Aller au contenu

FILMOPSIE - La chronique dans laquelle on décortique le cinéma

Noter ce sujet


Projets-Ventilo
 Partager

Messages recommandés

Il y a 2 heures, Projets-Ventilo a dit :

Salut à vous bande de gens!

Aujourd'hui je me permets de partager avec vous le nouveau numéro de FILMOPSIE, consacré cette fois-ci à "American Beauty" de Sam Mendes:

 

 

Bonsoir et bravo Projets-ventilo,

 

(Attention, sans créer de nouveau sujet, on peut perdre de vue la vidéo au moindre changement de page. Donc, je la replace ici).

 

Pas si en surface que çà car merci pour ce cours de scénario auquel j'adhère sans conteste.

 

J'ai ouïe en effet ce principe (de base) de transformation tel que l'objectif (la volonté d'abolir le code), le changement et la libération (avec en prime, la notion de résistance à ce changement).

 

Après çà, ton analyse ne peut plus qu'être écoutée respectueusement :eusa_think:

 

J'avais adoré la scène du sac plastique blanc volant au vent parmi les feuilles mortes (rappelant aussi peut-être la plume blanche de Forrest Gump) et j'en profite pour me permettre tout mon soutien à Kevin Spacey car je ne supporte pas le lynchage pour s'exempter de son propre examen moral ! Félicitations d'ailleurs de ne pas l'avoir évoqué pour ne pas t'y associer :bien:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 86
  • Créé le
  • Dernière réponse

Posteurs principaux de ce sujet

Posteurs principaux de ce sujet

bonjour a projets -ventilo et a l'ami Cine7,

alors j'arrive d'une rando en raquette donc pas encore eu le temps de lire la "décortication"  d'American Beauty

mais je sens que çà va etre excellent comme d'habitude...:bien:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...
Le 16/03/2018 à 00:54, Ciné7 a dit :

Bonsoir et bravo Projets-ventilo,

 

(Attention, sans créer de nouveau sujet, on peut perdre de vue la vidéo au moindre changement de page. Donc, je la replace ici).

 

Pas si en surface que çà car merci pour ce cours de scénario auquel j'adhère sans conteste.

 

J'ai ouïe en effet ce principe (de base) de transformation tel que l'objectif (la volonté d'abolir le code), le changement et la libération (avec en prime, la notion de résistance à ce changement).

 

Après çà, ton analyse ne peut plus qu'être écoutée respectueusement :eusa_think:

 

J'avais adoré la scène du sac plastique blanc volant au vent parmi les feuilles mortes (rappelant aussi peut-être la plume blanche de Forrest Gump) et j'en profite pour me permettre tout mon soutien à Kevin Spacey car je ne supporte pas le lynchage pour s'exempter de son propre examen moral ! Félicitations d'ailleurs de ne pas l'avoir évoqué pour ne pas t'y associer :bien:

 

Merci pour ton message qui, comme d'habitude, a été un petit plaisir à lire. 

 

Concernant le cas Kevin Spacey, oui c'est une chose auquel je tiens tout particulièrement: je ne veux entrer dans aucun débat concernant tel ou tel acteur/réalisateur/polémique... je veux juste parler de cinéma et analyser des films que je trouve intéressant à décortiquer. Raison pour laquelle je ne donne quasiment jamais mon avis critique, exception faite pour la chronique sur "Blade Runner 2049" dans laquelle je me permets de dire que, selon moi, ce film est l'exemple parfait d'une très bonne suite car il parvient à:

► garder l'héritage de son/ses prédécesseur(s) 

► rester dans la même atmosphère

► tout en apportant de nouveaux éléments inédits

 

D'ailleurs, à ce propos, je vois que je fais mal mon travail puisque j'ai oublié de partager la-dite vidéo ici. C'est maintenant chose faite:

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour Projets-Ventilo,

 

Pas vu mais heureux de désormais me satisfaire en toute confiance de ton analyse :) !

 

(Perso, depuis peu, je m'intéresse sérieux à Juan Antonio Bayona que des critiques presse comparent à Steven Spielberg mais qui selon moi, l'a surpassé avec son "Quelques minutes après minuit" (A monster calls). Je bûche à fond sur la structure à cause de lui. On peut encore progresser vue une dernière découverte technique ...).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 5 semaines plus tard...
Le 23/04/2018 à 12:38, Ciné7 a dit :

Bonjour Projets-Ventilo,

 

Pas vu mais heureux de désormais me satisfaire en toute confiance de ton analyse :) !

 

(Perso, depuis peu, je m'intéresse sérieux à Juan Antonio Bayona que des critiques presse comparent à Steven Spielberg mais qui selon moi, l'a surpassé avec son "Quelques minutes après minuit" (A monster calls). Je bûche à fond sur la structure à cause de lui. On peut encore progresser vue une dernière découverte technique ...).

Merci beaucoup pour ton message.

Concernant Juan Antonio Bayona, je ne connais pas du tout le loustique, mais je vais y jeter un coup d'oeil c'est certain.

 

En attendant, je vous propose le nouvel numéro de cette petite émission, cette fois-ci consacré au somptueux "La La Land" de Damien Chazelle:

 

 

Comme je le dis dans cet épisode, je me suis consacré sur des axes bien précis du film, mais il y a énormément de choses à dire à décortiquer dans celui-ci.

Modifié par Projets-Ventilo
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut Projets-Ventilo,

 

Idem, pas vu mais il m'a déjà été recommandé par GM1968 (coucou à lui !). Il devrait être prochainement diffusé sur le câble (depuis le temps qu'il est annoncé :sm29:) et ta très jolie présentation ne fait que me convaincre définitivement (si c'était encore nécessaire car je surveille depuis que GM1968 me l'a conseillé) ...

 

Car je vous le demande, en quoi perso, devrais-je me sentir concerné par le sujet :blush-2: ?

 

Merci pour le rappel des couleurs (bien que je reste sceptique sur ce vert). Parfaite la colorimétrie du ciel sur la jetée (à 5'08) !

 

Ta progression reste toujours très appréciable et vraiment bravo à toi :bien:

 

(Mon loustique en est à sortir son Jurassic World début juin https://forum.magazinevideo.com/topic/33948-métaphore/?do=findComment&comment=168800).

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...
Le 22/05/2018 à 18:01, Ciné7 a dit :

Salut Projets-Ventilo,

 

Idem, pas vu mais il m'a déjà été recommandé par GM1968 (coucou à lui !). Il devrait être prochainement diffusé sur le câble (depuis le temps qu'il est annoncé :sm29:) et ta très jolie présentation ne fait que me convaincre définitivement (si c'était encore nécessaire car je surveille depuis que GM1968 me l'a conseillé) ...

 

Car je vous le demande, en quoi perso, devrais-je me sentir concerné par le sujet :blush-2: ?

 

Merci pour le rappel des couleurs (bien que je reste sceptique sur ce vert). Parfaite la colorimétrie du ciel sur la jetée (à 5'08) !

 

Ta progression reste toujours très appréciable et vraiment bravo à toi :bien:

 

(Mon loustique en est à sortir son Jurassic World début juin https://forum.magazinevideo.com/topic/33948-métaphore/?do=findComment&comment=168800).

 

 

Alors pour le coup, effectivement, j'avais zappé que le nom que bonhomme était "l'élu" pour réaliser Jurrasic World 2 (que je n'ai pas vu d’ailleurs et que je ne verrai peut-être pas).

Concernant "La La Land", je ne peux que te conseilleur de le voir. Dans une petite baisse de régime (créative?), il ne peut que motiver et remettre un sourire sur nos visages :-)

 

Sinon, je profite de l'occasion pour vous annoncer que je me suis lancé dans une petite série de 4 FILMOPSIE consacré au thème "entre la vie et la mort". Et je partage ici ma dernière analyse, celle-ci portant sur "Stay" de Marc Forster:

 

 

Ainsi, durant 1 mois, je publierai une vidéo chaque semaine sur une œuvre différente mais qui portera sur le thème "entre la vie et la mort".

Modifié par Projets-Ventilo
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut Projets-Ventilo,

 

On attend la suite car perso, j'avoue que Stay m'a laissé pantois et que je ne suis pas très étonné de son succès public très mitigé (surtout que tu ne nous dis rien de la finalité et de l'opportunité dans notre quotidien).

 

Petite précision, l'infraction à la loi des 180° sert ici un effet miroir entre les 2 personnages (et pas que pour mettre mal à l'aise).

 

Par contre, toujours très content de revoir Ewan depuis Moulin Rouge et Noami depuis Mulholland Drive (tu as vu ? seigneur dans le parti pris l'Ciné7).

 

Mais un peu aussi Ryan Gosling depuis Drive (lui sans Mulholland marqué devant).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci Ciné7 pour ta réponse et ta présence toujours aussi régulière à chaque fois que je donne des nouvelles :-) 

 

Concernant l'infraction à la  règle des 180°, je ne suis pas allé au bout de ma réflexion et effectivement je me suis contenté de parler de malaise, alors que c'est bel et bien l'effet mirori que je voulais souligner. Malheureusement, j'ai écris cette chronique un peu trop en vitesse et en a résulté quelques coquilles de ce genre (en espérant que les épisodes suivants que j'ai également écrit bien plus à la hâte que d'habitude ne souffrent pas trop de cet état de fait). 

 

D'ailleurs tu mentionnes Moulin Rouge, et malheureusement je ne l'ai toujours pas vu! Surtout que je me suis rendu compte depuis quelques années que j'adore les comédies musicales! C'est un oubli que je vais tenter de barrer d'ici les prochaines semaines. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour Projets-ventilo,

 

Je confirme, j'attends la suite de ta série pour en savoir plus sur ton approche de la thématique.

 

Pour les comédies musicales, Moulin rouge est excellentissime et le câble vient de le rediffuser alors que La la land toujours pas.

 

Oui, je dis que Baz Lurhmann est mon frère astral car il est né à la même date que moi mais lui, l'année d'après. Mais il restitue tout avec un lyrisme qui dans mes tripes, ne m'a jamais semblé étranger :

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

J'ai enfin pu voir "Moulin Rouge" et c'était une excellente surprise! Enfin... "surprise" n'est pas vraiment le bon terme puisque je m'attendais plus ou moins à être ébahi. Et la fin était à ça de me tirer une larme... vraiment, une oeuvre toute en folie musicale et toute en mélancolie mentale. 

 

Sinon, j'en profite pour partager ici le nouveau numéro de ma chronique, deuxième épisode de la série consacrée au thème "entre la vie et la mort", avec cette fois-ici un film des plus dérangeants: "L'échelle de Jacob", de Adrian Lyne. 

 

 

 

 

 

Modifié par Projets-Ventilo
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour Projets-Ventilo,

Merci pour ces analyses de films, c'est très intéressant.

Je reviens sur le film Blade Runner 2049 ... que j'ai eu assez de mal à digérer même après l'avoir vu 3 fois (on m'a offert le Blu-ray).

(trop long, lent, sombre et une sonorisation où les dialogues sont d'un niveau trop faible par rapport aux divers bruitages etc... ).

... sans oublier des scènes difficiles à comprendre comme celle-là -->C'est ici 

mes remarques sur cette scène:

1) Pourquoi se sentir obligé de montrer du sang qui coule ?

2) Pourquoi embrasser sur la bouche quelqu'un que l'on vient d'exécuter avec un cutter, si ce n'est que pour mettre à l'honneur la perversité ?

 

@Ciné7   Je reviens sur les formats au cinéma à la suite du film ANNA - SortFilm  (mis en 2,55/1) et qui t'avait amené à parler des formats courants au cinéma :  1,85/1  et 2,35/1... démarrant dans les années 1950.

 

Mais on a oublié un 3ème format des années 1950 --> c'est le format de VistaVision  sorti en 1953 et utilisé jusqu'en 1959.

Celui ci consistant à filmer avec une caméra dont le film 35 mm défile horizontalement pour augmenter la surface de film utilisé.

 

Je l'ai découvert dimanche sur Arte en regardant pour la 1ère fois (car très long= 3h20) le film "Géant" de 1954 ... 3ème et dernier film avec James DEAN... décédé d'un accident de voiture le 30/09/1953, juste après le tournage du film.

Ce format est légèrement plus carré que le 16/9 --> c'est le format 1,66/1   avec 2 bandes noires verticales

 

 858212437_FormatGant166enHD.thumb.jpg.d59524723a5557159238f95ae0b658f2.jpg 

 

Avec Elizabeth Taylor (1,57 m)  et Rock Hudson (1,93 m) ... et non sur l'image James Dean.

    

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 9 heures, Projets-Ventilo a dit :

J'ai enfin pu voir "Moulin Rouge" et c'était une excellente surprise! Enfin... "surprise" n'est pas vraiment le bon terme puisque je m'attendais plus ou moins à être ébahi. Et la fin était à ça de me tirer une larme... vraiment, une oeuvre toute en folie musicale et toute en mélancolie mentale. 

 

"L'échelle de Jacob", de Adrian Lyne. 

Bonsoir Projets-Ventilo !

 

Pour Moulin Rouge :bien: :eusa_clap: !!!

 

Autre confidence de fraternité astrale, je garde un souvenir aussi foisonnant et délirant de mes soirées parigotes ... Baz a connu, c'est pas possible !).

 

Et puis, c'est mon intro 20th century fox préférée !

 

 

Pour l'échelle de Jacob, enfin je préfère ! Pas vu mais bravo et merci pour cette belle analyse. En plus, Adrian Lyne n'est pas un cinéaste que je conchie et j'admire Tim Robbins (qui pour les potins a discrètement épousé Susan Sarandon que j'adore également, ainsi que Danny Aiello mais lui, je sais pas avec qui il s'est marié ou qu'il a divorcé :blush2:).

 

Bonsoir NOEL, merci pour le rappel de Vistavision (qui, comme c'est étrange, a le même ratio que le super 16mm).

 

Je laisse Projets-Ventilo répondre à tes réclamations de très bon aloi sur ce goût obstiné des pires cauchemars de la part d'une usine à rêves aussi populaire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Ciné7 a dit :

 ..... Je laisse Projets-Ventilo répondre à tes réclamations de très bon aloi sur ce goût obstiné des pires cauchemars de la part d'une usine à rêves aussi populaire.

Bonsoir Ciné7,

J'espère que tu as pris le temps de voir l'extrait de film que j'ai fait pour bien montrer un exemple de ce qui ne me plaît pas beaucoup.

Pour info, cet extrait de 4 min dure dans le film 6 min, car j'ai enlevé tous les temps morts pour que ce soit plus rapide à mettre sur YouTube (6min en réel pour te montrer la lenteur du film qui dure 2h44).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui merci NOEL car je pensais que c'était un lien pour Projets Ventilo sur la discussion qu'on avait déjà eu sur Blade runner 2049. Moi aussi, je n'adhère pas beaucoup même en sachant que le "méchant" peut manifester de la cruauté pour dire qu'il est vraiment très méchant et qu'on a très peur.

 

Mais en fiction, un "méchant" se dit "antagoniste" et n'est pas forcément cruel et dominé par le mal. Il est la face opposée (la face sombre) du protagoniste (du "héros") selon encore un effet miroir.

 

Dans ton extrait de Blade runner 2049, on en est toujours qu'à la lumière primordiale :

 

 

Mais l'idéal pour le plaisir de l'émotion du public est de libérer le protagoniste de cette part d'ombre pour l'amener sur la bonne voie :

 

 

Est-ce le cas pour Blade runner 2049 ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 3 heures, Ciné7 a dit :

 

... Dans ton extrait de Blade runner 2049, on en est toujours qu'à la lumière primordiale ...

Mais l'idéal pour le plaisir de l'émotion du public est de libérer le protagoniste de cette part d'ombre pour l'amener sur la bonne voie ...

Est-ce le cas pour Blade runner 2049 ?

Bonsoir Ciné7,

Gladiateur c'est un film "normal" facile à comprendre ... Blade Runner 2049 ... c'est à un autre niveau qui fait entrer le cerveau en ébullition si on ne le regarde pas avec passivité, c'est-à-dire juste pour les images et l'ambiance.

Voilà quelques vidéos sur le sujet:

BLADE RUNNER 2049 EXPLIQUÉ :

 

 

 

Voici la fin du film que je résume ainsi:

Rick Deckard (H. Ford)  est conduit par Officer K (R.Gosling) dans le laboratoire protégé où est sa fille qu'il a eu avec Rachel (Blade Runner N°1). C'est sa fille qui est la responsable de la mémoire (des souvenirs) de tous: (hommes et réplicants) :

 

 

 

... et voici encore 18 min de brainstorming sur le film :

BLADE RUNNER 2049 - L'anti-Ghost in the Shell :

 

 

Et enfin voici Denis Villeneuve pour son film Américain ''Blade Runner 2049'' à Tout Le Monde En Parle TLMEP (Canada) :

 

J'adore le résumé fait par l'interviewer   (qui en quelques mots résume bien la complexité du film) :sm59-2: 

 

 

 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour et merci NOEL pour ces véritables compléments !

 

J'apprends donc que je préfère les films "normaux" ("alimentaires" pendant qu'on y est) ou en tous cas qui ne demandent pas des mois et des mois à être assimilés par un public (encore jeune, la lecture de Robert Mc Kee m'avait déjà alerté sur le risque de faire des films qui n'aboutiraient qu'à des discussions sur une terrasse de café de 2% du public cherchant à se valoriser).

 

En fait, sur la pyramide des besoins de la 1ère vidéo explicative (d'ailleurs bravo Monsieur !), on va vite arrêter l'arc transformationnel à la ligne entre le jaune et le vert et laisser son cher public sur la voie vers le bleu et même au delà de la pointe du sommet (dans Gladiator, le plan grue final jusqu'au soleil levant au dessus du berceau de la renaissance).

 

(Ce serait donc cette pyramide qui serait reprise en métaphore par Blade runner 1 et 2049 :eusa_think-2: ?).

 

Perso, c'est Harrison Ford en tant qu'acteur, qui a forcément raison pour déterminer si SON personnage (le qui) est un répliquant ou non.

 

Pour la scène finale (merci vraiment), j'espère que LAME passera aussi par là pour localiser le centre de la mémoire universelle et donc de la matrice encore abritée du monde extérieur (pour l'instant, le père ne peut qu'y poser sa main).

 

Belle image de Ryan Gosling enfin parvenu à la phase de la conception et donc à l'aube de son destin (son développement personnel) en tournant vers la vie la même main que Harrison Ford part poser sur la bulle de verre (sur la ligne de la pyramide entre le jaune et le vert au portail vers le bleu et la pointe du sommet).

 

(M'en fiche, Roger Daekins est mon directeur photo de référence perso avec John Mathieson :sleep:).

 

Je laisse Projets-Ventilo répondre sur ce goût obstiné pour le sanguinaire et le cauchemardesque (dont perso, je considère que la dose doit faire l'objet d'une posologie de médecine douce et homéopathique juste entre le jaune et le vert pour déjà entrevoir le reflet du même bleu de la bobine de Cinéma paradiso et de derrière la porte de la Toscane immaculée dans Gladiator).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour @NOEL et merci aussi pour la pyramide de Maslow (dans l'excellente vidéo explicative). C'est ce dont parle le soi-disant "gourou d'Hollywood" Richard Mickaëls Stephanik mais sans la citer. Elle est donc à recommander aux aspirants. Elle détermine les valeurs liées à ces besoins et à prévoir pour le plus grand plaisir de son public :

 

maslowhh.png.ac1cf81fbd684071faca6e8ada8c0c76.png

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le ‎06‎/‎07‎/‎2018 à 08:20, Ciné7 a dit :

Bonjour et merci NOEL pour ces véritables compléments !

 

J'apprends donc que je préfère les films "normaux" ("alimentaires" pendant qu'on y est) ou en tous cas qui ne demandent pas des mois et des mois à être assimilés par un public

Bonjour Ciné7,

Oui j'appelle un film "normal" ... un film où même s'il faut le regarder 2 fois (ou plus) pour avoir tout compris... on arrive enfin à une certaine satisfaction ... mais pas un scénario où globalement l'ensemble reste un peu énigmatique ... comme si les auteurs (scénariste et réalisateur) cherchaient à continuer le "côté alimentaire" en prévoyant un 3ème film.

 

Nota: pour parler des suites sans fin (alimentaires) ... après  le "Seigneur des anneaux" dont j'ai tout vu et dont je n'aime pas du tout les scènes de guerre (répétitives et imaginaires) on m'a offert aussi le 2ème film de la série "Hobbit" (La désolation de Smaug) ... très déçu car on a l'impression (pratiquement) de revoir le S.des Anneaux .... aucune nouveauté, aucune originalité ... une suite inutile ... juste le côté "alimentaire" pour leurs auteurs. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le 05/07/2018 à 18:54, NOEL a dit :

Bonjour Projets-Ventilo,

Merci pour ces analyses de films, c'est très intéressant.

Je reviens sur le film Blade Runner 2049 ... que j'ai eu assez de mal à digérer même après l'avoir vu 3 fois (on m'a offert le Blu-ray).

(trop long, lent, sombre et une sonorisation où les dialogues sont d'un niveau trop faible par rapport aux divers bruitages etc... ).

... sans oublier des scènes difficiles à comprendre comme celle-là -->C'est ici 

mes remarques sur cette scène:

1) Pourquoi se sentir obligé de montrer du sang qui coule ?

2) Pourquoi embrasser sur la bouche quelqu'un que l'on vient d'exécuter avec un cutter, si ce n'est que pour mettre à l'honneur la perversité ?


@Ciné7

 

    

 

Bonjour et merci beaucoup pour ce retour et d'avoir pris la peine d'uploader la scène en question sur Youtube et désolé du retard de ma réponse.

Concernant "Blade Runner 2049", une question me taraude: as-tu vu "Blade Runner" premier du nom de Ridley Scott? Car si ce n'est pas le cas, il est fort possible que cette suite ne t'ai pas touché pour cette raison. Car, comme je le dis dans mon "émission", "Blade Runner 2049" est selon moi le parfait exemple d'une bonne suite: un film qui respecte son héritage, en apportant quelques doses de nouveautés tout en poussant plus loin la réflexion.

 

Je pense que si cette fameuse scène est à ce point illisible en terme de lumière, c'est pour accentuer la perte de repère et d'humanité de Wallace. Il n'est plus que l'ombre de lui-même... non... plutôt de l'humanité. Il représente ce qui se fait de plus inhumain au sein même des humains. Raison pour laquelle on nous montre un être vivant, réellement humain, tuer un être artificiel (quasi-humain) de sang froid, laissant ainsi couler le sang de la "victime" (est-ce véritablement une victime puisqu'il s'agit d'une conscience artificielle?).

 

Concernant le fait que Wallace embrasse sa création, en plus d'un clin d'oeil à une scène du premier film dans laquelle le "méchant" (décidément j'adore les guillemets) Roy Batty embrassait son créateur pour connaître le plus de sensations possible avant de s'éteindre/mourir, ici il s'agit surtout d'une sorte d'amour que Wallace éprouve envers ses créations. Comment ça? Amoureux de ses créations qu'il n'hésite pourtant pas à tuer? Tout un paradoxe, une confrontation entre humanité et déshumanisation. Du moins, c'est ce que personnellement je ressors de cette séquence.

 

Le 05/07/2018 à 19:13, Ciné7 a dit :

Bonsoir Projets-Ventilo !

 

Pour Moulin Rouge :bien: :eusa_clap: !!!

 

Autre confidence de fraternité astrale, je garde un souvenir aussi foisonnant et délirant de mes soirées parigotes ... Baz a connu, c'est pas possible !).

 

Et puis, c'est mon intro 20th century fox préférée !

 

 

Pour l'échelle de Jacob, enfin je préfère ! Pas vu mais bravo et merci pour cette belle analyse. En plus, Adrian Lyne n'est pas un cinéaste que je conchie et j'admire Tim Robbins (qui pour les potins a discrètement épousé Susan Sarandon que j'adore également, ainsi que Danny Aiello mais lui, je sais pas avec qui il s'est marié ou qu'il a divorcé :blush2:).

Et oui j'ai beaucoup aimé cette ouverture aussi. En fait j'ai apprécié tout le film, bien que surpris par son côté absurde (voir cartoonesque à certains moments). Mais son esthétique rappelant constamment celle d'une pièce de théâtre, les musiques, le montage haletant, la déchirante scène de fin... c'était somptueux.

 

Et merci pour ton retour sur "L'échelle de Jacob" :-) Si un après-midi, lors d'un dimanche pluvieux, tu as envie de frisonner quelque peu (sans aucun jump scare), je ne peux que te le conseiller.

Modifié par Projets-Ventilo
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
 Partager


×
×
  • Créer...

Information importante

j'accepte les cookies de ce site. Conditions d’utilisation