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alfa
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Malheureusement, après toutes ces explications, je me sens toujours incapable de déterminer si tel film doit s'appeler "documentaire" ou "reportage".

Le problème n'est pas réellement terminologique même si j'ai repris notre amie sur le terme qu'elle utilisait. Je l'ai reprise car elle se posait des questions sur son film dans son ensemble, et demandait confirmation / infirmation. A la limite, on peut appeler un film comme on veut. Mais le genre documentaire, c'est pas du reportage, les deux sont vraiment faciles à distinguer. Pour moi c'est aussi criant qu'en peinture, le figuratif et l'abstrait. Je schématise...

Une des variables qui différencie les deux genres dans 9 projets sur 10, est la variable du temps. Les projets documentaires sont souvent des projets de longue haleine. J'ai vu le mois dernier 4 documentaires (dans le cadre d'un festival) : ils ont pris chacun entre 1 et 3 ans à se faire. L'un se passe en prison, le réalisateur n'a pas sorti sa caméra pendant des mois avant de tourner la première scène car il fallait obtenir la confiance d'une équipe médicale qui intervenait auprès des prisonniers et construire le film en partie avec les médecins. Un autre se consacre à l'évolution de l'agriculture en France depuis 50 ans (un constat alarmant) : le réalisateur a beaucoup de témoins qui parlent à la caméra, il a mis des mois à rencontrer ces gens et organiser les tournages.

On peut d'ailleurs étendre cette notion du temps à un genre qui demande beaucoup de temps également : c'est le genre animalier. On parle bien de documentaire animalier...

Le reportage, on est plus dans un sujet à chaud, dans un formatage journalistique effectivement avec une succession de faits et d'actions.

Pourquoi cette différence de temps ? Parce qu'il y a une différence d'approche.

Pour s’y retrouver,

- Le documentaire est l’oeuvre d’un auteur, il est subjectif et intemporel.

- Le reportage est le travail d’un journaliste, il est lié à l’actualité.

Nota: règle exacte au fausse, au moins elle a le mérite d'être simple.

Oui c'est une définition et distinction possible qui n'est pas si éloignée de ce qui a été dit jusqu'à présent. Simplement une définition est souvent très incomplète. Les milliers d'amateurs qui font des films sont rarement des journalistes et ils font pourtant des films qui s'apparentent quand même plutôt à du reportage.

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pour rebondir sur le facteur temps... mais dans une autre dimension temporelle... encore que ..., il me semble que l'un est plus fait pour durer que l'autre: je m'explique

le reportage témoigne d'un événement ou d'une situation à un instant (c'est l'actualité). demain, la situation, les données qui ont été présentées auront changé et le reportage ne traversera le temps qu'en tant que témoignage

alors que le documentaire se veut approfondir un sujet ou rechercher une vérité reflet d'une époque, voir intemporelle. il montre quelque chose qui sera encore vrai demain...

et c'est la raison pour laquelle il me semble que ma vidéo tient du documentaire, bien que ce ne soit pas une œuvre !

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alors que le documentaire se veut approfondir un sujet ou rechercher une vérité reflet d'une époque, voir intemporelle. il montre quelque chose qui sera encore vrai demain...

:cool-2: oui mais je pourrai vous donner 100 contre-exemples. L'un des documentaires que j'ai vus il y a 3 semaines montre la fuite des réfugiés lybiens (de toutes origines) à la frontière tuniso-lybienne juste avant la prise de Kadhafi, et la constitution d'un camp qui se transforme en ville-champignon dortoir provisoire. Deux mois plus tard, le camp n'existait plus et le désert avait retrouvé sa "quiétude". 2 mois plus tard, c'était donc un autre film ! :rolleyes:

Ce film (Babylon) a obtenu le 1er prix du festival du documentaire de Marseille (un prix assez prestigieux). Babylon fait exception en matière de durée de tournage, car il s'est déroulé sur une période relativement courte en raison du sujet même qui imposait un tournage sur une période courte et de la décision rapide des 3 jeunes réalisateurs (tunisiens). Ils ont tourné avec 2 Sony DSR-PD150 qu'ils ont louées.

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Il y a quand même une différence et je comprends très bien les mots exprimés par Premiel, entre les documentaires sur l'actualité (dont l'intérêt n'est qu'éphémère, d'un intérêt en général plutôt faible quelques années après) et les documentaires qui montrent une certaine beauté de la nature, ou l'explication d'un phénomène etc ... qui en général, pourront se voir avec autant d'intérêt quelques années après leur réalisation.

Mon avis personnel, c'est qu'aujourd'hui, le mot documentaire es un peu employé à toutes les sauces alors qu'il y a quelques années on aurait dit simplement un film reportage sur l'actualité, c'est le cas de ce film sur la fuite des réfugiés lybiens.

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Coucou,

Je pense que dans le cinéma, le documentaire serait ce qui ne relève pas de la fiction !

C'est en télé qu'il y a nuance avec le reportage qui relate alors que le docu développe.

Internet est donc venu fusionner les concepts du cinéma et de la télévision !

(Ceci pour égayer la réflexion d'une plutôt bonne nouvelle !!!)

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(pardon premiel, on s'éloigne de l'Islande mais ça ne me paraît pas hors sujet)

Mon avis personnel, c'est qu'aujourd'hui, le mot documentaire es un peu employé à toutes les sauces alors qu'il y a quelques années on aurait dit simplement un film reportage sur l'actualité, c'est le cas de ce film sur la fuite des réfugiés lybiens.

Il y a contresens ou peut-être une simple méconnaissance sur la "mission" d'un reporter et celle d'un documentariste. Il y a de très nombreux journalistes de plusieurs pays qui ont couvert l'événement de ce camp de réfugiés. D'ailleurs on les voit distinctement dans le documentaire Babylon qui les a filmés quelques instants à dessein. Les images de reportage de ces journalistes sont peut-être disponibles en Replay sur certaines chaînes si on les cherche pour se faire une idée.

Les reportages tentent de décrire (plus ou moins bien) la situation, l'envoyé spécial est parfois face à la caméra, il interview quelques humanitaires, quelques responsables du camp, et c'est dans la boîte. Les journalistes viennent, commentent, repartent. Ils restent au mieux quelques jours (au pire quelques heures) avec des allers et retours quotidiens vers / depuis leur hôtel. Je ne porte pas de jugement, c'est ce que leur chaîne leur demande, c'est ce que les spectateurs de ces chaînes "demandent" également.

Maintenant le documentaire :

1re différence : Le film ne comporte AUCUN commentaire (le film dure pourtant 2 heures) ni AUCUNE interview. Parfois les gens parlent mais sans question journalistique, ce sont juste des phrases saisies au vol ou au cours d'une discussion informelle.

2e différence : ll n'y a aucun "journaliste" qui s'exprime face caméra ou qu'on voit discuter (genre Denis de la Villardière sur M6).

3e différence : le film dure 2 heures. Inutile de dire qu'avec une reportage de 30 à 90 secondes (durée-type news), on est moins précis...

4e différence (moins marquée) : le matos. Pas d'éclairage ni de prise de son. 2 simples PD150 et un trépied pro.

5e différence (la plus importante à mes yeux) : la notion d'immersion. Le documentaire tente de scruter les conditions de vie de ces réfugiés et comment le camp s'organise. Pour cela, et pour l'anecdote, les 3 réalisateurs de Babylon ont dormi sur place dans un 4X4 loué (l'un d'eux a même été sorti du truck car il ronflait trop et réveillait ses camarades !). Ils ne retournaient à l'hôtel qu'une fois par semaine pour des raisons impératives d'hygiène.

Les documentaristes sont ainsi restés sur place, du début à la fin du camp de réfugiés, soit 4 semaines, pour vivre au rythme des réfugiés, ils se levaient en meme temps qu'eux, et assistaient à toute la vie du camp. Il y a une scène saisissante où on voit des centaines de réfugiés se rendre tous dans la même zone au petit matin, l'air hagard, pour aller faire un besoin naturel (il n'y avait bien évidemment aucun système sanitaire sur place capable d'absorber le flot de réfugiés). Jamais vous ne verrez cette scène dans un seul reportage.

il y a une autre scène saisissante où la communauté des travailleurs du Bengladesh (qui était très présente en Lybie pour y travailler) manifestent violemment car ils ne sont pas lybiens, s'estiment étrangers à ce conflit et veulent être rapatriés dans leur pays (ils le seront mais plus tard). Une autre où on voit l'interminable attente de 7 heures en file indienne et le ras-le-bol des réfugiés pour obtenir une écuelle de riz. Une autre où on voit comment la marché noir s'organise dans le camp. Jamais vous ne verrez ces scènes dans tous les reportages qui ont été diffusés. C'est un principe d'immersion.

Je pourrai continuer les différences mais je suis déjà trop long.

On pourrait trouver des différences fondamentales en opposant d'autres documentaires à d'autres reportages.

Je tiens ces informations détaillées d'un des 3 réalisateurs avec qui j'ai longuement discuté. :cool:

ps : je parle bien du conflit Lybien (en 2011) et non syrien.

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C´est limpide!Le reportage se fait donc dans l´urgence et le documentaire dans la reflexion et le temps qu´il faut pour approfondir un sujet.J´ai moi meme réalisé un documentaire sur la Sicile,il y a un peu plus d´un an.Je suis resté sur place 1 mois et j´ai passé pres de 3 mois á le monter.Enormement de recherche sur internet et ailleurs,le documentaire portant sur l´histoire de la Sicile.Je comprends mieux la difference entre documentaire et reportage en ayant fait et l´un et l´autre.Le reportage m´ayant pris un apres midi pour filmer,et 2 semaines á monter.

A premiel:felicitations pour ce documentaire,si si j insiste,de tres belles images(avec quoi filmer vous?).Un petit bemol:2 images de rekjavik, pas plus.

Franck.

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C´est limpide! ................

A premiel:felicitations pour ce documentaire,si si j insiste,de tres belles images(avec quoi filmer vous?).Un petit bemol:2 images de rekjavik, pas plus.

Franck.

Bonjour Franck,

Pourquoi insister sur le qualificatif "documentaire", puisqu'il a été dit par Thierry P. que son film n'entrait pas dans la catégorie "documentaire". (c'est d'ailleurs la seule raison de toutes ces explications).

Ce qui montre bien que ce n'est pas si limpide que ça ...

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Je me permets de répondre pour franck.franck qui corrigera si ce n'est pas ça. :cool:

Probablement parce qu'autant dans l'exemple de la Lybie, les modes de traitement entre un reporter envoyé par France 24 et trois réalisateurs indépendants, sont bien distincts, autant dans le cas de Premiel, l'Islande est montrée d'une façon bien "documentée" (j'emploie le mot volontairement) et c'est tout à son honneur, mais on est davantage dans les codes du reportage touristique.

L'aspect humain est souvent très important dans le documentaire. Il est quasiment absent du film.

Si vous voulez tout comprendre de la différence, vous regardez le documentaire Reporters de Raymond Depardon. :rolleyes:

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Bonjour Franck,

Pourquoi insister sur le qualificatif "documentaire", puisqu'il a été dit par Thierry P. que son film n'entrait pas dans la catégorie "documentaire". (c'est d'ailleurs la seule raison de toutes ces explications).

Ce qui montre bien que ce n'est pas si limpide que ça ...

Cher Noel,

Et la liberté d´expression,t´en fais quoi!!!!Je ne poste pas des messages en pensant que les gens prennent tout cela si serieusement,y a pas mort d´homme,si?Reportage touristique,documentaire(excuse moi,ca m´as echappé) animalier,tout cela est du pareil aux memes,á mes yeux.La ligne est fine et mince et pour moi,simple videaste amateur mais passionné par la capture d´image et de sens á ce que je fais,cela reflete bien l´ambiguité des termes employés parfois dans ce domaine de l´image.SIMPLIFIONS!!!!

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Je me permets de répondre pour franck.franck qui corrigera si ce n'est pas ça. :cool:

Probablement parce qu'autant dans l'exemple de la Lybie, les modes de traitement entre un reporter envoyé par France 24 et trois réalisateurs indépendants, sont bien distincts, autant dans le cas de Premiel, l'Islande est montrée d'une façon bien "documentée" (j'emploie le mot volontairement) et c'est tout à son honneur, mais on est davantage dans les codes du reportage touristique.

L'aspect humain est souvent très important dans le documentaire. Il est quasiment absent du film.

Si vous voulez tout comprendre de la différence, vous regardez le documentaire Reporters de Raymond Depardon. :rolleyes:

Bonjour thierry,

"Documentéé" et non un documentaire,comme je le disais á Noel,la difference,encore une fois á mes yeux,me parait invisible.Des documentaires avec ou sans personnages interviewés,narration ou pas,etude de sujets dignes d´une these,ou tout simplement descriptif d´un sujet.Le documentaire,qui etait le parent pauvre du cinema á bien evolué depuis que la palme d´or á Cannes esr revenu á michael Moore.On se met á rever de pouvoir en faire autant avec de tous petits budgets.Alors que le cinema est reservé á une certaine elite,le docu est tout de suite plus abordable.Il a de beaux jours devant lui.

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réponse à Frank.frank; je film avec une sony VG20 (donc un format APS qui permet de gérer la profondeur de champs) muni d'un objectif 70/200sony. autre précision, je fais de la prise de vue animalière mais que je ne peux mettre sur ce forum car les musiques ne sont pas libre de droit ! mais si certains sont intéressés je peux les communiquer à titre tout à fait perso comme il se doit à partir d'une plateforme de téléchargement et si cela n'est pas contraire aux principes de magazine video

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Le documentaire,qui etait le parent pauvre du cinema á bien evolué depuis que la palme d´or á Cannes esr revenu á michael Moore.On se met á rever de pouvoir en faire autant avec de tous petits budgets.Alors que le cinema est reservé á une certaine elite,le docu est tout de suite plus abordable.Il a de beaux jours devant lui.

Adieu, Colombine, c'est ça? Il y a eu aussi "Entre les murs", de Jean-François Begaudeau, deux films à mon avis bien plus intéressants que certaines fictions.

Ce qui est intéressant, je crois que c'est Noël qui m'a évoqué, c'est la comparaison avec les anciens films d'actualité, il évoquait peut-être ceux de Capa ou du magazine d'informations 5 colonnes à la Une. Je crois que la comparaison est difficile car il y avait une seule chaîne de télévision, les actualités étaient parfois vues au Cinéma, les caméras vidéo n'existaient pas, et les structures de production d'images étaient beaucoup moins éclatées, avec moins de "clans". Pas ou peu de course à l'audience. Mais les Jean Rouch et compagnie produisaient déjà des documentaires (au pays Dogon en 1947 est l'un des plus célèbres) ou ailleurs, Depardon aussi.

Aujourd'hui, débarque le webdocumentaire. je crois que les époques évoluent et que les comparaisons sont difficiles...

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mais si certains sont intéressés je peux les communiquer à titre tout à fait perso comme il se doit à partir d'une plateforme de téléchargement et si cela n'est pas contraire aux principes de magazine video

La jurisprudence, si l'on tient absolument à la respecter, a rendu des verdicts plus souples que ça n'en a l'air en matière de vidéos intégrées. Par ailleurs, vous avez parfaitement le droit de placer sur magazinevideo un lien comportant une musique non libre de droits, vers une vidéo hébergée sur un site de partage comme YouTube. En effet, ce dernier rémunère les ayants droits (dont la Sacem) en diffusant de la publicité autour de votre vidéo ou parfois en surimpression passagère (avec possibilité de cliquer pour fermer). Vous n'avez personne à prévenir, c'est le robot de YouTube qui détecte si votre vidéo comporte ou non une musique soumise à droits d'auteur.

Il faut accepter la publicité, ça peut être pénible selon le ressenti de chacun.

Le seul problème, c'est nous qui pouvons l'avoir (comme d'hab...) en tant que diffuseur n'hébergeant pas la vidéo. Mais c'est du cas par cas.

Vous pouvez aussi placer votre vidéo sur un site de partage, activer la fonction "privée" et communiquer un mot de passe qui permettra de filtrer les personnes qui regardent.

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réponse à Frank.frank; je film avec une sony VG20 (donc un format APS qui permet de gérer la profondeur de champs) muni d'un objectif 70/200sony. autre précision, je fais de la prise de vue animalière mais que je ne peux mettre sur ce forum car les musiques ne sont pas libre de droit ! mais si certains sont intéressés je peux les communiquer à titre tout à fait perso comme il se doit à partir d'une plateforme de téléchargement et si cela n'est pas contraire aux principes de magazine video

Je filme avec le nex vg10,en entrelacé 50 I donc,vous avez filméé en 50 P,c´est pas trop"gourmand"au montage?il faut surement beaucoup de ressources pour pouvoir avoir la fluidité de l´image?
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Je filme avec le nex vg10,en entrelacé 50 I donc,vous avez filméé en 50 P,c´est pas trop"gourmand"au montage?il faut surement beaucoup de ressources pour pouvoir avoir la fluidité de l´image?

Bonjour Franck,

Personnellement, depuis presqu'un an, je filme avec mon caméscope Sony CX740, toujours en 50p.

Au montage avec Magix Video deluxe 2013 et un PC avec processeur Core2-duo Quad (4 coeurs) d'il y a 4 ans (Q9550 à 2,88 GHz) aucun problème de fluidité, sauf pour certains effets ou transitions compliquées, dans ce cas il existe un bouton pour lancer, après sélection d'une zone, un rendu qui permettra de voir le film avec fluidité sur la time-line. En sortie je sors en 50p pour lecteur multimédia, et en 50i pour le blu-ray.

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Islande a été filmé et monté en 50p ... et ce fut dur ! Je monte sur Edius néo 3 . A part les quelques effets au départ, il y a peu de transitions autres que le fondu enchainé. Je suis plutôt adepte du cut. Par contre, vous avez du constater que je suis une maniaque de l'image et je travaille donc les balances de couleurs et de luminosité pour équilibrer une image sur une autre. Mon "Core2-duo Quad (4 coeurs) d'il y a 4 ans" ... (et oui j'ai le même !) ne conservait plus les calculs de rendu, passés deux pistes+ une correction. Si bien qu'à chaque passage, j'avais entre 2 et 3 minutes de re-calcul pour obtenir une image fluide! Fort du débat ci-dessus, je pense que le prochain montage je vais essayer le 50i !

En ce qui concerne les vidéos avec musique qui ne sont pas libre de droit, y a -t-il un hébergeur mieux que d'autres ? :

youTube m'a fait une alerte sur une musique dont je suis sûre qu'elle est libre de droit !

Autre cas: j'ai filmé un spectacle pour le compte des auteurs. Ceux-ci 'acquittent des droits à chaque représentation et s'en sont acquittés lors de la représentation le jour où j'ai filmé.Là encore youTube m'a mis une alerte; Peu au courant de la législation, au delà de ce que la presse communique très partiellement, du coup j'hésite à mettre mes vidéos sur youTube.

merci de me dire où je peux trouver une info fiable et qu'elles sont les risques.

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youTube m'a fait une alerte sur une musique dont je suis sûre qu'elle est libre de droit !

Il suffit de contester, c'est une procédure prévue par YouTube. Elle est généralement couronnée de succès si vous êtes dans votre bon droit et que vous argumentez.

Nous en avons parlé dans un article consacré aux droits d'auteurs musicaux sur YouTube.

Pour votre dernière question, je vous recommande de faire un sujet séparé, vous aurez plus de réponses, d'autant que vous abordez, l'air de rien, des sujets intéressants mais très différents juridiquement les uns des autres.

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Islande a été filmé et monté en 50p ... et ce fut dur ! Je monte sur Edius néo 3 . A part les quelques effets au départ, il y a peu de transitions autres que le fondu enchainé. Je suis plutôt adepte du cut. Par contre, vous avez du constater que je suis une maniaque de l'image et je travaille donc les balances de couleurs et de luminosité pour équilibrer une image sur une autre. Mon "Core2-duo Quad (4 coeurs) d'il y a 4 ans" ... (et oui j'ai le même !) ne conservait plus les calculs de rendu, passés deux pistes+ une correction. Si bien qu'à chaque passage, j'avais entre 2 et 3 minutes de re-calcul pour obtenir une image fluide! Fort du débat ci-dessus, je pense que le prochain montage je vais essayer le 50i !

Bonjour Premiel,

J'ai moi aussi un Core2-duo Quad d'il y a 4 ans (Q9550 à 2,83 GHz).

Avec Magix VDL 2013, on peut spécifier un format (avec détail) que l'on va mettre sur la time-line.

Je choisis toujours 1920x1080 en 50i, même si j'y mets du 50p et dans ce cas aucun problème pour faire le montage, alors que sinon j'ai les mêmes problèmes si je choisis 50p en entrée.

Ce qui n'empêche pas après montage de sortir un fichier en 50i ou en 50p.

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