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Destins effacés, mon nouveau court métrage

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FCP
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Bonjour FCP

Beau travail.

de belles images, un jeu de acteurs peut être un peu poussé ???

Je n'aime pas trop ,mais c'est la mode, l'utilisation du bokeh(profondeur de champ) sur beaucoup de tes plans.

La bande son est bien.

J'ai du mal avec tes transitions de flashback.

L'ensemble se tient bien.

Peut être , a mon avis , 2-3 bricoles de script:

7.13 briquet à gauche du paquet de cigarette

7.21 briquet et cigarette ont bougés

7.30 idem

744 idem

14.17 pompage sur la mise au point

Il me semble que entre 15 22 et 15 53 le pistolet à bougé ???

 

Par contre je serai incapable de faire l'écriture et le découpage d'un tel film, BRAVO!!!

 

Ce n'est que mon avis

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Bonjour,


 

Excusez moi pas vous avoir répondu plus tôt mais j'avais pas mal de boulot en ce moment.
Je vais donc répondre au deux derniers messages dans l'ordre.


 

@Ciné7


 

Pour le premier court métrage, je ne me suis pas inspirer de ce téléfilm que tu as vu mais après c'est surtout au traitement que ça sera intéressant de voir les différences.

Concernant le deuxième projet, j'aime les films de genre mais je ne ferais pas du genre pour faire du genre.

Pour moi le film de genre, c'est souvent un prétexte pour mettre les personnages dans des situations peu communes, souvent dans une espèce de huis clos qui va faire ressortir les personnalités de chacun mais aussi de pouvoir mettre en perspectives l'être humain dans ce qu'il peut avoir de bons ou de mauvais sans bien sûr tomber dans un manichéisme que ça soit d'un côté ou de l'autre.

J'espère avoir répondu à tes questions


 

@titof44


 

Bonjour à toi et merci d'avoir pris le temps de regarder et d'émettre un commentaire.

Concernant le jeu d'acteurs, tu es pas le premier à m'avoir fait la remarque, après ça vient aussi bien des acteurs, que de moi qui aurait peut être du un peu plus faire attention.
Tu trouves que c'est un peu trop poussé pour tous les acteurs ?

Alors pour ce qui l'utilisation du bokeh, il est surtout présent sur les gros plans et très gros plan.

A aucun moment, j'ai essayé de suivre une mode, quand j'ai fais le découpage technique, j'ai toujours cherché à imaginer chaque plan pour voir celui qui serait le plus adéquate et il m'est apparu que pour rentre dans la psychologie du personnage et pour avoir cette ambiance ( thriller ici ), je devais avoir recours à ce type de plans là.
Tu remarqueras d'ailleurs que pour 80 % de ces plans là, il se situe dans les deux scènes où il est chez lui et que par exemple lorsqu'il est à la soirée, il y a en a pas.

Pour ce qui est des flashbacks, je conçois qu'il puisse être difficile à être bien identifiable vu que le seul élément qu'il peut amener à voir rapidement que c'est un flashback, c'est une colorimétrie différente entre le passé et le présent.
J'ai voulu éviter le classique noir & blanc pour le passé et la couleur pour le présent, j'aurai pu mettre des flashs blancs, des virgules sonores ou des déformations en bords d'image mais j'ai pris le parti de pas les faire.

Pour ce qui est des problème de scripts, tu as raison sauf sur celui à 14 min 17 où c'est voulu, d'ailleurs, tu remarquera que c'est parce qu'il bouge qu'il devient vers la fin de ce plan, il est net.

Merci également sur tes compliments sur la réa, les images et le découpage technique, ça me fait plaisir.

J'espère avoir répondu à tes questions et surtout, hésites pas à me le dire si ce n'était pas le cas.



 

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Citation

j'aime les films de genre mais je ne ferais pas du genre pour faire du genre.

 

Pour moi le film de genre, c'est souvent un prétexte pour mettre les personnages dans des situations peu communes, souvent dans une espèce de huis clos qui va faire ressortir les personnalités de chacun mais aussi de pouvoir mettre en perspectives l'être humain dans ce qu'il peut avoir de bons ou de mauvais sans bien sûr tomber dans un manichéisme que ça soit d'un côté ou de l'autre.

Bonjour Julien (FCP) et encore merci et bravo pour tes réponses !

 

Pardon de t'alerter à nouveau mais le film de genre n'est en aucun cas un prétexte mais un support dramatique.

 

Sinon, il t'enferme (d'où ton sentiment de huis-clos) et c'est justement ce qu'explique Andrew STANTON avec sa liste et le NO devant chaque élément.

 

Le personnage est au centre de tout même et surtout de toute structure dramatique et n'oublies jamais la 1ère question de base de chaque sujet : QUI et QUOI ?

 

(Ce devrait "naturellement" déboucher sur un POURQUOI ? et ta proposition de réponse).

 

Je me permets de t'inciter à te former sur ce domaine primordial de la fiction. Tu as de bons acteurs avec toi et pour saluer et donner raison à titof, tu pourrais leur éviter de pousser leur jeu en leur offrant une vraie dimension interne qui semble pourtant t'attirer puisque tu tiens si fort à les filmer en flash-back sur une plage et même les faire saigner sur une photo :think:

 

... D'ailleurs à ce propos, cher titof :eusa_think:, hier soir, j'ai regardé la cérémonie des Césars et sur tout le discours de Elsa Zylberstein pour la remise du César du meilleur documentaire, perso, je n'ai pensé qu'à toi et rien qu'à toi et ton artiste des ciseaux et ton tailleur de pierre :)

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Je vois ce que tu veux dire mais après t'inquiète pas.

Après les personnages sont importants comme tu dis et il faut les construire en priorité et leur donner de l'épaisseur et de la dimension interne.

Après quand je parlais de films de genre si tu prend un film comme la route de John Hillcoat, le contexte, l'ambiance et le fait d'être dans un monde post apocalyptique joue clairement sur les personnages et ils se retrouvent dans des situations extrême qui oblige à faire ressortir ce qui est bon ou pas bon dans chaque personnage. 

C'est comme ça que je vois le film de genre et ce n'est que ma vision comme un catalyseur qui va obligé de façon directe ou indirecte faire réagir les personnages en les poussant dans leurs retranchements.
Je sais pas si je suis clair dans ce que j'essaie d'expliquer.

Quand tu dis «Qui», tu parles bien du personnage et de ce qu'il est ?
 

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Oui sur tout Julien et pour le QUI aussi :) ! (Le ou la protagoniste pour tout te dire).

 

D'ailleurs, je t'avoue que je m'étais retenu de te dire ce que j'ai déjà reproché à un plus jeune que toi sur le forum (et pas encore aussi prédisposé que toi) que si tu finis par tuer tous tes personnages dans ton film, c'est que tu n'as pas su quoi raconter sur eux (le fameux naufrage dans mon topic sur la métaphore).

 

Pour comprendre le moteur d'une dimension interne pour un acteur, reportes toi sur l'extrait de Lawrence d'Arabie dans la masterclass de Andrew STANTON et gardes définitivement le souvenir du jeu de Peter O'Toole.

 

Oui, je sais, c'est David Lean qui le filme et pas un débutant mais il n'applique que ladite "grammaire des regards" en posant la caméra et en cadrant selon le meilleur angle selon lui car en ne pensant qu'à l'image (au visuel).

 

J'ai une bibliographie à ta disposition à lire d'ici tes 41 ans et à garder à vie mais sinon, ne regardes plus jamais un (grand) film sans scruter le jeu des acteurs et actrices et percevoir la dimension interne qui guide leur jeu.

 

Oui, je sais que tu ne t'appelles pas David Lean, Michaël Mann, Martin Scorsese ou Francis Ford Coppola (et s'il te plaît, encore moins Tarantino) et tes acteurs et actrices ne sont ni Marlon Brando, ni Paul Newmann, ni Al Pacino, ni Andy Garcia, ni Diane Keaton, ni Sofia Coppola mais tu es et ils et elles sont et nous sommes tous logés à la même enseigne !

 

Seule une dimension interne bien construite autorise à pousser un tant soit peu le jeu et en effet ajouter des flashback après que des coups de flingues :

 

 

Approche hollywoodienne mais autant penser à Robert Mc Kee, formateur en scénario, qui recommande d'écrire comme si c'était Al Pacino qui allait jouer le rôle ... parce qu'on ne sait jamais si le producteur n'aura personne d'autre de disponible à la période du tournage ...

 

Moi aussi, je préfère ce nivellement par le haut :bien:

 

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Bonjour Ciné7,

Je suis pas contre que tu me transmette les noms de livres que tu penses qui pourront m'être utile.
J'ai déjà la dramaturgie de Yves Lavandier, j'ai aussi L'art de filmer: Apprendre (et transgresser) les règles de la composition cinématique de gustavo mercado.

J'ai entendu dire que story de robert mckee était une référence mais il est indisponible à la vente ou alors j'ai vu des occasions à 150 euros.

 

Si tu en as d'autres, je suis preneur et ce que tu dis sur la grammaire des regards m'intéresse également.

Après je ne prétend pas être le prochain grand cinéaste mais j'ai envie de faire quelque chose qui me correspond et qui m'épanouit et si jamais je peux réussir sans même devenir un grand cinéaste, j'en serais très heureux

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Bonsoir Julien,

 

Je peux les énumérer sur le forum car c'est déjà fait dans un autre topic et que ce n'est pas de la pub sinon mon soutien confirmé à l'éditeur qui a oeuvré quand j'étais jeune pour ma formation perso et celle de tous (autant ainsi que tout le monde en profite aussi).

 

Chez DIXIT (donc) et dans l'ordre d'achat :

 

1 - "Scénario" de Syd Field pour apprendre à construire et structurer une histoire (celle dont on a eu l'idée) ;

 

Je répète toujours que j'ai su qu'au moins James Cameron et Michaël Mann gardent ce manuel sur leur bureau pour le consulter quand nécessaire.

 

2 - "Inside Story" de Dara Marks sur la structure interne et donc l'arc transformationnel des personnages (basé justement sur la structuration de Syd Field). Titre original américain mais livre en français.

 

3 - "Les règles élémentaires de l'écriture de scénario" de Blake Snyder, la traduction française de "Save the cat" et qu'il faut lire en dernier et en aucun cas pour débuter comme le titre très scolaire pourrait (à tort) l'y inciter.

 

Il liste 15 temps forts pour agrémenter la structure de Syd Field (qu'il faut donc connaître et avoir intégré avant avec la structure interne brillamment développée dessus par Dara Marks).

 

Concernant Robert Mc Kee, Story est réédité par les éditions Armand Colin en 2 volumes. 1 en version dite actualisée et l'autre spécifiquement sur les dialogues ("Ecrire des dialogues pour la scène et l'écran").

 

Story est à lire toutefois par curiosité quand et si on a le temps car son approche (pragmatique) sur le métier même n'est pas vaine et inutile.

 

Perso, même actualisé, le 1er volume est un pavé qui ne m'a surtout appris que la métaphore.

 

Lire plutôt mon topic gratuit qui en dit assez voire plus (puisque l'élève se doit si possible de dépasser son maître) :

 

https://forum.magazinevideo.com/topic/33948-métaphore/

 

Par contre, je recommande fortement (en dernier achat) le nouveau 2ème volume pour intégrer le texte et le sous-texte dans ses dialogues ...

 

 

 

Ces lectures doivent ainsi s'accompagner d'une nouvelle manière (formatrice) de voir des (vrais) films et plus les nanars (Syd Field est donc particulièrement prégnant dans Collateral de Michaël Mann ou Titanic de James Cameron. Pas la peine de viser l'intello (même Robert Mc Kee dit que çà n'intéresse qu'une infime partie du public pour discuter et se valoriser autour d'un café).

Il y a 2 heures, FCP a dit :

Après je ne prétend pas être le prochain grand cinéaste mais j'ai envie de faire quelque chose qui me correspond et qui m'épanouit

Evidemment ! Quoi d'autre anime les cinéastes que seul le public décide de considérer grands :bien: ?

 

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Bonsoir Julien (FCP), pas de souci, aucune laisse pour attacher les gens sur le forum :) !

 

Je précise que je ne force pas à l'achat mais il s'avère que Syd Field propose une structuration imparable.

 

Les autres, c'est que si tu ressens toujours des lacunes après t'être exercé sur le manuel de Syd Field et pour la métaphore, je ne partage que mes recherches persos qui n'engagent que moi mais qui se vérifient sur des succès publics et qui rejoignent ce qu'explique Andrew STANTON dans sa masterclass.

 

Tu restes libre de ta propre créativité et donc de tes propres références (le tout c'est d'en avoir) en sachant d'ailleurs que si un film te touche ou te fait réagir (à l'intérieur de toi), c'est qu'il correspond peut-être pour l'essentiel, à la technique d'écriture ou la façon de traiter un sujet que tu devrais adopter (ou aborder). Il vaut mieux savoir le décrypter quand çà arrive.

 

Je connais la dramaturgie de Yves Lavandier (j'ai même participé à son 1er stage sur Paris) mais il faut surtout en retenir le principe de l'ironie dramatique (son cheval de bataille). Pratique pour apprendre la base qui est de communiquer des informations ... mais sans toutefois évoquer le 2+2 sensé être connu par tous les scénaristes (snif).

 

Par contre, je n'ai pas lu Gustavo Mercado et c'est à mon tour de m'intéresser à tes lectures. Rappel néanmoins, il n'y a aucune règle à briser mais seulement des principes à intégrer et à reprendre ou pas :blabla3:

 

Perso, je n'ai jamais voulu entendre parler d'écrire un scénario mais le virus m'a pris grâce aux lectures que je t'ai suggérées et en m'y exerçant.

 

C'est que je te souhaite et tu verras plus tard que ce que dit Andrew STANTON n'est pas qu'intéressant mais STUPEFIANT :91_thumbsup2x2:

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    • impressionnant. Bravo.   à 2,24'' et suivantes, comment faites-vous pour faire passer votre drone à travers les arbres compte tenu que la détection d'obstacle devrait l'en empêcher  ?
    • Désolé mais je n'ai pas accroché.... Diction vraiment trop scolaire et comme dit Michel pas de chute...
    • merci  Comemich pour ce commentaire  l idée première était de synchronisée le perso avec ses sosies ce qui est une vraie gymnastique pour le montage  l histoire devenant secondaire un six minute ne permet pas trop de s étaler dans les dialogue      bonne journée
    • Le sujet est intéressant. La présentation caricaturale des personnages est réussie. Mais le dénouement du récit manque d'imagination. Il faudrait une chute surprenante qui rendrait la comédie plus drôle. Dans "Un diner de cons" de Francis Veber, qui traite du même sujet, chacun est le con de quelqu'un d'autre. Et à la fin, le plus con n'est pas celui qu'on croit. Je pense que les questions du docteur auraient du être plus cons. La consultation aurait pu se terminer par une prescription farfelue et un dépassement d'honoraires.
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