devrait l'en empêcher  ?
    • Désolé mais je n'ai pas accroché.... Diction vraiment trop scolaire et comme dit Michel pas de chute...
    • merci  Comemich pour ce commentaire  l idée première était de synchronisée le perso avec ses sosies ce qui est une vraie gymnastique pour le montage  l histoire devenant secondaire un six minute ne permet pas trop de s étaler dans les dialogue      bonne journée
    • Le sujet est intéressant. La présentation caricaturale des personnages est réussie. Mais le dénouement du récit manque d'imagination. Il faudrait une chute surprenante qui rendrait la comédie plus drôle. Dans "Un diner de cons" de Francis Veber, qui traite du même sujet, chacun est le con de quelqu'un d'autre. Et à la fin, le plus con n'est pas celui qu'on croit. Je pense que les questions du docteur auraient du être plus cons. La consultation aurait pu se terminer par une prescription farfelue et un dépassement d'honoraires.
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