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1° essai avec DaVinci Resolve


Qsammi
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Posteurs principaux de ce sujet

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Je vois souvent sur ce forum les meme questions : Quelle camera choisir ?

Je dirais privilégier le codec, la lattitude (dynamique capteur) et le gamma log

les cameras blackmagic sont un très bon compromis

MM

:rolleyes: C'est pas faute d'en avoir parlé avec Ciné7 ou d'autres (bien aidé par JC Fouché), qu'il est l'un des critères pour définir le monde pro, mais pas que...

On peut ainsi décrire grossièrement 3 types de prise de vue selon le projet:

- Raw = 4.4.4 / 422 10bits,négatif numérique, très grande latitude au montage, "tous les choix" se feront en post.= production exigeante type cinéma

- Gamma Log = 422 10 bits intermédiaire plus lèger à manipuler , laissant encore la part belle à la post prod = docu soigné

- Hyper Gamma = 422 8 bits plus léger et restreint en post prod = docu /news

Mais quand c'est dit par le monde pro qui a du vécu...c'est mieux, même si tout le monde ne cherche pas le rendu cinéma avec une BMPC (c'est un peu compliqué pour du reportage )

Apres Mathieu, c'est plus clair.... :happy: (Ciné7 aura compris )

Bonne soirée.

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Sans oublier le renfort à venir de la gamme URSA (mais une bmpc 4k, en effet, c'est déjà du sérieux).

Sans toutefois négliger le fait que le film cité peut se prévaloir d'une série d'optiques fixes Cooke s4 et de 2 zooms angénieux optimo et de la lumière de Jean-Claude Larrieu (le directeur photo).

Nous sommes encore nombreux à envisager le raw 4k (oui, 4:2:2 si tu veux) sans de tels atouts déjà en mains !

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Je vois souvent sur ce forum les meme questions : Quelle camera choisir ?

Je dirais privilégier le codec, la lattitude (dynamique capteur) et le gamma log

les cameras blackmagic sont un très bon compromis

MM

C'est vrai que BlackMagic fait de bonnes caméras, la Ursa et Ursa mini m'ont fait de l'oeil, mais la FS7 me parait plus polyvalente pour une gamme de prix assez avoisinantes. As-tu pu en utilisé ?

Merci pour le REC709 surexposé, je pensais que j'avais fait une erreur au tournage (pas la vidéo du premier message)

Allez Cine7 essaie toi à DaVinci, tu va aimé, moi après 4 jours dessus, j'étais fan !!!

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Voici des sites qui vendent ces luts apportant un réel rendu cinematographique

Koji

vision color

Bonsoir et merci Qsammi !

Faut que le métier entre ! Un broutille pour toi, çà va venir puisque tu as chopé la bonne niaque ! (J'espère seulement être aussi réactif que toi).

Je reprends aussi Matthieu Misiraca pour un petit up afin de ne pas laisser inaperçu ce précieux tuyau (Je suis allé voir).

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Bonjour à tous.

Je sais, on est sur un site vidéo amateur mais à cause de Da Vinci Resolve, on s'interroge fatalement sur la post-prod en général.

Je suis tombé par hasard (en parcourant youtube) sur une remarque de pro brève mais très intéressante qui s'inscrit dans ce que je pense du véritable rendu cinéma déjà accessible avec toute gamme d'appareil du moment qu'on en adopte le langage premier (référence à mon plaidoyer d'il y a un an sur le respect des mouvements : http://forum.magazinevideo.com/topic/28572-le-plus-beau-rendu-cinema-pour-tous/#entry126503).

La remarque donc : Pour améliorer le rendu ciné, on peut réchauffer un peu l'avant-plan et refroidir l'arrière-plan (donc le flou mais pas que).

Je me dis que si honte à moi, je n'ai pas été foutu de le régler au tournage, j'espère que si je passe le rush raw sur davinci, je pourrais donc étalonner chacune des parties du plan en fonction.

En un mot comme en 100, outre l'étalonnage couleur, peut-on aussi resolver un peu le compositing avec DaVinci ?

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Il me semble que tu fais une confusion entre l'étalonnage et le compositing [ NUKE, FUSION (racheté par Blackmagic, comme DVRésolve), After Effect...)]
De grands logiciels comme DV Resolve permettent les effets de modifications/corrections, notamment à partir de masques inclus dans des calques d'effets, mais aussi à partir des hautes, moyennes et basses lumières de l'image dont les limites peuvent être modifiées ( + ou - étendu pour les nécessites du moment)
Bref, le genre d'étalonnage dont tu parles et qui demande quand même de la ressource informatique, oui c'est la cible du logiciel: After Effect, Fusion...peuvent être nécessaires pour un travail encore plus complexe, nécessitant pas mal de ressource et de savoir faire...et du temps :smiley5: .
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pour moi l étalonnage c est simple ! pas la peine d avoir 36 nodes ou alors soit l talonneur veut refaire l image du film ou bien le chef op est très mauvais

Un mode pour recaler les niveaux (du log), un node avec une patate, le node de la LUT et on passe au plan suivant

Trop d effet tue l effet

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Bonsoir et immense merci MANU09 et Matthieu Misiraca !

Je me doutais bien que DaVinci Resolve ne pouvait pas tout faire mais comme la version 11 semble désormais ajouter le montage, je me demandais si le compositing était prochainement prévu même avec de la patience et en vue de se passer à terme d'un logiciel tiers (ou s'il allait rester encore quelques questions à d'abord régler au tournage, en particulier avec nos chers directeurs de la photo et le décorateur ou en solo, avec sa propre perception des choses :sleep:).

(A voir la démo sur Youtube avec la Sony f65 par Roush Media où le client choisit de coupler DaVinci Resolve (version dite Nocuda) avec Premiere ou Avid. Pas la peine d'encombrer ici avec le lien mais en effet, on voit les corrections couleurs et expo à l'aide de masques, des zones du cadre entourées).

En effet, la config informatique est décidément à envisager de plus en plus musclée et à un certain niveau, le savoir faire professionnel restera toujours nécessaire. Perso, je m'en réjouis. Il vaut mieux s'entourer et se nourrir de plusieurs talents que de surestimer le sien et se scratcher.

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Bonsoir,

J'espère qu'avant de modifier les couleurs pour un soi-disant étalonnage du film , changer le rendu pour un soi-disant "rendu cinéma" et utiliser Da Vinci resolve ....

... tout le monde a d'abord acheté un kit de calibration avec sonde, d'abord pour le (ou les) moniteur(s) de l'ordinateur, mais aussi pour TV et projecteur vidéo.

En plus, Il faut savoir que ces sondes de calibration sont à changer approximativement tous les 5 ans. (coût autour de 200 €).

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Bonsoir NOEL ! Toujours aussi d'accord avec toi ! C'est bien pour çà que perso, j'ai cru devoir préciser que DaVinci Resolve implique toute une série d'exigences qui peuvent très vite dépasser le stade du solitaire amateur. Cà reste un logiciel pro et les tests des caméras blackmagic sont souvent mal étalonnées sur le net (au point où on préfère l'avant (ungraded) à l'après (graded).

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pour moi l étalonnage c est simple ! pas la peine d avoir 36 nodes ou alors soit l talonneur veut refaire l image du film ou bien le chef op est très mauvais

Un mode pour recaler les niveaux (du log), un node avec une patate, le node de la LUT et on passe au plan suivant

Trop d effet tue l effet

Bonjour Matthieu Misiraca !

Tu as aidé la nuit à porter conseil ... et à sagement revenir à l'évidence :sleep:.

(Jamais je ne me commettrais à contester un chef-opérateur même si, on ne sait jamais, il se met soudain à parler de node et de patate. Quelque chose me dit qu'il faut respecter :rolleyes:).

(Edit : important aussi pour çà que le décor et le costume soit placés sous son autorité hiérarchique).

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Bonjour,
Suivant les projets et les choix créatifs il est possible à l’extrême de "tout récréer en post prod"... Pourquoi pas?
Il est sur que tout cela doit servir la création... Beineix avec son filme Diva avait probablement largement usé de l'aspect "surnaturel" réalisé en post prod (esthétisme de pub ?), cela ne m'a pas empêché d’apprécier le filme à l'époque.
Le plus souvent il s'agit plus de magnifier l'image que de la transformer...mais la recherche, l'obsession de l'image parfaite fait partie du métier, il est donc normal de s'appuyer sur l' étalonnage qui, par l'absence de moyens à la prise de vues pour l'amateur, peut, avec talent (goût) permettre de réaliser un "maquillage" réussit...même si je préfère le thon au naturel (hum un peu osé celle là :sweatingbullets: )
La création audio-visuelle est vaste, il y de la place pour tout le monde (souvenir/docu/news...), on subit bien le Rap en musique :tongue: ...il y a aussi des modes.
Nb 1: j'ai vu la série Braquo, hier, pas mal, rien de naturel dans ses éclairages glauques verdâtres etc. Il y a beaucoup de boulot avant et quand même aussi après...il faut faire plaisir à l’œil et à l'histoire.

NB 2: La sonde est un problème d'universalité, de diffusion...elle ne garantit pas totalement le non plus le respect de l'oeuvre, mais il y participe grandement... Bien sûr, obligatoire en Pro.

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Nb 1: j'ai vu la série Braquo, hier, pas mal, rien de naturel dans ses éclairages glauques verdâtres etc. Il y a beaucoup de boulot avant et quand même aussi après...il faut faire plaisir à l’œil et à l'histoire.

Cela se fait comme je t ai cité un peu plus haut, un bon choix de lumière et un étalonnage rapide et peu de node de toute façon en TV tu as 4 jours d'étalonnage pour un 90 min donc tu dois faire simple et efficace et c'est largement suffisant

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Eh oui on oublie souvent les contraintes de production qui sont réel tu as environs 1000 a 1500 plans dans un film, il faut donc apprendre a travailler simplement efficacement et ne pas s attarder sur des broutilles un peu ...comme la lumiere au tournage :)

L'image se fait en deux temps tournage et post prod mais se travaille a 80% au tournage la post prod développe le log avec sa lut (ou pas)

Voici un exemple d'une fiction que j ai terminé recement étalonnage sous davinci

Le résultat a été obtenue a partir d une lut 2383 de chez Koji (voir plus haut)

Juste deux nodes un node pour les corrections de niveau (toujours avant la lut) Puis le node de la LUT

post-14742-0-89080300-1430655853_thumb.j post-14742-0-59404700-1430655865_thumb.j post-14742-0-27695300-1430655875_thumb.j post-14742-0-98321900-1430655885_thumb.j post-14742-0-15402300-1430655900_thumb.j

Le travail est essentiellement la lumière sur le tournage l étalonnage relève l ambiance.

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(Pardon Matthieu Misiraca d'être têtu sur les acteurs mais perso, les 3 dernières images relèvent toujours de la plus belle leçon sur la lumière. Bravo de circonstance !).

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Bonjour tout le monde.

Vous allez dire que je chipote mais en prenant justement l'exemple de Braquo (dont je n'ai vu qu'un épisode d'une précédente saison) et quand je vois les photos de Matthieu Misiraca, je trouve que si on n'y prend pas garde dès le tournage, les luts refroidissent trop uniformément l'image !

C'en est même devenu très tendance même si je respecte puisque c'est forcément une référence à l'ambiance polar de Jean-Pierre Melville (exemple : Le Samouraï avec Môssieu Alain Delon).

Sauf à reconstituer la lumière de bougeoirs, l'inverse (tout réchauffer) est moins compréhensible et c'est çà que perso, j'assimile au rendu jeu vidéo : des séquences crépusculaires utilisées comme prétexte.

Je dirais qu'au même titre qu'une belle charte de gris (Bravo Matthieu Misiraca pour la 1ère photo en plan d'ensemble), avis aux équipes décors et costumes (et maquillage), de permettre au Directeur de la photo et à SON coloriste, un savant mélange entre le chaud et le froid (pour garantir une bonne ambiance).

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Bonjour tout le monde.

Vous allez dire que je chipote mais en prenant justement l'exemple de Braquo (dont je n'ai vu qu'un épisode d'une précédente saison) et quand je vois les photos de Matthieu Misiraca, je trouve que si on n'y prend pas garde dès le tournage, les luts refroidissent trop uniformément l'image !

Les luts peuvent refroidir ou réchauffer, cela vient plus de l intention que l on veut donner

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