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Ecrire des storytelling qui touchent


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Il y a 6 heures, Ciné7 a dit :

... qui combat les ombres que lui renvoie la lumière primordiale, pour protéger la fameuse matrice universelle figurée par la mère et sa fille porteuse du livre d'une quête humaine (elle-même illusoire)

Je reviens car Blake Snyder a raison de dire que pendant son sommeil, on continue de travailler.

Je me réveille avec un si on reste à la lumière primordiale, on reste à la conception ! Donc, il ne combat pas les ombres de son monde antérieur enfoui derrière le voile de l'oubli ! Il combat les ombres des autres millions de petits têtards prêts à se laisser séduire par un rêve de pouvoir et de gloire. Des progénitures ou des fruits qui ne seraient pas dignes de notre mère nature créatrice ! (rêve en tant que 1er reflet trompeur dans la caverne).

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Il y a 11 heures, Ciné7 a dit :

Oui NOEL, le lien parvient à une page de site où on ne voit pas le court-métrage.

 

Par contre, en l'ayant vu sur ton post, je deviens moins catégorique contre le film.

 

 

Bonjour Ciné7,

 

Je comprends ta réaction qui n'est pas suite à avoir vu le film de "2h40" ... mais juste en voyant ce 3ème petit court-métrage qui est humaniste ! ... et facile à comprendre ... aucune difficulté. (mais cette scène est absente du film de 2h40)

 

Voilà, j'ai trouvé un jugement qui correspond bien à ce que je pense du film :

 

 

LE CLASH CULTURE FIGARO-L'OBS - En reprenant le classique de Ridley Scott, Denis Villeneuve a choisi de s'en tenir à un rythme lent, porté par des décors léchés. Grégoire Leménager de L'Obs a apprécié «les thématiques» que balaye le film alors que Jean-Christophe Buisson regrette «deux heures quarante de tunnel».

 

Jean-Christophe Buisson opine du chef. «Les décors, les costumes, la Peugeot volante... Il y a des choses qui visuellement et graphiquement sont somptueuses», énumère le directeur adjoint du Figaro Magazine. «Mais cela reste deux heures quarante de tunnel. C'est toujours la même arnaque avec la bande-annonce. Vous avez l'impression qu'il y a Harrison Ford alors qu'il arrive au bout d'une heure cinquante et que le film dure deux heures quarante. Vous avez l'impression que ça bouge, que c'est un film d'action, alors que c'est ultracontemplatif, etc.»

 

En fin connaisseur du genre, Denis Villeneuve a fait le choix prudent de «balayer» toutes les questions classiques de la science-fiction, comme l'explique Grégoire Leménager. «Qu'est ce que le propre de l'homme? Est-ce d'avoir des souvenirs? Non, ils peuvent être trafiqués aussi. Est-ce le fait d'avoir une âme? Non, car on ne sait pas très bien ce que c'est. Est-ce qu'il peut se reproduire?» Cette interrogation est au cœur de l'intrigue.

 

Côté émotion, le bât blesse selon Jean-Christophe Buisson, qui trouve le résultat «sinistre». «Ryan Gosling, les décors, le scénario»: rien ne trouve grâce à ses yeux. «Cela donne un film qui ne fait ressentir aucune émotion au spectateur. Le propre de l'homme c'est peut-être de ressentir des émotions, ajoute-t-il. Les seuls moments où il devrait ressentir des émotions, vous avez la musique d'Hans Zimmer qui dégouline avec des basses synthétiques monstrueuses pour bien comprendre.»

 

La musique, justement. Elle tenait une place centrale dans l'œuvre originale. Qu'en est-il avec ce nouvel épisode?

" C'est horrible! " ... Vangelis, c'est dix fois mieux, juge Buisson. Hans Zimmer, il faut le débrancher. En tout cas, cette version-ci du compositeur.» Grégoire Leménager partage son avis. Au moins le film leur aura permis d‘être d'accord sur un point.

 

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Le 18/06/2018 à 23:43, Ciné7 a dit :

LAME, pour en revenir à ton sujet.

 

Jusqu'à présent, je partais du principe que tu parlais du storytelling que dans ton domaine (le clip musical) mais ta question fait référence à Andrew Stanton (Pixar).

 

Donc, confirmes-tu que c'est aussi pour la fiction et si oui, as-tu vu mon lien vers le post sur "Seul au monde" ?

 

https://forum.magazinevideo.com/topic/32765-le-voyage-du-héros/?do=findComment&comment=157864

 

Le principe essentiel est d'écrire de l'intérieur vers l'extérieur. D'où l'approche à la source des émotions que je t'ai proposée.

 

D'ailleurs, en voyant ton clip de Beyoncé, tu remarqueras toute la créativité qu'il est possible avec cette approche (comme support, il a même fallu le Louvre, la victoire de Samothrace et la Joconde ...).

 

Pour l'instant, on est déjà remonté au paradigme de Syd Field, la fondation du récit de fiction (surtout au cinéma mais aussi pour un clip).

 

Souhaites tu encore développer sur les personnages et l'intrigue (le qui et le quoi) ?

 

Car avec le qui et le quoi, à la phase suivante, la mécanique permet notamment cet exemple d'émotion (entre un père et son fils) :

 

 

Ou cet autre exemple :

 

 

Déjà, sans être d'abord parti de la source et de la matrice universelle, aucune de ces 2 scènes dans chacune de leur spécificité, n'auraient autant de sens et toute cette consistance !

Les films sont bourré de message que tout le monde ne comprend pas même quelqu'un qui travaille dans le cinéma ne comprend pas forcément, c'est aussi mon cas, en faite c'est le fond même de la manière de créer le qui et le quoi. D'ailleurs le "quoi" signifie quoi ?

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Le 20/06/2018 à 20:57, Ciné7 a dit :

 

Pour le qui, je reprends ici une citation de Syd Field parce qu'elle m'a personnellement aidé :

"On apprend beaucoup des personnages à leur façon d'agir et de se comporter. Les images ou les représentations révèlent leurs différentes facettes. Tandis que le personnage, lui, révèle la nature profonde de l'humanité, en termes de valeurs, d'actions et de croyances".

 

 

Robert Mc Kee, formateur en scénario à Hollywood, le dit autrement mais en version humour provoc. Il dit d'écrire son "qui" comme si c'était Al Pacino qui allait le jouer. On ne sait jamais, il sera peut-être le seul acteur de disponible à la période du tournage.

 

Le qui relève donc du cerveau droit mais en aucun de l'inspiration.

 

Pour l'instant, ton seul acteur gratuit sous la main, c'est toi ! Quoiqu'en pense ton agent !

 

En te concentrant ainsi sur toi-même ou en t'aidant du défilé de ces aussi nobles gens que toi sur le clip de Nouela ou ailleurs notamment dans ce que tu as déjà fait toi, un "qui" devrait commencer à se dessiner avec à force, l'ébauche d'un quoi.

 

Le pourquoi devrait suivre ...

 

Puis ton cerveau gauche en bleu de travail, boîte à outils en bandoulière :bien:

Par rapport à la citation de syd Field quand il dit que les images ou la représentations révèlent leurs différents facettes, ils parlent des décor choisis ?

J'ai énormément de mal avec les "qui" "quoi" et "pourquoi" quand je dois moi-même les utilisés. 

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Il y a 20 heures, Ciné7 a dit :

NOEL, j'ai revu l'analyse de Projets-Ventilo et je crois que le côté lugubre, c'est le fatalisme (l'abandon de tout espoir d'humanité).

 

Ce n'est pas notre registre (ni même de la fin du 1er) :

 

 

Attention, à mieux vérifier sur 2049 (on y parle de souvenirs mais certes, programmés ...).

 

Alors que LAME ne revienne pas nous dire après que lui n'aurait pas de matériel de base :eusa_clap-2: !

 

Et qu'il ne saurait pas écrire de l'intérieur vers l'extérieur (du fond jusqu'au delà de la surface).

Eh bien, en faite je ne le fais pas exprès, ce n'est pas du tout maitrisé, je ne fais que dire ce que je vois et ce que les images me font ressentir, pour moi je ne sais pas et puis je ne sais pas même ce que c'est d'écrire de l'intérieur vers l'extérieur, je fais tout à l'instinct mais je trouve ça problématique car je ne sais jamais ce qui va sortir de ma tête, j'ai du mal à prévoir mes scènes en avance ou même un thème, on va dire que toutes les fois ou j'ai de l'inspiration ou que je décris ce que je vois dans un film,un clip ce n'est qu'à l'instinct, c'est comme si j'avais un éclair d'inspiration mais ce fameux éclair ne vient jamais avant dans la préparation de mes tournages je bloque automatiquement.

 

Eh bien, en faite je ne le fais pas exprès, ce n'est pas du tout maitrisé, je ne fais que dire ce que je vois et ce que les images me font ressentir, pour moi je ne sais pas et puis je ne sais pas même ce que c'est d'écrire de l'intérieur vers l'extérieur, je fais tout à l'instinct

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Il y a 17 heures, Ciné7 a dit :

Oui NOEL, le lien parvient à une page de site où on ne voit pas le court-métrage.

 

Par contre, en l'ayant vu sur ton post, je deviens moins catégorique contre le film.

 

Certes, c'est lugubre mais parce que la mise en scène reste à la lumière primordiale (le jeu des lumières d'arrière plans) car le personnage est un répliquant qui combat les ombres que lui renvoie la lumière primordiale, pour protéger la fameuse matrice universelle figurée par la mère et sa fille porteuse du livre d'une quête humaine (elle-même illusoire), sa seule chance (son seul espoir) d'atteindre l'état foetal et ainsi de suite ... Nous vivons sa prison au plus profond de la caverne (c'est pas demain, les 1ers reflets de la lumière du jour ... à part le blanc de la couverture et des pages du livre même déchirées).

 

Comme on ne m'y prend plus, faudrait que je vois le final pour déchiffrer le film. Peut-être une piste pour toi avec le chapitrage du blu-ray (si tout va bien, il devrait y avoir tous les éléments qui devaient être mis en place).

 

Par contre, de mon côté, je venais juste de me souvenir pour LAME d'un exemple de clip musical bien scénarisé pour toucher émotionnellement :

 

 

Je l'ai déjà vu ce clip, il est profond.Le petit gars à chercher à attirer l'attention de ses parents quand il a vue que ses parents se séparer, il s'est enfuie et a fait un feu d'artifice comme un appel à l'aide (comme ceux qui sont échoué sur une ile déserte)

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Salut LAME et salut NOEL (la critique est sans appel en effet).

 

LAME, sur ce clip d'exemple, le "qui" c'est le bonheur joué par un enfant et le "quoi" : le SOS qu'il lance à ses parents en leur rappelant qu'il se pourrait qu'il existe lui aussi (en tant qu'enfant ou en tant que bonheur) et qu'accessoirement, çà pourrait jouer dans leur décision de se séparer.

 

Le pourquoi, c'est que l'amour qu'il veut leur partager pourrait même les réconcilier (puisqu'il y a sa place en tant qu'enfant comme en tant que bonheur et youpi, sortez la pyrotechnie).

 

Non, tu n'as pas à te forcer à te faire comprendre mais à transmettre le plus efficacement les émotions que tu souhaites partager.

 

Rien à voir avec l'intellect mais avec la maîtrise technique même pour tout retranscrire à l'aide d'un mythe universel (qu'il faut en effet d'abord étudier mais surtout t'imprégner au cours de ta vie pour nourrir et mûrir ta narration personnelle).

 

Tu as le temps et tu peux t'entraîner avec un sujet aussi sincère mais plus simple à exprimer en te basant sur un "qui" avec un "quoi" dans lesquels tout le monde se reconnaît.

 

Un personnage est un "qui" qui incarne une émotion d'une dimension universelle (reconnaissable par tous) : l'amour, le bonheur, la liberté, le courage, la solitude, l'espoir, etc, etc, ...

 

Il reste à créer un "quoi" qui te permettra à toi de partager toute l'émotion que tu en ressens.

 

Il ne s'agit pas de disserter sur le sujet mais de raconter une expérience qui le révèle à tous tel que tu le ressens intimement et sincèrement mais surtout visuellement (qu'on en entendrait tous les échos sonores).

 

Cà m'étonnerait par exemple qu'un public te contredise si pour toi, le bonheur serait un joli feu d'artifice aussi lumineux et resplendissant que l'image que tu te ferais du paradis :blush2:

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Tu as raison d'insister. Le "quoi" est l'expérience que tu fais vivre au "qui" pour partager ta vision d'un sujet (universel).

 

Le "qui" le plus répandu est un garçon et le "quoi" qui rencontre une fille (boy meet girl).

 

Le "qui" (le garçon) incarne selon ton choix, l'amour, le bonheur, la liberté, la solitude ou tout ce que tu veux (ou inversement si c'est la fille le "qui").

 

Tu devines déjà que selon ton choix, leur histoire ne sera pas la même.

 

Donc selon ton choix, quelle serait elle ?

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il y a 42 minutes, LAME a dit :

Je l'ai déjà vu ce clip, il est profond.Le petit gars à chercher à attirer l'attention de ses parents quand il a vue que ses parents se séparer, il s'est enfuie et a fait un feu d'artifice comme un appel à l'aide (comme ceux qui sont échoué sur une ile déserte)

Bravo LAME pour ta description de spectateur mais maintenant en tant qu'auteur, il faut le voir en te disant que le "qui" (l'enfant) incarne le bonheur.

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Tu peux d'ailleurs déjà t'exercer sur le même "quoi" mais si cette fois-ci l'enfant n'incarne plus le bonheur mais l'amour, la solitude, la liberté ou tout ce que tu voudras mais qui t'est cher à toi.

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Bah disons qu'en y pensant, ce serait le même clip si l'enfant incarnait le bonheur ou l'amour.

 

Mais la liberté, cher LAME, même si y a un peu de çà, est-ce que tu peux pousser ta vérification ? (Je vais en faire autant).

 

Pour faire plaisir à NOEL, tu constates qu'il n'y a plus à séparer tes 2 hémisphères, elles fonctionnent de concert ! Mais la liberté peut résonner différemment (L'enfant peut fêter au feu d'artifice le départ de son père ou de sa mère pour le ou la féliciter de reprendre enfin sa liberté).

 

C'est là qu'intervient ton point de vue, le sens que tu veux donner à ton histoire !

 

D'ailleurs NOEL pour vérifier ton court-métrage, j'ai un souci pour traduire ce que dit le têtard au téléphone à la fin.

 

Parce que pour l'humanisme, pour l'instant j'ai un doute en voyant qu'on reste dirigé sur la lumière primordiale et que le "têtard" du téléphone a ramassé le livre dont le blanc des pages est réellement un reflet trompeur.

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Eh bien, le petit est isolé face à sa situation donc quand il sort acheter les feux d'artifices, c'est un peu moyen de se libéré de sa situation quand il envoie les feux d'artifice au ciel, il veut se libéré de sa peine.

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Bravo LAME, voilà ton point de vue ! Tes 2 hémisphères fonctionnent de concert ! Tu peux te concentrer sur un sujet à toi (ce n'est pas de l'inspiration mais rien de grave si tu crois pour l'instant que ce serait ton imagination).

 

Il y a un truc pour trouver une idée, c'est de te poser la question (ou si tu veux, imaginer) : "Qu'est ce qui arriverait si ... ?"

 

Par exemple : si un enfant voulait attirer l'attention de ses parents en pleine séparation ?

 

Ou si un groupe de rap ou de hip hop trouvait un gymnase dans un coin tranquille de banlieue pour profiter pleinement de leur musique et de leur danse ? De leur liberté !

 

Les idées n'appartiennent à personne mais à tout le monde. Et notamment le qui et le quoi. C'est ce que tu as envie de dire (ou de raconter) à partir d'un qui et d'un quoi qui importe (ou oui aussi, si tu veux, ... qui rapporte).

 

Quand tu auras écrit un 1er jet, n'oublies pas de revenir sur le topic pour le reprendre depuis le début. Je reste toujours à dispo si tu as vraiment besoin.

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LAME, je pense plutôt à un autre exercice pour développer sa créativité notamment sur un clip musical (comme on le disait, en traitant en même temps la voie du paradis et la caverne) :

 

Oublier le qui et le quoi du clip de Zaz et repartir de ton pourquoi : se libérer de sa peine.

 

Sur la même chanson et l'idée du SOS (sur ta propre approche du texte sur lequel te concentrer).

 

Ou pour la fiction : voir ton acteur ou ton actrice dans le rôle même de la peine qui emprunterait une voie vers une libération (lumineuse).

 

Et là, au lieu d'une chanson, tu pourrais t'aider d'une musique qui traduit pour toi la peine jusqu'à la lumière de la libération.

 

Entre autres exemples :

 

 

"Rechercher la réponse fournit la portée narrative et la ligne émotionnelle du film".

 

 

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Il y a 7 heures, LAME a dit :

ce n'est pas du tout maitrisé

Et pour une fois LAME, un effort, essaies de maîtriser ... Places des éléments :wink:

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Petite précision néanmoins sur le clip de Zaz, c'est parce que l'enfant incarne (personnifie) le bonheur qu'on lui donne de la peine.

 

C'est un principe dramatique de confronter du symétriquement opposé.

 

Car cela implique une transformation où incarnant la peine, il doit devenir le bonheur en personne, un feu d'artifice à lui tout seul.

 

C'est la métaphore qui en projette dans le ciel la lumière et les couleurs (pas seulement les fusées) ...

 

Pour la transformation, on pourrait commencer par le faire asseoir sur le parquet d'une chambre d'enfant pour évoquer un état encore foetal et le faire jouer avec un petit avion pour figurer son rêve d'envol depuis le monde interne maternel qu'il aurait peine (comme l'impose son rôle) à devoir abandonner sans que son 1er rival du monde extérieur qu'il doit affronter avec cette force inconnue comme lui en éveil (sa véritable nature humaine encore sauvage) n'en vienne à préférer la fuite.

 

Jean Renoir disait se souvenir que pendant son tournage en Inde, le chien de l'hôtel venait se reposer près de lui à chaque fois qu'il travaillait sur son bureau. Il s'en est toujours ému car pour lui, c'était une forme la plus pure de l'amour.

Il y a 9 heures, Ciné7 a dit :

"Rechercher la réponse fournit la portée narrative et la ligne émotionnelle du film".

On peut aisément concevoir que cet amour puisse rester aux aguets du bonheur (qui lui avait promis fidélité).

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LAME, il ne resterait plus que la clé de ta narration personnelle.

 

Pour devenir le bonheur, la peine doit d'abord se rappeler une petite lueur encore incandescente et d'une force sauvage.

 

L'effet miroir incite à d'abord inverser les rôles.

 

C'est l'enfant qui préfère la fuite car le monde maternel est sur le point de l'abandonner et que son 1er rival tient à rester l'affronter seul à seul !

 

Au mid-point, un autre effet miroir revient inverser les rôles pour retenir l'enfant dans sa fuite. La clé, c'est ton choix perso de la vision d'un monde extérieur que la peine vient ici tourmenter mais devenu trop vaste pour y perdre cette petite lueur ...

 

Sauf à revenir à elle en empruntant la bonne voie pour la rallumer et ainsi éclairer le monde intérieur et le monde extérieur sous le seul règne de l'amour pour veiller au grain.

 

Oui d'accord, on peut aussi décider de laisser venir sans faire exprès mais avec le risque de louper des éléments par lesquels le public pourra se reconnaître dans le miroir qu'on lui tend :wacko:

 

(et comme on est taquin, qu'on lui pivote selon un axe central jusqu'à ce que la lumière du projecteur de son coeur vienne l'éblouir en se reflétant avec lui).

 

 

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