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Ecrire des storytelling qui touchent


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D'accord, alors dite-moi si j'ai vu juste, La conception signifie fécondé, la naissance (et bien c'est la naissance) préparé son histoire (c'est préparé l'avenir de ce nouveau venu) ses personnages (c'est les personnes qui entoure le nouveau venu) ces décors, c'est là ou le nouveau venu grandi, ses images (c'est ce que qu'il voit et ce qu'il se souviendra) et ses sons (c'est ce qu'il aura entendu durant son enfance et ce qu'il attendra durant sa vie).

 

 

 

 

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Posteurs principaux de ce sujet

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il y a une heure, Ciné7 a dit :

Ton cerveau droit s'est débrouillé tout seul en jetant un oeil curieux dans la boîte à outils du cerveau gauche.

Car l'un ne peut ignorer l'autre ... et vice versa !

 

Oui pour la conception mais on peut aussi parler de procréation. Il faut mettre en place l'énergie de la vie dans l'esprit du spectateur et donc revenir à la source même. Pas d'inquiétude, il s'en rappelle très bien et il suffit de toucher au bon endroit (là où çà fait mal ou plutôt le plus grand bien).

 

Donc, on a sa liste de matériel de base qu'on commence par mettre en place pour son final.

 

On reste sur "la voie vers le paradis" et on va tout reprendre pour le chemin du début dans la caverne vers la lumière extérieure.

 

Parce que c'est un équivalent. La naissance et la mort procèdent de la même logique (toutes confessions de l'humanité confondues). On chemine vers une lumière (avec une donnée que j'ajoute plus tard).

 

Pour enclencher la mécanique (à condition que le final traduise bien le pourquoi, la vérité exprimée), le cerveau gauche va inciter le cerveau droit à reproduire du début le cheminement sur la voie du paradis mais cette fois ci sur terre ou au choix dans un monde imaginaire.

 

Il garde son matériel de base pour les réutiliser tel quel en repartant du début.

 

Il n'ajoute qu'un seul outil qu'il met à disposition tout au long du processus et qui repart donc sur la conception.

 

Le moyen technique le plus efficace pour commencer est de reprendre l'image finale où on en était arrivé et de l'inverser avec déjà un 1er effet miroir.

 

Je n'ai pas vu mama mais par exemple le papillon qui s'envole à la fin peut suggérer un premier plan sur une chenille.

 

On en profite car c'est forcément en pleine nature et on peut déjà figurer la matrice universelle avec même des effets de lumières matinales pour illustrer la lumière primordiale et la conception.

 

2ème étape. Le qui et quoi qui va amener au pourquoi déjà établi. Donc tout dépend de la vérité exprimée.

 

En attendant et pour pas perdre de temps, on va dire que le qui est un personnage qui a un papa et une maman mais dès qu'on le pourra, on va décider autrement (ou plus finement). Au stade de la caverne ou de la naissance ...

 

On va d'abord regarder cette chenille du début et ce papillon de la fin. L'effet miroir a donc surtout créé l'idée d'une transformation à raconter. La seule énergie qui soit pour un récit avec un personnage (la "donnée").

 

Pause pour digérer et on reprend.

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LAME, je suis en train de te faire la liste. Ton évolution consiste à te les approprier à ta manière (en les retenant. Définitivement pour les cultiver toute ta vie. Je t'y aiderai si tu as besoin).

 

D'ailleurs puisque j'apprends aussi avec toi (merci) :

 

"Plutôt un cocon au début" vient de me secouer le cerveau gauche (en s'adressant fermement à mon cerveau droit).

 

Oui parce que après avoir déterminé l'image d'ouverture à partir de l'image finale par effet miroir, l'étape suivante est l'image du milieu : la chenille et des ailes qui lui apparaissent à peine.

 

Voilà ce qu'il faut déjà cultiver car la suite est technique et que tu dois maîtriser la mécanique.

 

Je reviens vite pour le mode d'emploi et te laisser respirer.

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Ce qu'il te faut LAME, c'est de te prendre une vérité en exemple et de te poser pour essayer de la traduire.

 

Pour "l'amour jusqu'au delà de la mort", tu as toujours le clip d'intro. Là pour l'instant, on va très vite mais prends ton temps, je ne te demande de tout saisir en vitesse réelle.

 

Quand je dis image d'ouverture, de milieu et finale, ce sont les images que tes scènes font figurer. Si tu ne veux pas montrer une chenille, montres autre chose dans le décor ou dans l'attitude d'un personnage qui l'illustrerait plus à ta manière.

 

Ce sont des bases d'une fondation dont tu es le seul responsable, le seul propriétaire car c'est pour que tu invites le public dans ta demeure sans que la construction s'écroule sur sa tête.

 

Le cinéma américain a conçu pour toi, le plan de tes fondations :

 

paradigma-syd-field.thumb.jpg.0d6bf9eadb513ded0ba7c7d102d303d4.jpg

 

C'est la partie technique attendue et que je suis tout autant disposé à te faire découvrir.

 

Mais souffles un peu avant ...

 

Vois déjà où tu peux afficher tes 3 images qui ne s'appellent pas "ouverture", "du milieu" ou "finale" pour rien.

 

Ce sont nos cerveaux gauches qui nous déplient le plan à chaque fois (quand on veut toucher son public).

 

A toute.

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Il y a 4 heures, Ciné7 a dit :

LAME, je suis en train de te faire la liste. Ton évolution consiste à te les approprier à ta manière (en les retenant. Définitivement pour les cultiver toute ta vie. Je t'y aiderai si tu as besoin).

 

D'ailleurs puisque j'apprends aussi avec toi (merci) :

 

"Plutôt un cocon au début" vient de me secouer le cerveau gauche (en s'adressant fermement à mon cerveau droit).

 

Oui parce que après avoir déterminé l'image d'ouverture à partir de l'image finale par effet miroir, l'étape suivante est l'image du milieu : la chenille et des ailes qui lui apparaissent à peine.

 

Voilà ce qu'il faut déjà cultiver car la suite est technique et que tu dois maîtriser la mécanique.

 

Je reviens vite pour le mode d'emploi et te laisser respirer.

Pour le moment je comprends pas, ce que j'ai compris c'est qu'il fallait trouvé l'image de la fin pour avoir l'image du début et le milieu mais pour trouver la fin c'est déjà compliqué.

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Il y a 3 heures, Ciné7 a dit :

Ce qu'il te faut LAME, c'est de te prendre une vérité en exemple et de te poser pour essayer de la traduire.

 

Pour "l'amour jusqu'au delà de la mort", tu as toujours le clip d'intro. Là pour l'instant, on va très vite mais prends ton temps, je ne te demande de tout saisir en vitesse réelle.

 

Quand je dis image d'ouverture, de milieu et finale, ce sont les images que tes scènes font figurer. Si tu ne veux pas montrer une chenille, montres autre chose dans le décor ou dans l'attitude d'un personnage qui l'illustrerait plus à ta manière.

 

Ce sont des bases d'une fondation dont tu es le seul responsable, le seul propriétaire car c'est pour que tu invites le public dans ta demeure sans que la construction s'écroule sur sa tête.

 

Le cinéma américain a conçu pour toi, le plan de tes fondations :

 

paradigma-syd-field.thumb.jpg.0d6bf9eadb513ded0ba7c7d102d303d4.jpg

 

C'est la partie technique attendue et que je suis tout autant disposé à te faire découvrir.

 

Mais souffles un peu avant ...

 

Vois déjà où tu peux afficher tes 3 images qui ne s'appellent pas "ouverture", "du milieu" ou "finale" pour rien.

 

Ce sont nos cerveaux gauches qui nous déplient le plan à chaque fois (quand on veut toucher son public).

 

A toute.

Il faut un Un but au personnage, un obstacle et ensuite qu'il atteigne son objectif si j'ai bien compris.

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Salut LAME, tout à fait :smiley16: !

 

Je précise bien que le but est en fait de créer une histoire organique pour la faire vivre à son public.

 

Pas possible autrement de lui réveiller ses émotions stockées dans sa mémoire.

 

Détail important : si tu le fais revenir depuis la conception à la naissance, ce sont ses larmes ou ses rires d'enfant que tu lui ressuscite. Si, absolument !

 

Pour une fiction, on a donc recours au "paradigm" (de Syd Field) parce que si on reprend du début dans la caverne ce qu'on a mis en place sur la voie du paradis, on y retire le pourquoi pour le restituer au travers d'une épreuve qui va conduire à la conclusion finale.

 

Attention, le cerveau gauche devra sortir de son catalogue, un mythe universel lié à ce pourquoi car comme pour la caverne de Platon et Icare, il va fournir des éléments à reprendre dans ses images et ses sons.

 

Oui, c'est la caverne de Platon qui impose déjà dans ses images le contraste entre l'obscurité (les ténèbres) et la lumière (extérieure puis du paradis). 

 

Pour le clip musical (d'intro et comme pour NAIVI), je m'aperçois qu'on traite en même temps la voie du paradis et la caverne car faute de temps sur une petite durée, on partage plus le matériel (issu de la boîte à outils) qu'on distribue entre l'image et le son (dont paroles et musique).

il y a 26 minutes, LAME a dit :

Il faut un Un but au personnage, un obstacle et ensuite qu'il atteigne son objectif si j'ai bien compris.

Oui mais en beaucoup plus développé par le cerveau gauche pour une histoire de fiction (avec un matériel bien précis rangé dans sa trousse). Mais pour un clip musical, ton domaine, ne retiens déjà que ce que bravo, tu viens en effet de comprendre.

 

Si tu veux vraiment aborder la fiction, je reste à ta dispo en sachant que j'en parle déjà sur le forum dans les topics du voyage du héros et de la métaphore :wink:

 

Notamment ici en avant-goût sur un exemple de film (de looong métrage ) :

https://forum.magazinevideo.com/topic/32765-le-voyage-du-héros/?do=findComment&comment=157864

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il y a 50 minutes, Ciné7 a dit :

Salut LAME, tout à fait :smiley16: !

 

Je précise bien que le but est en fait de créer une histoire organique pour la faire vivre à son public.

 

Pas possible autrement de lui réveiller ses émotions stockées dans sa mémoire.

 

Détail important : si tu le fais revenir depuis la conception à la naissance, ce sont ses larmes ou ses rires d'enfant que tu lui ressuscite. Si, absolument !

 

Pour une fiction, on a donc recours au "paradigm" (de Syd Field) parce que si on reprend du début dans la caverne ce qu'on a mis en place sur la voie du paradis, on y retire le pourquoi pour le restituer au travers d'une épreuve qui va conduire à la conclusion finale.

 

Attention, le cerveau gauche devra sortir de son catalogue, un mythe universel lié à ce pourquoi car comme pour la caverne de Platon et Icare, il va fournir des éléments à reprendre dans ses images et ses sons.

 

Oui, c'est la caverne de Platon qui impose déjà dans ses images le contraste entre l'obscurité (les ténèbres) et la lumière (extérieure puis du paradis). 

 

Pour le clip musical (d'intro et comme pour NAIVI), je m'aperçois qu'on traite en même temps la voie du paradis et la caverne car faute de temps sur une petite durée, on partage plus le matériel (issu de la boîte à outils) qu'on distribue entre l'image et le son (dont paroles et musique).

Oui mais en beaucoup plus développé par le cerveau gauche pour une histoire de fiction (avec un matériel bien précis rangé dans sa trousse). Mais pour un clip musical, ton domaine, ne retiens déjà que ce que bravo, tu viens en effet de comprendre.

 

Si tu veux vraiment aborder la fiction, je reste à ta dispo en sachant que j'en parle déjà sur le forum dans les topics du voyage du héros et de la métaphore :wink:

 

Notamment ici en avant-goût sur un exemple de film (de looong métrage ) :

https://forum.magazinevideo.com/topic/32765-le-voyage-du-héros/?do=findComment&comment=157864

Après pour ce qui est de raconter une histoire,  j'avoue je ne sais pas sur quoi me basé en faite...

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Justement LAME ! Pardon, j'ai mal exprimé une précision : il faut bien répondre au qui, au quoi et au pourquoi dès le final sur la voie au paradis et pas seulement en revenant au départ dans la caverne.

 

En fait, tu racontes une histoire sur le pourquoi et il te faut un "qui" le personnage et un "quoi", l'intrigue elle-même.

 

Sur le pourquoi "l'amour jusqu'au delà de la mort", James Cameron a écrit le Titanic, Ridley Scott (et son scénariste David Franzoni) Gladiator (qui est aussi expliqué ailleurs dans le même topic de Seul au monde).

 

Un jour, si tu as le dvd (ou le blu-ray) d'un film qui t'a ému toi (sincèrement et intensément), utilise le chapitrage pour ne regarder que la séquence finale, tu verras ou apprendras à voir les éléments qui ont servi à concevoir l'histoire depuis son début.

 

Le cerveau gauche a des outils spéciaux évoqués sur le lien.

 

Comme Steven Spielberg, quand tu écris ce final qui se situe au bout de la voie du paradis, tu as ton qui, ton quoi et ton pourquoi (ici, l'amitié au delà des distances et des différences) :

 

 

Il te "suffit" de revenir au début et d'imaginer comment les personnages ont pu arriver ensemble jusqu'ici et découvrir ensemble au travers de leur rencontre et de leur épreuve que finalement, l'amitié (comme l'amour) annule les distances et les différences.

 

C'est çà, imaginer et raconter une histoire !

 

(Outre velléités bassement vénales et commerciales).

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J'en pense exactement la même chose que je t'ai détaillé sur le topic.

 

La voie du paradis et la caverne sont traitées en même temps sur la durée et la fin, c'est la matrice universelle en personne (qui explique le succès mondial de la toile).

 

1363876187_LaJoconde.jpg.fb15395fe0d36fc8994f80000f67a1f3.jpg

 

Je n'ai écrit qu'un court-métrage très jeune qui a été réalisé par un autre et je n'ai fait ensuite que collaborer aux projets des autres.

 

J'ai quitté ce milieu pour me forger mon vécu (car sans lui, je me trouvais nul) et pour approfondir ma recherche créative.

 

Et comme Terminator, je suis parti en lançant un "je reviendrai".

 

Je commence à penser que c'est enfin le moment :eusa_think:

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On a tous notre maniere d'interprété une histoire si j'ai bien compris, donc en faite il se peut que beaucoup de personne ne vois pas la même histoire.

 

D'accord, il est temps de vous relancer !

 

Vous un extrait du court métrage que vous avez fait ?

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Non car j'ai aussi un caractère bien à moi. Mon scénario a été salué par un comédien qui a tenu à avoir le rôle (il a joué gratuitement) mais le réalisateur a massacré le sujet. Comme c'était mon droit légal en tant qu'auteur, j'ai interdit l'exploitation et il a fini dans un tiroir je ne sais même pas où.

 

Les projets auxquels j'ai participé (surtout en tant qu'assistant) non plus.

 

Tu as raison sur l'approche individuelle d'une histoire et c'est d'ailleurs pour çà que tout le monde peut en raconter une avec sa propre vision originale mais avec une narration à soi qui reprend le même matériel de base pour lui donner une dimension universelle accessible à tous.

 

Sur ce principe, je reconnais actuellement ma propre narration chez J.A. Bayona sur qui je me concentre donc actuellement pour parachever ma formation (c'est mon guide du moment en quelque sorte).

 

J'ai la même sensibilité qu'il a mis dans "Quelques minutes après minuit" et lui a su brillamment l'exprimer.

 

Je l'avais déjà ressenti sur "The impossible".

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LAME, je dois ressasser pour toi du déjà dit sur le forum mais pour mieux faire ma connaissance, je me suis toujours reconnu dans ce film qui raconte l'enfance d'un cinéaste (imaginaire mais inspiré de Vittorio De Sica).

 

Il a découvert le cinéma tout petit avec le vieux projectionniste du village.

 

Le final le montre adulte juste après les obsèques du vieux projectionniste.

 

Il était parti à Rome pour faire sa vie (son vécu) et n'est plus revenu dans son village de Sicile depuis.

 

Il ne revient que pour le décès de son vieil ami projectionniste qui lui a laissé une bobine peinte en bleue parce qu'il lui avait promis de lui garder les morceaux de pellicule que le curé demandait de couper des films pour des raisons morales.

 

Le cinéaste découvre donc que maintenant ces morceaux coupés et qu'ils renferment tout son amour du cinéma (sa lumière du paradis).

 

Nous, passionnés, on ne peut donc que tous (dont moi) se reconnaître aussi :

 

 

 

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Bonjour Ciné7  .... et LAME

 

Ciné7, tu as écrit:  " Il a découvert le cinéma tout petit avec le vieux projectionniste du village "

 

Le montage ci-dessous de la scène finale, est plus complet en y ajoutant la présence de l'enfant :

 

 

 

 

Nota:  Je n'avais pas remarqué que l'adulte dans ton extrait c'était Jacques Perrin ....

... dont on le retrouve dans un thème similaire, dans "Les Choristes" .... ce musicien qui revient pour les obsèques de sa mère... et toute son enfance revient à l'aide de Pépinot ... et en plus l'enfant (Pépinot) dans le film n'est autre que le jeune fils de Jacques Perrin (Maxence). (La boucle est bouclée !)

 

  

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Il y a 15 heures, Ciné7 a dit :

Non car j'ai aussi un caractère bien à moi. Mon scénario a été salué par un comédien qui a tenu à avoir le rôle (il a joué gratuitement) mais le réalisateur a massacré le sujet. Comme c'était mon droit légal en tant qu'auteur, j'ai interdit l'exploitation et il a fini dans un tiroir je ne sais même pas où.

 

Les projets auxquels j'ai participé (surtout en tant qu'assistant) non plus.

 

Tu as raison sur l'approche individuelle d'une histoire et c'est d'ailleurs pour çà que tout le monde peut en raconter une avec sa propre vision originale mais avec une narration à soi qui reprend le même matériel de base pour lui donner une dimension universelle accessible à tous.

 

Sur ce principe, je reconnais actuellement ma propre narration chez J.A. Bayona sur qui je me concentre donc actuellement pour parachever ma formation (c'est mon guide du moment en quelque sorte).

 

J'ai la même sensibilité qu'il a mis dans "Quelques minutes après minuit" et lui a su brillamment l'exprimer.

 

Je l'avais déjà ressenti sur "The impossible".

D'accord, je comprends mieux.

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Il y a 14 heures, Ciné7 a dit :

LAME, je dois ressasser pour toi du déjà dit sur le forum mais pour mieux faire ma connaissance, je me suis toujours reconnu dans ce film qui raconte l'enfance d'un cinéaste (imaginaire mais inspiré de Vittorio De Sica).

 

Il a découvert le cinéma tout petit avec le vieux projectionniste du village.

 

Le final le montre adulte juste après les obsèques du vieux projectionniste.

 

Il était parti à Rome pour faire sa vie (son vécu) et n'est plus revenu dans son village de Sicile depuis.

 

Il ne revient que pour le décès de son vieil ami projectionniste qui lui a laissé une bobine peinte en bleue parce qu'il lui avait promis de lui garder les morceaux de pellicule que le curé demandait de couper des films pour des raisons morales.

 

Le cinéaste découvre donc que maintenant ces morceaux coupés et qu'ils renferment tout son amour du cinéma (sa lumière du paradis).

 

Nous, passionnés, on ne peut donc que tous (dont moi) se reconnaître aussi :

 

 

 

Ou-est-ce que vous trouvez la fin des films ?

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Bonjour LAME et NOEL,

 

Bravo et merci NOEL pour le très bon montage sur le thème de Cinema paradiso (qui serait presque une bande-annonce).

 

Attention, l'enfant est bien présent dans la scène finale ! Faut seulement savoir que c'est Giuseppe Tornatore lui-même qui envoie le film. C'est lui le (vrai) Toto du film (et donc nous tous aussi ...).

 

LAME, au lieu de t'identifier Philippe NOIRET pour t'éviter un court-circuit dans les neurones, j'aurais surtout aimé que tu remarques aussi bien dans la scène finale que dans le montage offert par NOEL, qu'à un moment Jacques Perrin se met les mains derrière la nuque et j'ose croire que çà t'a évoqué quelque chose ... (Hmmmm ?).

 

... Sauf que j'ignore si c'est suite à une direction d'acteur ou si c'est de sa propre initiative (mais comme j'adore cet acteur (producteur), j'ai ma petite idée ...).

 

Il y a aussi ses mains jointes qu'on voit sur la vignette de la scène finale.

 

Pour voir des scènes finales sur YT, je tape le "titre du film" "final" ou "finale" par prudence).

 

Pour la "boucle est bouclée" de NOEL, c'est autre chose qui concerne l'image du milieu (au mid-point) mais pareil, pas de précipitation pour pas décourager LAME (je dois faire des recherches sur du lourd).

 

D'ailleurs LAME, j'y ai pensé (ou plutôt mon cerveau gauche l'a pensé), c'est bien gentil de te dire avoir vu qu'un clip musical traite la voie du paradis et la caverne (de Platon) en même temps mais oui (tu as raison de poser la question) comment ?

 

D'après moi, c'est très simple ... mais avec un effort :wink:

 

On écrit sur la voie du paradis et comme tous les éléments sont donc en place (d'habitude, quand tout va bien), on leur ajoute ensuite les attributs de la caverne.

 

C'est ainsi que l'ange au début du clip de Beyoncé prend la position foetale.

 

On n'a plus qu'à se dire fébrilement mais sûrement : "et ainsi de suite !".

 

Je précise aussi que pour trouver les éléments, il faut consulter l'ami google sur le mythe de la caverne de Platon.

 

Ce n'est pas mon QI très moyennement surdéveloppé qui a trouvé tout seul la lumière primordiale.

 

Quand un élément t'interpelle, vérifies au plus vite sur tes propres références.

 

Moi, c'était déjà fait et je l'ai donc reconnu immédiatement sur NAIVI !

 

A signaler enfin, le dernier plan du clip de Beyoncé : puisqu'on est à la fois sur la voie du paradis et dans la caverne (clip musical), j'ai moi-même failli crier à en alerter le quartier quand les 2 personnages se retournent.

 

Puis rien ne s'est passé, ouf !

 

Si, seulement un détail, la Joconde en tant que matrice universelle qui non, ne les a pas protégés de la lumière primordiale mais il se trouve que j'ai encore été incomplet, c'est la mère nature créatrice d'amour mais aussi de la vie.

 

(Hum ? ... Oui tout à fait LAME, au final d'E.T., la matrice universelle est donc le pot de fleur offert à E.T. et qu'il emporte avec lui dans son vaisseau).

 

Plus de danger quand ils se sont retournés, c'était un effet miroir (que le cerveau gauche a tendu. Le même que sur un mid-point pour boucler une boucle à la fin).

 

Pour récapituler (en simplifié), puiser dans la source même de la mémoire individuelle et collective du public est le socle le plus solide de la fondation (ou paradigme de Syd Field) sur laquelle doit se construire une histoire ...

 

Sinon, on écrit un storytelling bancal et non pas qui touche le public (d'où perso, ma sélectivité très sévère sur les références).

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il y a une heure, Ciné7 a dit :

 

... Pour la "boucle est bouclée" de NOEL, c'est autre chose qui concerne l'image du milieu (au mid-point) mais pareil, pas de précipitation pour pas décourager LAME (je dois faire des recherches sur du lourd).

 

Bonsoir Ciné7,

 

Toujours pris par ton sujet orienté dans une même direction, tu cites quelques mots: de mon message:  "la boucle est bouclée"  ???  sans certainement avoir analysé (ou lu) mon NOTA en entier:

 Nota:  Je n'avais pas remarqué que l'adulte dans ton extrait c'était Jacques Perrin ....

... dont on le retrouve dans un thème similaire, dans "Les Choristes" .... ce musicien qui revient pour les obsèques de sa mère... et toute son enfance revient à l'aide de Pépinot ... et en plus l'enfant (Pépinot) dans le film n'est autre que le jeune fils de Jacques Perrin (Maxence). (La boucle est bouclée !)

 

Dans "la boucle est bouclée", je voulais simplement faire remarquer que d'une époque à l'autre on retrouve une similitude dans le thème de ces deux films (Cinema Paradiso et Les Choristes)  ... avec Jacques Perrin et son jeune fils ... donc obsèques, présence d'un jeune enfant etc....

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