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Birth of a Hero : Mon premier court

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David Delayat
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Bonsoir,

J'ai repensé à David aujourd'hui :sleep: ...

Même si je préfère parler de principe (parce qu'on peut en faire ce qu'on veut ... ou ce qu'on peut), il y a néanmoins une règle qu'il serait bon de préciser :

On ne fait pas tenir en 1/4 d'heure, un film de 2h à 2h30 :eusa_think-2: ...

Le court-métrage a ses propres codes ... et ses propres principes :smile::wink:

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Bonsoir Ciné7 et Bonsoir à tous,

Comme il le dit lui-même, son Birth of a hero est un petit bout d'un tout. Mais il y a de l'ambition dans cet essai. Je ne sais pas quelles sont ses exigences aujourd'hui mais il va falloir qu'il taille la pierre de sa créativité.

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Bonjour à tous,

merci Ciné7 pour cette recherche sur les images. En effet, c'est là le gros de ma recherche aujourd'hui : donner un sens au cadre, ou plutôt cadrer selon un sens. J'ai beaucoup plus de faciliter à construire le plan puis ensuite trouver des raisons d'êtres (parfois bidons, qu'on se l'avoue) aux éléments présents dans la scène, et c'est faire le travail à l'envers ! Donc je cherche à évoluer en ce sens-ci, car en effet à part du copier-coller, bien que sortant de ma tête, souvent sans m'en rendre compte d'ailleurs, ça reste vide de sens. Pour la fleur, à part être le dénouement de l'histoire, elle n'a pas plus de sens que cela.

Et merci aussi de remarquer qu'il s'agit d'un film de 15 minutes ^^ Je ne voulais pas partir sur plus long, pour ne pas me retrouver avec des longueurs et un film que les gens non cinéphiles ne voudront pas regarder. Et pour les festivals aussi (d'ailleurs j'ai été refusé dans 12 festivals auxquels j'ai participé :D )

Et oui William, je vais devoir tailler ma créativité, en commençant par apprendre les bases de la cinématographie !

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Bonjour à tous,

d'ailleurs j'ai été refusé dans 12 festivals auxquels j'ai participé

J'ose à peine imaginer les doutes que cela a dû t'occasionner.

Et oui William, je vais devoir tailler ma créativité, en commençant par apprendre les bases de la cinématographie !

Cinématographie et Scénario sont deux entités distinctes. Pour moi, le scénario est l'outil de base qui servira à un ensemble de corps de métier (dont celui du réalisateur et de sa cinématographie).

A bientôt

William

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(...) c'est faire le travail à l'envers ! Donc je cherche à évoluer en ce sens-ci (...) bien que sortant de ma tête, souvent sans m'en rendre compte d'ailleurs (...).

Pour la fleur, à part être le dénouement de l'histoire, elle n'a pas plus de sens que cela.

Et merci aussi de remarquer qu'il s'agit d'un film de 15 minutes ^^ Je ne voulais pas partir sur plus long, pour ne pas me retrouver avec des longueurs et un film que les gens non cinéphiles ne voudront pas regarder. Et pour les festivals aussi (d'ailleurs j'ai été refusé dans 12 festivals auxquels j'ai participé :D )

Et oui William, je vais devoir tailler ma créativité, en commençant par apprendre les bases de la cinématographie !

Bonjour David, William et à tous !

Lettre ouverte à David ! :

Cher David,

Dans Birth of the Hero, je n'ai pas vu de problème de mise en scène, de direction d'acteurs, de cadre, de focale, de montage, de sonorisation.

Cà veut dire que ouf, tu t'exprimes très bien en images et en sons. C'est donc réglé pour les bases de la cinématographie !

Bien ! Maintenant, on va s'attaquer à ce qui manque :icon_arrow: Donner du sens à ce qui sort de ta tête et t'en rendre compte.

GM1968 (Gabriel) t'a mis le lien vers la bonne rubrique du forum où j'ai commis 3 topics chacun plus ou moins digeste.

Moi, je t'ai fait exprès une petite démo sur ce qu'on peut tirer d'une seule recherche vite fait, bien fait, chez l'ami google.

Pour t'épargner une lecture abondante qui ne concerne pas que la fiction, en tant que Docteur Ciné7, je te propose une ordonnance :

:icon_arrow: T'entraîner avec ce 1er exercice (dit "de métier" par les auteurs du manuel américain) :

"Ecrire une scène sans personnage, sans voix off, sans mention écrite mais avec des objets et des éléments du décor qui relatent une histoire venant de se dérouler (exemple : çà commence par un sac bourré d'argent abandonné au milieu d'une place déserte ...)".

:icon_arrow: Quand tu as une idée et qu'un thème ou divers éléments pointent leur nez (ou un scénario déjà écrit, ou un storyboard déjà dessiné) : interroges l'ami google sur leur(s) mythe(s), comme je l'ai fait sur la vanité (mot clé utilisé : mythe sur la vanité).

:icon_arrow: Interprètes ensuite toi-même ce que çà t'inspire notamment en images et en sons en gardant les éléments qui se sont présentés, comme je l'ai fait pour la fleur et la petite fille ...

(Pour la pomme, je me suis seulement dit que c'était le fruit du péché pour lui retirer toute présence anodine et je lui ai attribué un lien avec "Tu ne tueras point", si jamais on pouvait en faire quelque chose).

:icon_arrow: Retenir que tu ne transmets au public que des informations externes auxquelles tu dois attribuer une signification interne issue de la mémoire collective (meilleur moyen : les mythes) ET de ta seule mémoire individuelle personnelle (et, tu as de la chance, de celle de ta chère et tendre co-scénariste).

:icon_arrow: Retenir ce que dit Jean-Claude Carrière : Un roman s'écrit par un romancier, un scénario par un cinéaste (çà tombe à pic puisque tu t'exprimes qu'en images et en sons).

:icon_arrow: Consulter à chaque fois que nécessaire le site de Scénarmag et voir tout ce qui se dit de Syd Field, Robert Mc Kee, Mélanie Ann Philips (Dramatica), John Truby, Christopher Vögler (et Joseph Campbell) et les articles de William (dont Qui et Quoi) *.

:icon_arrow: Sur le site "cinéaste indépendant" en lien sur le site de Scénarmag, jeter un oeil sur les 22 règles de chez Pixar (Bravo à Marc, jeune initiateur de ce site, de les avoir obtenues et traduites en français).

Les vraies émotions ne naîtront que de ce traitement de cheval ! Mes topics, William, tout le monde et moi-même restent là pour tout SOS éventuel !

EDIT : Le but recherché est de parvenir au plaisir du bon réflexe instinctif et d'oublier la torture intellectuelle ...

EDIT 2 : (*) Je recommande aussi la lecture des 3 derniers articles de William sur Scenarmag (Fiction 1, Fiction 2, Fiction 3, pour déjà bien saisir de quoi on parle :wiseman: ! ...).

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Merci beaucoup pour vos conseils et éclaircissements !

d'ailleurs j'ai été refusé dans 12 festivals auxquels j'ai participé

J'ose à peine imaginer les doutes que cela a dû t'occasionner.

Un peu, surtout que l'on attendais de pouvoir le diffuser sur le net, et il commençait à prendre la poussière !
Ce qui nous a beaucoup mis le doute, c'est le vol de notre matériel ^^

Cinématographie et Scénario sont deux entités distinctes. Pour moi, le scénario est l'outil de base qui servira à un ensemble de corps de métier (dont celui du réalisateur et de sa cinématographie).

En effet j'ai mélangé les deux dans mes propos.

Ciné7 :

Ca me parle, je vais essayer ça !

:icon_arrow: T'entraîner avec ce 1er exercice (dit "de métier" par les auteurs du manuel américain) :

"Ecrire une scène sans personnage, sans voix off, sans mention écrite mais avec des objets et des éléments du décor qui relatent une histoire venant de se dérouler (exemple : çà commence par un sac bourré d'argent abandonné au milieu d'une place déserte ...)".

:icon_arrow: Quand tu as une idée et qu'un thème ou divers éléments pointent leur nez (ou un scénario déjà écrit, ou un storyboard déjà dessiné) : interroges l'ami google sur leur(s) mythe(s), comme je l'ai fait sur la vanité (mot clé utilisé : mythe sur la vanité).

:icon_arrow: Interprètes ensuite toi-même ce que çà t'inspire notamment en images et en sons en gardant les éléments qui se sont présentés, comme je l'ai fait pour la fleur et la petite fille ...

Ca me paraît logique, Mais j'ai du mal à saisir l'importance de donner un sens à quelque chose qui n'en avait pas jusque-là ? Si je connais l'état d'esprit de mon personnage ou de la scène, peut-être qu'il serait judicieux de savoir comment se représentent ces états d'esprits/émotions dans la réalité, pour ensuite choisir ces éléments ? J'ai l'impression que c'est à l'envers dans ce sens-ci, surtout si je tombe sur un mythe qui ne me convient pas du tout, par exemple, si la fleur bleue avait représentée la haine et la violence, ça m'aurait carrément embêté pour représenter le village pacifique non ?

(Pour la pomme, je me suis seulement dit que c'était le fruit du péché pour lui retirer toute présence anodine et je lui ai attribué un lien avec "Tu ne tueras point", si jamais on pouvait en faire quelque chose).

La pomme, c'est un élément que l'on retrouve dans le village, à terre. Si j'essaie de faire ton exercice, voici ce que je dirais : "Une villageoise a été tuée, les pommes qu'elle avait dans son panier ont roulées au sol. Rugaur en croquant la pomme montre son mépris pour ces villageois, le fait qu'il est prêt à tout pour atteindre son but." Ca marcherait ?

:icon_arrow: Retenir ce que dit Jean-Claude Carrière : Un roman s'écrit par un romancier, un scénario par un cinéaste (çà tombe à pic puisque tu t'exprimes qu'en images et en sons).

Justement, j'espère travailler avec un vrai scénariste, car même si l'histoire m'est propre, je veux qu'elle soit servie pour être le mieux retranscrite, donc je vais devoir me retirer de cette partie à un moment : Je n'aurais jamais les compétences d'un scénariste aguerri en quelques mois, et je n'aspire pas à devenir scénariste.

:icon_arrow: Consulter à chaque fois que nécessaire le site de Scénarmag et voir tout ce qui se dit de Syd Field, Robert Mc Kee, Mélanie Ann Philips (Dramatica), John Truby, Christopher Vögler (et Joseph Campbell) et les articles de William (dont Qui et Quoi) *.

Yes !

:icon_arrow: Sur le site "cinéaste indépendant" en lien sur le site de Scénarmag, jeter un oeil sur les 22 règles de chez Pixar (Bravo à Marc, jeune initiateur de ce site, de les avoir obtenues et traduites en français).

Les vraies émotions ne naîtront que de ce traitement de cheval ! Mes topics, William, tout le monde et moi-même restent là pour tout SOS éventuel !

Merci beaucoup :)

EDIT : Le but recherché est de parvenir au plaisir du bon réflexe instinctif et d'oublier la torture intellectuelle ...

EDIT 2 : (*) Je recommande aussi la lecture des 3 derniers articles de William sur Scenarmag (Fiction 1, Fiction 2, Fiction 3, pour déjà bien saisir de quoi on parle :wiseman: ! ...).

Encore merci pour cette ordonnance, docteur.

Je suis vraiment content de cette communauté que je découvre ! Vous êtes tous très à l'écoute et bienveillant, c'est très encourageant :)

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Ca me paraît logique, Mais j'ai du mal à saisir l'importance de donner un sens à quelque chose qui n'en avait pas jusque-là ? Si je connais l'état d'esprit de mon personnage ou de la scène, peut-être qu'il serait judicieux de savoir comment se représentent ces états d'esprits/émotions dans la réalité, pour ensuite choisir ces éléments ? J'ai l'impression que c'est à l'envers dans ce sens-ci, surtout si je tombe sur un mythe qui ne me convient pas du tout, par exemple, si la fleur bleue avait représentée la haine et la violence, ça m'aurait carrément embêté pour représenter le village pacifique non ?

Bonsoir David,

Dr Ciné7 va augmenter les doses et se lancer dans une explication médicale.

Si TU connais l'état d'esprit de TON personnage ou de la scène, ce n'est pas le cas de ton public ! (Oui David, c'est pour lui tout çà ...).

Non, ce n'est pas ton métier de reproduire des états d'esprits et des émotions dans la réalité.

Ni toi, ni ton public, n'attendez plus rien de la réalité dès que la lumière s'éteint dans la salle (ou que la décision est prise d'appuyer sur "Play" pour que le film commence sur l'écran du domicile).

(Sinon la 20th century fox démarrerait par un plan sur le parking de ses studios (j'ose pas dire autre chose) et ne se serait pas ruiné la santé à mettre en scène son logo en 3d et en fanfare).

Le site Scenarmag te confirmera qu'il faut d'abord répondre à qui avant quoi et donc d'abord créer ton personnage et notamment son trait de caractère dominant, de préférence une faiblesse envers autrui (ex. : la vanité) et tout une série d'autres éléments dont tu vas l'affubler (ex. : une armure, une épée).

Tu ne pourras pas te satisfaire de ce que tu sais toi de ton personnage et de ta scène. Il faut le transmettre à ton public.

Tu n'as pas d'avance la liste des spectateurs et tu ne peux pas tenir compte de la sensibilité et de la culture personnelles de chacun. Pour toi, c'est une masse diffuse.

Pour te connecter à lui, tu vas donc te servir de ce que tu as mémorisé toi de ton personnage et de ta scène pour les transcrire dans la mémoire collective pour ne pas dire universelle. Le spectateur anonyme se sent tout à coup interpellé. Il s'intéresse ! (Il perd dans l'instant toute envie de t'insulter ...)

Le mythe universel est ta clé usb pour établir le contact avec chaque spectateur ou trice. Tu ne pourras jamais contester ce que tu as puisé, c'est garanti d'avance.

J'ajoute donc une dose dans la seringue : Après une autre vérif rapide chez l'ami google, la fleur bleue a servi à un héros mythique créé par un écrivain du romantisme allemand Novalis parce qu'elle représente dans la mémoire collective (ou si tu préfères, l'inconscient collectif) l'amour absolu.

Pas mal pour toi pour encore plus approfondir la scène de la petite fille. Perso et ne crains pas davantage les références religieuses, elles sont tout autant universelles quelle que soit la croyance, je verrais bien finir la scène du départ par la mère qui prend la petite fille dans ses bras pour lancer un dernier adieu au héros en évoquant l'image de la Madone portant l'enfant puisque çà tombe bien, on est à l'échelon de l'amour absolu.

Pour la vanité, tu ne peux pas regretter d'être tombé sur le mythe de Narcisse. J'ai eu le même doute que toi même s'il n'y a pas plus vaniteux que de se croire beau. Il faut donc compléter par une histoire d'amour du héros du mythe et voir si on ne peut faire quelques rapprochements avec des éléments en présence dans ton histoire à toi. Là, il s'agit de Echo. Rugaur se croit beau et fort et le jeune héros prend la même voie en osant l'affronter même par vengeance. Ils se font écho entre eux, entre les images qu'ils se donnent d'eux-mêmes. Tu peux profiter de la scène de la falaise pour appuyer cet écho (selon aussi la définition littérale rappelée par l'ami google évoquant notamment le vide).

La pomme, c'est un élément que l'on retrouve dans le village, à terre. Si j'essaie de faire ton exercice, voici ce que je dirais : "Une villageoise a été tuée, les pommes qu'elle avait dans son panier ont roulées au sol. Rugaur en croquant la pomme montre son mépris pour ces villageois, le fait qu'il est prêt à tout pour atteindre son but." Ca marcherait ?

Cà marcherait, si tu ne jonglais pas autant avec tes flashes back. Tout se prépare et il ne faut pas autant bousculer les repères du public. Au contraire, il faut les installer !

Tout marcherait tant que tu respectes la consigne que tout élément est casté comme tes acteurs. Le public doit savoir que la pomme est un personnage de l'action. Le comédien qui la croque, aussi !

Je pose la seringue vide et je laisse l'armoire à pharmacie entrouverte ! Il reste le (gros) flacon sur l'armure et l'épée ...

Justement, j'espère travailler avec un vrai scénariste, car même si l'histoire m'est propre, je veux qu'elle soit servie pour être le mieux retranscrite, donc je vais devoir me retirer de cette partie à un moment : Je n'aurais jamais les compétences d'un scénariste aguerri en quelques mois, et je n'aspire pas à devenir scénariste.

C'est ce que perso, j'avais bien compris mais attention, bon courage pour trouver ton scénariste. Prévois tes arrières en ne te disant pas fontaine, je ne boirai pas de ton eau. Dans la vie, on conclut souvent qu'on n'est jamais mieux servi que par soi-même ...

Mais je te le souhaite vraiment car le cinéma n'est et ne sera jamais un art solitaire :rolleyes: !

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Arff... Je remarque que je n'ai pas dû valider mon dernier message..... Je me demandais pourquoi je n'avais pas de réponses ! ^^

Je recommence ;)

En gros je disais que je n'avais pas vraiment abordé le spectateur en ces termes, je me suis toujours reposé sur le "Il comprendra dans la suite ! " (Bah oui enfin, on fait pas ça dans les trilogies à 200 millions de budget ? Pourquoi pas moi ?! ^^) Du coup merci beaucoup pour cette case que tu as ouverte, bien que la peur d'en dire trop demeure ! Je suis toujours tiraillé entre le fait d'avoir peur que le spectateur s'ennuie en sachant tout à l'avance, et le fait qu'il ne pige rien du tout.

Pour la fleur bleue, en effet, ça tombe bien ! :)

Pour la vanité je n'ai pas pensé à Narcisse, mais à moi-même, dans la façon que j'avais de juger si facilement du bien ou du mal, en ne prenant en compte que mon point de vue. Du coup c'est vanité+égocentrisme réunis. Là où il fait écho à Rugaur, pour l'égocentrisme c'est qu'il est prêt à sacrifier des dizaines de personnes pour sauver sa famille, et pour la vanité c'est qu'il croit que parce que ce sont SES proches, a qui IL a donné SON amour; ils en valent la peine.

Concernant les fashs, j'aime beaucoup cette façon de raconter l'histoire, mais je conçoit que ça soit complexe. Après j'ai eu des gens (peu nombreux certes) qui ont tout compris d'un trait : la fleur, la petite, le maître, mais ils se comptent sur les doigts d'une main :D

Je prévois mes arrières, mais j'aime l'idée de travailler à plusieurs, si je trouve des gens aussi fous et passionnés (ce qui existe largement), et qui sont touchés par l'histoire. [Et qui ont les mêmes idées, ressentis, goûts, bref... moi:/ ] Mais je ne perd pas espoir ! :)

Encore merci Dr Ciné !

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Pour la vanité je n'ai pas pensé à Narcisse, mais à moi-même, dans la façon que j'avais de juger si facilement du bien ou du mal, en ne prenant en compte que mon point de vue.

Bonjour David !

Je confirme que le "bug" vient de là (çà ne veut pas dire que ta démarche est fausse mais seulement insuffisante pour être vraiment efficace).

En tant qu'auteur (ou réalisateur), tu n'as pas le droit d'imposer ton jugement à toi sur le bien et le mal (objet d'articles tout récents sur le site de Scenarmag sur le code moral et l'éthique des personnages).

Si on doit résumer, il n'y a pas de conflit entre le bien et le mal mais entre la vie et la mort (selon une consultante d'Hollywood);

J'ose compléter que le conflit réside dans le choix de la voie qui mène vers les ténèbres ou la lumière (l'enfer ou le paradis, le mensonge ou la vérité, etc ...).

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Bonjour David, je complète en vitesse. J'ai décidé d'examiner plus en détail les 22 règles de chez Pixar (sur cinéaste indépendant en lien sur le site de Scenarmag) et j'ai vu que la règle n°15 te concernait spécialement :sm42: (mais que cela ne t'empêche pas de te lancer dans les 21 autres).

(Non, ce n'est pas mon sourire qui t'accueille :sweatingbullets: ...) : https://cineaste-independant.fr/anatomie-du-scenario-pixar-storytelling-regle-15/

Je précise d'ailleurs que je te parle à toi de dimensions mythiques parce que comme son nom l'indique, "Birth of a Hero" s'y prête totalement mais toutes ces recherches ne sont pas nécessaires pour chaque projet. Comme il est dit dans une autre règle, on peut se contenter d'un univers humain plus ordinaire ("dérisoire" est-il dit).

J'en profite pour Peter Jackson ! J'avoue que perso, il ne m'a pas plus aidé à comprendre Tolkien que toi, Zelda. Cà reste quand-même très hermétique tout çà pour des néophytes même très curieux de tout.

Il faut savoir que sur le forum, Ciné7 débranche souvent le décodeur et donc se trouve très tenté de te dire à toi que c'est Ridley Scott qui est cité dans la règle n°22. Pas Peter Jackson ... (même si je respecte, de fait, son King Kong).

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